La retraite à 60 ans, c'est fini, l'âge légal passe à 60 ans et 4 mois

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Nouvelles règles : ce qui change aujourd'hui

La retraite à 60 ans, c'est fini. L'âge légal passe à 60 ans et 4 mois à partir d'aujourd'hui. La fin des 65 ans aura lieu plus tard.


L'âge du départ repoussé de quatre mois

Pour la première fois depuis 1983, l'âge légal d'ouverture des droits à la retraite est modifié. Les assurés nés entre le 1er juillet et le 31 décembre 1951 devront attendre d'avoir au moins 60 ans et quatre mois. Avant cette limite, impossible de liquider ses droits, à moins de relever de l'une des exceptions prévues (carrières longues, pénibilité...). Le relèvement se fera ensuite au rythme de quatre mois par génération (voir tableau). En 2018, les générations nées en 1956 et après prendront leur retraite à 62 ans.

Aménagements pour ceux qui ont commencé jeunes
Les assurés qui ont commencé à travailler très jeunes peuvent partir avant 60 ans, à condition d'avoir cotisé deux ans de plus que les autres (réforme Fillon). Ce dispositif « carrières longues » est élargi aux personnes qui ont commencé à travailler à 17 ans - au lieu de 16 ans jusqu'à présent. Mais les âges minimums de départ sont, eux aussi, repoussés. Les assurés qui ont commencé leur activité professionnelle à 14 ou 15 ans pourront partir à 58 ou 59 ans. Ceux qui ont démarré à 16 ou 17 ans partiront à 60 ans.

Deux ans de plus pour les policiers et les infirmières
Les 900.000 fonctionnaires classés en catégorie active voient leur âge de départ repoussé de deux ans, au même rythme que les autres (quatre mois par an) : l'écart avec le droit commun est maintenu. Ainsi, les fonctionnaires de la police nationale ou les contrôleurs aériens partiront-ils à 50 ans et quatre mois à partir d'aujourd'hui, au lieu de 50 ans, et à 52 ans à partir de 2018. Les pompiers et douaniers passent à 55 ans et quatre mois et monteront jusqu'à 57 ans. Pour les infirmières, la réforme est plus compliquée, car elle coïncide avec un changement de statut. Celles qui restent en catégorie B, et qui partent aujourd'hui à 55 ans, partiront à 57 ans. Celles qui optent pour la catégorie A - avec un meilleur salaire -décaleront leur départ à 60 ans.


Durée de cotisation : pas de changement avant 2012
La durée nécessaire pour toucher une pension à taux plein continue à augmenter en fonction des gains d'espérance de vie. Fixée à 163 trimestres (40 ans et neuf mois) pour la génération qui part cette année, elle augmentera d'un trimestre en 2012 (à 41 ans). Elle montera ensuite à 41 ans et un trimestre en 2014 et devrait atteindre 41 ans et demi en 2020.


Les Echos
 
Les demandes de départ en retraite anticipée pour pénibilité sont très peu nombreuses

Alors que la réforme des retraites entre en vigueur aujourd'hui, l'assurance-vieillesse a reçu moins de 400 demandes de départ anticipé au titre de la pénibilité.

Nettement moins qu'attendu. Les conditions d'accès sont trop restrictives et la communication insuffisante, critiquent les syndicats.


La réforme des retraites entre en vigueur aujourd'hui, mais l'un de ses volets les plus polémiques, le départ anticipé au titre de la pénibilité, démarre beaucoup plus lentement que prévu. Au 25 juin, la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV) n'avait recensé que « 300 à 400 » dossiers déposés. C'est très peu, d'autant que les assurés souhaitant partir en juillet ou en août pouvaient déposer leur demande trois ou quatre mois avant la date de départ - c'est ce que recommande l'assurance-retraite.
 
Retraite : les mesures choc pour réformer les régimes complémentaires Agirc Arrco
Source : Capital.fr
05/02/2013 à 19:04


Les 6 et 14 février prochains, les syndicats de salariés et le patronat vont
se réunir pour finaliser la réforme des régimes de retraite complémentaire Arrco et Agirc. Objectif : garantir leur équilibre financier, ce qui passe par
un sérieux coup de rabot sur les pensions. Tour d'horizon des principales mesures en discussion.

