MOSCOU, 22 décembre
La Russie est devenue la sixième puissance économique mondiale, a déclaré jeudi à Moscou le président russe Dmitri Medvedev dans son message annuel au parlement.
"La Russie est devenue la sixième puissance économique mondiale. Nous avons traversé avec succès la période de bouleversements économiques et avons atteint le taux de développement d'avant-crise. L'économie croît à un bon rythme d'environ 4% par an, notre redressement économique est plus rapide que celui de la plupart des pays développés", a indiqué M.Medvedev.
Les retraites et les salaires des travailleurs du secteur public augmentent plus vite que prévu avant la crise.
"Cette année, la Russie affiche le taux d'inflation le plus bas de son histoire, qui est inférieur à 7% et pourrait atteindre 6%. Les salaires sont au plus haut depuis l'époque soviétique, tout comme les prestations sociales et les revenus réels de la population", a-t-il ajouté.
Dans le même temps, le président a reconnu que la Russie comptait trop de pauvres, "même si leur nombre est au plus bas depuis vingt ans".
"La crise a démontré que mettre de côté une partie des revenus pétroliers reste une politique raisonnable. Ces fonds ont permis au gouvernement et à la Banque de Russie d'éviter la crise monétaire", a conclu M.Medvedev.
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http://fr.rian.ru/politique/20111222/192821687.html
La Russie est devenue la sixième puissance économique mondiale, a déclaré jeudi à Moscou le président russe Dmitri Medvedev dans son message annuel au parlement.
"La Russie est devenue la sixième puissance économique mondiale. Nous avons traversé avec succès la période de bouleversements économiques et avons atteint le taux de développement d'avant-crise. L'économie croît à un bon rythme d'environ 4% par an, notre redressement économique est plus rapide que celui de la plupart des pays développés", a indiqué M.Medvedev.
Les retraites et les salaires des travailleurs du secteur public augmentent plus vite que prévu avant la crise.
"Cette année, la Russie affiche le taux d'inflation le plus bas de son histoire, qui est inférieur à 7% et pourrait atteindre 6%. Les salaires sont au plus haut depuis l'époque soviétique, tout comme les prestations sociales et les revenus réels de la population", a-t-il ajouté.
Dans le même temps, le président a reconnu que la Russie comptait trop de pauvres, "même si leur nombre est au plus bas depuis vingt ans".
"La crise a démontré que mettre de côté une partie des revenus pétroliers reste une politique raisonnable. Ces fonds ont permis au gouvernement et à la Banque de Russie d'éviter la crise monétaire", a conclu M.Medvedev.
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