Le Kremlin met en garde la Serbie contre les sanctions anti-russes - mais la pression de l'UE sur Belgrade a déjà un effet
Hormis la Turquie et la Biélorussie, la Serbie est le seul pays d'Europe qui n'impose pas de sanctions à la Russie. Huit mois après le début de la guerre, Bruxelles perd patience avec le président Vucic.
Avec cette menace, Moscou réagit aux signes que Belgrade reconsidère sa politique envers la Russie. Cela n'est pas dû à un revirement, mais plutôt à la pression de Bruxelles sur le pays candidat pour qu'il suive la ligne de politique étrangère de l'UE.
Au début de la semaine, le vice-ministre russe des Affaires étrangères a averti la Serbie de ne pas adhérer au régime de sanctions de l'UE. Ce serait un suicide politique, a déclaré Alexander Grushko lors d'une visite à Belgrade.
Par cette menace, Moscou réagit aux signes que Belgrade reconsidère sa politique envers la Russie. Cela n'est pas dû à un revirement volontaires mais plutôt à la pression de Bruxelles sur le pays candidat pour qu'il suive la ligne de politique étrangère de l'UE.
Hormis la Turquie et la Biélorussie, la Serbie est le seul pays d'Europe qui n'impose pas de sanctions à la Russie. Huit mois après le début de la guerre, Bruxelles perd patience avec le président Vucic.
Avec cette menace, Moscou réagit aux signes que Belgrade reconsidère sa politique envers la Russie. Cela n'est pas dû à un revirement, mais plutôt à la pression de Bruxelles sur le pays candidat pour qu'il suive la ligne de politique étrangère de l'UE.
Au début de la semaine, le vice-ministre russe des Affaires étrangères a averti la Serbie de ne pas adhérer au régime de sanctions de l'UE. Ce serait un suicide politique, a déclaré Alexander Grushko lors d'une visite à Belgrade.
Par cette menace, Moscou réagit aux signes que Belgrade reconsidère sa politique envers la Russie. Cela n'est pas dû à un revirement volontaires mais plutôt à la pression de Bruxelles sur le pays candidat pour qu'il suive la ligne de politique étrangère de l'UE.