Montant des pensions, âge légal de la retraite, pension de réversion...
L'ordre du jour s'annonce chargé pour les syndicats, qui doivent décider
d'ici le 1er avril 2013 de mesures conservatoires pour garantir l'équilibre financier des régimes de retraite complémentaires. Pour résoudre ce casse-tête, ils négocient sur la base d'un projet d'accord rédigé par
le Medef que Capital.fr s'est procuré. Ce document de travail est pour l'instant loin de faire l'unanimité. Celui-ci prévoit en effet des réformes qui promettent d'entailler sérieusement les pensions de retraite.
Explications.

> Indexation des pensions de retraite revue à la baisse

Actuellement, les pensions de retraites complémentaires sont revalorisées en fonction de l’évolution du salaire annuel moyen diminué de 1,5 point, l’augmentation ne pouvant être inférieure à celle de l ‘évolution moyenne des prix hors tabac.
A compter du 1er avril 2013, la valeur du service du point Agirc (réservé aux cadres) et Arrco (ensemble des salariés) sera fixée en fonction de l'évolution moyenne annuelle des prix hors tabac, moins 1,5 point, puis moins 1 point après 2014.
Le prix d'achat du point serait revalorisé dans les mêmes conditions. "Le texte ne précise pas l'impact en cas de faible inflation", proteste une source syndicale.
Par exemple, si l'inflation n'est que de 0,5%, les pensions diminueraient de 1%, si aucun filet de sécurité n'est prévu. Conscients des efforts nécessaires pour sauver les régimes de retraite, les syndicats de salariés semblent toutefois prêts à lâcher du lest. A condition de porter les efforts sur les pensions les plus élevées et d'épargner les plus modestes.

Lire aussi : Retraite : les pistes pour corriger les inégalités de calcul des pensions

> Coup de rabot sur les pensions de réversion - la suite sur

http://www.capital.fr/retraite/actu...mplementaires-agirc-arrco-809478#xtor=EPR-226

mam
 
Les amis, un conseil: constituez vous même votre propre retraite parce que celle proposée par le système est vraiment pourrie ! Faites le si vous ne voulez pas finir à 62 ans avec une retraite tellement faible qu'elle vous obligera à faire les fins de marché pour récupérer les invendus....
 
ben wé une retraite en viager comme quand tu achete une maison .... on te paye la retraite jusqu'a 30 ans et aprés tu rembourse jusqu'a ce que tu peux plus travailler ...

voila une bonne idée ... :cool:

oui j'avais pensé cela, un accompte sur la retraite

mais il y a des hic, et notamment aucune assurance possible qu'ensuite tu ne fuies pas le pays pour te soustraire au remboursement :confus:
et puis le financement ........... çà c'est un détail
 
ben wé une retraite en viager comme quand tu achete une maison .... on te paye la retraite jusqu'a 30 ans et aprés tu rembourse jusqu'a ce que tu peux plus travailler ...

voila une bonne idée ... :cool:
C'est ce que les amérlocs font. Ils avancent du pognon aux étudiants pour qu'ils puissent aller plus loin dans leurs études et quand ils trouvent du boulot, ils remboursent pendant des années.
 
personellement, j'ai ma philosophie de tout cela, j'ai fait gréve et perdu des jours de salaire pour défendre la retraite des autres pendant que des pauvres gens me tiraient a boulet rouge dessus

je suis partis sans le taux plein alors que je vois des bastringues rester au delà de ce qui est permis :confus:

ma philosophie c'est globalement : on a ce qu'on, mérite ! :D

une socitée ne peut pas faire mieux que ce que lui permettent ses membres MDR
 
Quelles démarches accomplir pour bénéficier de la retraite pour pénibilité ?

Le 31/01/2013, par la Rédaction de Net-iris, dans Social / Protection Sociale.

Le salarié souffrant d'une incapacité permanente au titre d'une MP ou d'un AT peut demander la retraite à taux plein pour pénibilité à compter de 60 ans.

Plan :

Introduction
Les démarches à accomplir

Introduction

La réforme 2010 des retraites a modifié les conditions d'ouverture des droits à la retraite, afin de prendre en compte la pénibilité subie par certains salariés au cours de leur carrière professionnelle. En effet, certains métiers sont particulièrement difficiles et usants, exposant par la même les salariés à des pénibilités physiques (ex : douleurs lombaires ou articulaires) ou psychosociales (ex : stress, anxiété).

