Bonne nouvelle pour la Samir (la raffinerie de pétrole de Mohammedia) en ce début d'année .
Le raffineur obtient un financement de pas moins de 200 millions de dollars (léquivalent de 1,7 milliard de DH) de la part de Glencore Energy UK Ltd, un de ses principaux clients, appuyé par des banques internationales, parmi lesquelles Natixis et Apicorp.
Ce montant qui, selon nos informations, a déjà été encaissé servira à «renflouer la trésorerie et rétablir les équilibres financiers de la société».
Remboursable sur une période de 24 mois «à des conditions avantageuses», dit-on auprès de Samir, ce financement nest pas assimilé à une dette.
«Il sagit dun deal commercial avec notre principal trader en produits pétroliers», prévient Jamal Ben Addou Idrissi, directeur financier de Samir. [/b]
Sauf que pour cette opération, Glencore se place en tant que client et sengage à acheter à lexport les produits raffinés de la société.
«Cest donc un prêt financement à lexport et non pas un emprunt classique», affirme-t-il. [/b]
Concrètement, lopérateur britannique avance largent en contrepartie Samir sengage pendant la durée de laccord à lui réserver une partie de sa production en produits pétroliers qui lui sera exportée.
En parallèle, Samir qui avait réussi à décrocher, en octobre, une ligne de financement, de 180 millions de dollars (1,5 milliard de DH) auprès de la Société Internationale Islamique du Financement du Commerce, a entamé son utilisation en novembre.
Suite et source
http://www.leconomiste.com/article/902007-samir-d-croche-un-financement-de-200-millions-de-dollars
Le raffineur obtient un financement de pas moins de 200 millions de dollars (léquivalent de 1,7 milliard de DH) de la part de Glencore Energy UK Ltd, un de ses principaux clients, appuyé par des banques internationales, parmi lesquelles Natixis et Apicorp.
Ce montant qui, selon nos informations, a déjà été encaissé servira à «renflouer la trésorerie et rétablir les équilibres financiers de la société».
Remboursable sur une période de 24 mois «à des conditions avantageuses», dit-on auprès de Samir, ce financement nest pas assimilé à une dette.
«Il sagit dun deal commercial avec notre principal trader en produits pétroliers», prévient Jamal Ben Addou Idrissi, directeur financier de Samir. [/b]
Sauf que pour cette opération, Glencore se place en tant que client et sengage à acheter à lexport les produits raffinés de la société.
«Cest donc un prêt financement à lexport et non pas un emprunt classique», affirme-t-il. [/b]
Concrètement, lopérateur britannique avance largent en contrepartie Samir sengage pendant la durée de laccord à lui réserver une partie de sa production en produits pétroliers qui lui sera exportée.
En parallèle, Samir qui avait réussi à décrocher, en octobre, une ligne de financement, de 180 millions de dollars (1,5 milliard de DH) auprès de la Société Internationale Islamique du Financement du Commerce, a entamé son utilisation en novembre.
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http://www.leconomiste.com/article/902007-samir-d-croche-un-financement-de-200-millions-de-dollars