salam
Voilà une intervention qui devrait ravir tous les fans de science-fiction. Si le genre a des fois le don de procurer quelques frissons voire des appréhensions, il reflète aussi les questionnements de la société. C'est du moins ce qu'a estimé dans une note d'analyse publiée cette semaine le Centre d'analyse stratégique (CAS).
Un institut dexpertise qui a pour mission de conseiller le gouvernement sur le long terme.
"La palette de scénarios que la SF explore constitue un véritable outil de réflexion sur les futurs possibles de nos sociétés", résume en quelques mots le CAS.
Pour le directeur général de linstitut, Vincent Chriqui, "contrairement à la vision superficielle qu'on a parfois de ce genre littéraire, la science-fiction ne décrit pas des univers totalement imaginaires, totalement déconnectés du nôtre". Elle pousse plutôt "à l'extrême des technologies, des expérimentations ou encore des organisations de société".
Le biologiste Miroslav Radman va même plus loin. Selon lui, cette approche est "comme une simulation mentale du futur", qui permet "de se préparer émotivement et intellectuellement au changement".
"La SF révèle un certain nombre de défis que nos sociétés devront relever", ajoute le CAS qui souligne encore que les uvres de SF sont "indissociables du contexte socioéconomique dans lequel elles ont été produites".
"L'imagination englobe le monde entier et stimule le progrès"
http://www.libe.ma/La-science-fiction-des-univers-pas-si-imaginaires_a33484.html
Voilà une intervention qui devrait ravir tous les fans de science-fiction. Si le genre a des fois le don de procurer quelques frissons voire des appréhensions, il reflète aussi les questionnements de la société. C'est du moins ce qu'a estimé dans une note d'analyse publiée cette semaine le Centre d'analyse stratégique (CAS).
Un institut dexpertise qui a pour mission de conseiller le gouvernement sur le long terme.
"La palette de scénarios que la SF explore constitue un véritable outil de réflexion sur les futurs possibles de nos sociétés", résume en quelques mots le CAS.
Pour le directeur général de linstitut, Vincent Chriqui, "contrairement à la vision superficielle qu'on a parfois de ce genre littéraire, la science-fiction ne décrit pas des univers totalement imaginaires, totalement déconnectés du nôtre". Elle pousse plutôt "à l'extrême des technologies, des expérimentations ou encore des organisations de société".
Le biologiste Miroslav Radman va même plus loin. Selon lui, cette approche est "comme une simulation mentale du futur", qui permet "de se préparer émotivement et intellectuellement au changement".
"La SF révèle un certain nombre de défis que nos sociétés devront relever", ajoute le CAS qui souligne encore que les uvres de SF sont "indissociables du contexte socioéconomique dans lequel elles ont été produites".
"L'imagination englobe le monde entier et stimule le progrès"
http://www.libe.ma/La-science-fiction-des-univers-pas-si-imaginaires_a33484.html