Depuis le 1er juillet 2011, un droit à la retraite à taux plein est ouvert dès l'âge de 60 ans et quelle que soit la durée d'assurance, pour les personnes souffrant d'une incapacité permanente :

reconnue au titre d'une maladie professionnelle, ou d'un accident du travail ayant entraîné des lésions identiques à celles indemnisées au titre d'une maladie professionnelle,
et d'au moins 20%, ou entre 10 et 20% à condition de justifier de 17 années d'exposition aux facteurs de risques professionnels.

La retraite à raison de la pénibilité ne concerne pas les lésions apparues à la suite d'un accident de trajet.
Les démarches à accomplir

L'examen de la demande, à partir du dépôt du dossier complet de "Demande de retraite pour pénibilité" accompagné des pièces justificatives demandées, prend généralement 3 à 4 mois. Les démarches varient selon le taux d'incapacité permanente de travail de l'assuré :
.../...
 
suite et fin (retraite pénibilité)


si l'assuré perçoit une rente pour maladie professionnelle (MP) avec un taux d'incapacité permanente au moins égal à 20% :
- il peut déposer une demande de retraite pour pénibilité accompagnée du questionnaire complété (information sur les rentes, taux d'incapacité et carrière professionnelle) et des justificatifs prouvant son incapacité (courrier de notification de rente ou la notification de taux d'incapacité permanente accompagné de la notification de consolidation médicale) ;

si l'assuré perçoit une rente pour accident du travail (AT) avec un taux d'incapacité permanente au moins égal à 20% :
- il peut déposer une demande de retraite pour pénibilité accompagnée du questionnaire et des justificatifs prouvant son incapacité (courrier de notification de rente ou la notification de taux d'incapacité permanente accompagné de la notification de consolidation médicale).
Sa demande est alors soumise au médecin-conseil régional. Ce dernier est chargé de vérifier si les lésions ayant entraîné le versement de la rente AT sont identiques à celles indemnisées au titre d'une maladie professionnelle.
Si tel est le cas, la demande de retraite pour pénibilité est acceptée, à défaut la demande est rejetée ;

si l'assuré perçoit une rente MP ou AT avec un taux d'incapacité permanente au moins égal à 10% et inférieur à 20%, il doit déposer une demande de retraite pour pénibilité et :
- justifier avoir été exposé pendant au moins 17 ans à un ou plusieurs facteurs de risques professionnels (il s'agit des contraintes physiques marquées - comme la manutention manuelle de charges, des postures pénibles - et celles liées au rythme de travail - comme le travail de nuit, le travail répétitif - la pénibilité au titre de l'environnement agressif - comme le bruit ou les agents chimiques) ;
- apportez la preuve que son incapacité a été provoquée par son travail (par exemple à l'aide des bulletins de salaire précisant le poste occupé, les contrats de travail, les fiches d'exposition aux facteurs de risques professionnels, le suivi médical par la médecine du travail).
Il faut obligatoirement joindre à la demande, la notification de rente ou la notification de taux d'incapacité permanente, accompagnée de la notification de consolidation médicale.
La demande de retraite pour pénibilité est soumise à l'avis d'une Commission spécifique. Cette commission est chargée d'examiner la durée de la carrière pendant laquelle le salarié a été exposé aux risques professionnels.
Toutefois, la demande n'est pas examinée par la commission si l'incapacité de l'assuré est consécutive à une maladie professionnelle et qu'il justifie de 68 trimestres (17 ans) de cotisations dans tous les régimes de retraite.

© 2013 Net-iris

mam
 
Nouvelles règles : ce qui change aujourd'hui

La retraite à 60 ans, c'est fini. L'âge légal passe à 60 ans et 4 mois à partir d'aujourd'hui. La fin des 65 ans aura lieu plus tard.


L'âge du départ repoussé de quatre mois

Pour la première fois depuis 1983, l'âge légal d'ouverture des droits à la retraite est modifié. Les assurés nés entre le 1er juillet et le 31 décembre 1951 devront attendre d'avoir au moins 60 ans et quatre mois. Avant cette limite, impossible de liquider ses droits, à moins de relever de l'une des exceptions prévues (carrières longues, pénibilité...). Le relèvement se fera ensuite au rythme de quatre mois par génération (voir tableau). En 2018, les générations nées en 1956 et après prendront leur retraite à 62 ans.

