Le gardien du temple du dernier né des grands partis marocains et non des moindres, est de retour. Et quel retour ! En signant son come-back sur les devants de la scène par des décisions énergiques, après une retraite volontaire de quelques mois pour tester de loin le fonctionnement de sa formation sans que ce soit lui qui tienne le gouvernail, Fouad Ali El Himma, décontracté sur des photos qui ont fait le tour des journaux de la place, lance pour sa première sortie des messages à triple lecture.
Premièrement, il confirme se poser en rassembleur et homme de consensus tant il est vrai que son parti commençait à partir en vrille à cause de dissensions internes en série. Même si en théorie, il n'est pas le numéro 1 du PAM , dans les faits c'est tout le contraire auquel on assiste puisqu' à sa première apparition, ses instances dirigeantes mettent de l'ordre dans les écuries d'Augias pour les nettoyer Nul doute en écartant les brebis galeuses, des élus qui ne partagent pas les vertus de la fidélité et de la probité telles qu' édictés dans la ligne du parti.
Nul doute que cette décision de bannir certains élus ripoux du rang du PAM a été prise bien avant cette réunion ramadanesque et qu'il ne restait plus qu'à la mettre en scène en la médiatisant intelligemment.
D'où précisément, le deuxième message, bien relayé dans les medias, qu'il faut retenir de cette sortie qui a délié les langues et alimenté les journaux en cette période creuse. Très porté sur les stratégies de communication les plus pointues et les plus" pénétrantes" avec un braintrust dédié, l'ami du Roi prévient à demi-mots que la marche de son parti ne sera en aucun cas entachée par la dérives que connaissent les autres partis sur l'échiquier politique national et qui ont pour nom : transhumance, argent sale, cooptations douteuses, opportunisme, faux amis politiques...
Troisième message enfin, Le PAM qui tient toujours à son image et à son identité de précurseur donne la couleur à la rentrée parlementaire et politique qui sera un véritable test pour cette formation dans la perspective des batailles rangées pour des sièges au futur CES, le Conseil Economique et Social, ainsi que d'autres échéances au niveau des deux chambres. En agissant de cette manière et bien avant l'heure, alors que les autres partis sont encore en mode veille, le PAM leur signifie lui, qu'avec son rappel précoce des troupes, il sera très combatif et que les spéculations laissant entendre son délabrement , sa déliquescence ou bien carrément sa mort comme le prédisaient certains suite au retrait provisoire d'El Himma de la scène, n'étaient que des fantasmes de jaloux et de "loosers" aigris au mieux, de démagos incompétents au pire.
Comprenne qui pourra. Comprenne qui voudra.
Jalil Nouri
Premièrement, il confirme se poser en rassembleur et homme de consensus tant il est vrai que son parti commençait à partir en vrille à cause de dissensions internes en série. Même si en théorie, il n'est pas le numéro 1 du PAM , dans les faits c'est tout le contraire auquel on assiste puisqu' à sa première apparition, ses instances dirigeantes mettent de l'ordre dans les écuries d'Augias pour les nettoyer Nul doute en écartant les brebis galeuses, des élus qui ne partagent pas les vertus de la fidélité et de la probité telles qu' édictés dans la ligne du parti.
Nul doute que cette décision de bannir certains élus ripoux du rang du PAM a été prise bien avant cette réunion ramadanesque et qu'il ne restait plus qu'à la mettre en scène en la médiatisant intelligemment.
D'où précisément, le deuxième message, bien relayé dans les medias, qu'il faut retenir de cette sortie qui a délié les langues et alimenté les journaux en cette période creuse. Très porté sur les stratégies de communication les plus pointues et les plus" pénétrantes" avec un braintrust dédié, l'ami du Roi prévient à demi-mots que la marche de son parti ne sera en aucun cas entachée par la dérives que connaissent les autres partis sur l'échiquier politique national et qui ont pour nom : transhumance, argent sale, cooptations douteuses, opportunisme, faux amis politiques...
Troisième message enfin, Le PAM qui tient toujours à son image et à son identité de précurseur donne la couleur à la rentrée parlementaire et politique qui sera un véritable test pour cette formation dans la perspective des batailles rangées pour des sièges au futur CES, le Conseil Economique et Social, ainsi que d'autres échéances au niveau des deux chambres. En agissant de cette manière et bien avant l'heure, alors que les autres partis sont encore en mode veille, le PAM leur signifie lui, qu'avec son rappel précoce des troupes, il sera très combatif et que les spéculations laissant entendre son délabrement , sa déliquescence ou bien carrément sa mort comme le prédisaient certains suite au retrait provisoire d'El Himma de la scène, n'étaient que des fantasmes de jaloux et de "loosers" aigris au mieux, de démagos incompétents au pire.
Comprenne qui pourra. Comprenne qui voudra.
Jalil Nouri