Aménagements pour ceux qui ont commencé jeunes
Les assurés qui ont commencé à travailler très jeunes peuvent partir avant 60 ans, à condition d'avoir cotisé deux ans de plus que les autres (réforme Fillon). Ce dispositif « carrières longues » est élargi aux personnes qui ont commencé à travailler à 17 ans - au lieu de 16 ans jusqu'à présent. Mais les âges minimums de départ sont, eux aussi, repoussés. Les assurés qui ont commencé leur activité professionnelle à 14 ou 15 ans pourront partir à 58 ou 59 ans. Ceux qui ont démarré à 16 ou 17 ans partiront à 60 ans.

Deux ans de plus pour les policiers et les infirmières
Les 900.000 fonctionnaires classés en catégorie active voient leur âge de départ repoussé de deux ans, au même rythme que les autres (quatre mois par an) : l'écart avec le droit commun est maintenu. Ainsi, les fonctionnaires de la police nationale ou les contrôleurs aériens partiront-ils à 50 ans et quatre mois à partir d'aujourd'hui, au lieu de 50 ans, et à 52 ans à partir de 2018. Les pompiers et douaniers passent à 55 ans et quatre mois et monteront jusqu'à 57 ans. Pour les infirmières, la réforme est plus compliquée, car elle coïncide avec un changement de statut. Celles qui restent en catégorie B, et qui partent aujourd'hui à 55 ans, partiront à 57 ans. Celles qui optent pour la catégorie A - avec un meilleur salaire -décaleront leur départ à 60 ans.


Durée de cotisation : pas de changement avant 2012
La durée nécessaire pour toucher une pension à taux plein continue à augmenter en fonction des gains d'espérance de vie. Fixée à 163 trimestres (40 ans et neuf mois) pour la génération qui part cette année, elle augmentera d'un trimestre en 2012 (à 41 ans). Elle montera ensuite à 41 ans et un trimestre en 2014 et devrait atteindre 41 ans et demi en 2020.


Les Echos

Et d'ici 30ans, quand nous voudrons notre retraite, elle existera plus.
Faut se la faire sois même sinon, à l'age de la retraite, on iras faire l’aumône...
Car d'ici la, les secours catho/croix-rouge et autres resto du coeur, n'auront point les moyens de nourrir toute la misère de France...
Qui vivra verra...
 
Réforme des retraites : les droits familiaux en ligne de mire

Source : Capital.fr
08/02/2013 à 18:06

A l’occasion de son 12ème rapport, le Conseil d’orientation des retraites (Cor) s’est penché entre autre sur les droits
familiaux. Il propose plusieurs pistes de réflexion pour améliorer leur ciblage et leur incidence sur le montant des pensions,
en vue de préparer la prochaine réforme des retraites.

Explications.

> Majoration de durée d’assurance pour enfants

Aujourd’hui, les enfants ouvrent droit à une majoration de durée d’assurance de 8 trimestres maximum par enfant
(dont 4 peuvent désormais être répartis entre les parents ou attribués à un seul d’entre eux). Cette majoration est
accordée indépendamment du fait que la mère – ou le père – ait interrompu ou non son activité professionnelle pour
s’occuper de son ou de ses enfants. Selon les parcours professionnels, la majoration de durée d’assurance peut n’avoir
aucune incidence. C’est le cas pour les mères qui ont commencé à travailler jeune, qui n’ont pas interrompu leur activité
et qui de ce fait auront atteint la durée requise pour le taux plein avant même l’âge minimum de la retraite.
Ces trimestres gagnés peuvent au contraire permettre aux assuré(e)s de partir plus tôt avec une retraite calculée à
taux plein ou encore de bénéficier de la surcote.

Solutions préconisées par le COR : réserver ces majorations aux seuls parents qui ont perdu des trimestres pour des
interruptions d’activité liés aux enfants. En contrepartie, une majoration de pension ou des majorations du salaire reporté
au compte et des points gratuits pourraient être attribués au titre des années d’éducation des enfants.

> Assurance-vieillesse des parents au foyer (AVPF)

Les parents ayant des revenus modestes qui s’arrêtent de travailler pour s’occuper de leur enfant sont affiliés gratuitement
à l’assurance vieillesse des parents au foyer, lorsqu’ils perçoivent certaines allocations familiales.
Leurs périodes d’interruption d’activité sont alors décomptés comme des trimestres cotisés et un salaire forfaitaire
correspondant au Smic est reporté sur leur compte.

Solutions préconisées par le COR : afin de favoriser des interruptions d’activité courtes qui n’éloignent pas durablement
ou définitivement les femmes du marché du travail, l’AVPF pourrait être recentrée sur les seules jeunes années des enfants.
En contrepartie, le salaire reporté sur le compte pourrait être en lien avec celui perçu avant la naissance, lorsqu’il était
plus élevé que le Smic

http://www.capital.fr/retraite/actu...amiliaux-en-ligne-de-mire-810571#xtor=EPR-226

mam
 
Retraite progressive : pour travailler moins sans être pénalisé
Source : Capital
01/03/2013 à 18:11 / Mis à jour le 04/03/2013 à 11:39


Encore méconnu, le dispositif de retraite progressive permet aux salariés (mais pas seulement, lire l’encadré ci-dessous) de lever le pied en douceur : vous travaillez alors à temps partiel et percevez, en plus de votre salaire, une partie de votre pension. Avantage : les cotisations vieillesse versées pendant cette période d’activité réduite vous permettront d’améliorer votre retraite quand vous quitterez totalement la vie active. On tiendra ainsi compte des trimestres et des points supplémentaires accumulés. Mieux : avec l’accord de votre employeur, vous pouvez continuer à cotiser sur la base d’un temps plein, et ainsi doper votre future pension.

Eligibilité : vous devez avoir atteint l’âge légal et justifier de 150 trimestres

Pour bénéficier de la retraite progressive, vous devez avoir atteint l’âge minimal de la retraite, soit 60 ans si vous êtes né avant le 1er juillet 1951 et jusqu’à 62 ans si vous êtes né après le 31 décembre 1954, et justifier auprès de la Sécu d’une durée d’assurance d’au moins 150 trimestres, que ceux-ci soient cotisés, assimilés pour cause de maladie, maternité ou chômage, ou rachetés afin de valider vos années de carrière incomplètes ou d’études supérieures. Cette durée est calculée en tenant compte des trimestres validés aussi bien dans les régimes des salariés que dans les autres régimes, y compris dans l’Union européenne et dans les pays signataires d’une convention, comme les Etats-Unis ou le Canada. Seule exception : sont exclus les trimestres validés dans les régimes des fonctionnaires et des régimes spéciaux de type SNCF ou RATP.

Temps de travail : la loi vous oblige à le réduire annuellement d’au moins 20%

La durée de votre temps partiel ne doit pas dépasser 80% de la durée du travail applicable dans l’entreprise. Peu importe, en revanche, la répartition de votre temps de travail : seulement certains jours de la semaine, quelques semaines par mois ou quelques mois par an, tout est possible. Notez également que ce contrat peut être en cours à la date d’effet de la retraite progressive ou débuter à compter de cette date. Autrement dit, si vous travaillez déjà à temps partiel, rien de vous interdit de faire liquider une partie de vos droits au titre de la retraite progressive sans avoir à changer quoi que ce soit dans vos horaires de travail.

suite sur http://www.capital.fr/retraite/doss...-moins-sans-etre-penalise-816343#xtor=EPR-226

à lire attentivement :intello:

mam
 
Et d'ici 30ans, quand nous voudrons notre retraite, elle existera plus.
Faut se la faire sois même sinon, à l'age de la retraite, on iras faire l’aumône...
Car d'ici la, les secours catho/croix-rouge et autres resto du coeur, n'auront point les moyens de nourrir toute la misère de France...
Qui vivra verra...


c'est ce qu'ils disaient... (les patrons ) aux anciens quand ils ont créée la retraite par répartition.

Pourquoi nous mettre tous ensemble, chacun sa retraite !! et tu cotises a ton rythme selon tes moyens, comme au State...

2 jobs et tu finis au Wall Marck a 70 ans a emballer les courses des autres contre qques piéces

Et puis pourquoi 2.5 jours de congés par mois ??? ou avez vous vu qu'on paye de l'argent en ne travaillant pas ?

Et puis c'est bien connu, si on nous enlève ces maudites taxes, ces frais,( qui soit dit en passant sont notre salaire) c'est sur ... j'embauche et j'augmente leurs pouvoirs d'achat woulah ...
 
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