La seule solution,il faut dormir seul!!!!!!

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion lougloug
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Dormez seul, vous aimerez plus longtemps!!!


Dormir à deux nuit à la santé et à la longévité du couple,
a-t-on appris mardi au British Science Festival!!!


On s'en doutait, et comme (presque) toujours,
ce sont des chercheurs anglais qui prennent
et trouvent le temps (et l'argent) de l'établir.


Un équipe du Norfolk and Norwich University Hospital,
spécialisée dans les troubles du sommeil, a fait tester la nuit
« in bed with » puis « in bed alone »
avec 40 vrais couples âgés de 29 à 50 ans.
Vingt couples ont préferé la formule « alone ».
Ces résultats ont été livrés mardi par le spécialiste du sommeil,
Dr Neil Stanley, lors du Séminaire sur le sommeil organisé par le British Science Festival :



« Partager le lit peut provoquer des tensions dans la relation,
mais aussi des problèmes de santé allant jusqu'à la dépression,
le suicide ou des maladies cardiaques souvent associées
au manque de sommeil. Le manque de place,
les mouvements brusques, les ronflements,
la toux, les réveils pour aller au toilettes,
tout ça ne fabrique pas de bonnes nuits. »


Le docteur, qui fait lui-même chambre séparée, est formel :

« Pour sauver votre mariage et votre santé,
vous devez absolument aborder la question du lit et de la chambre.
En cas de ronflements, des lits jumeaux ne règlent rien. »


A ceux qui prétendent « avoir besoin de dormir aux cotés de leur chéri »,
le bien peu romantique docteur Stanley fait remarquer,
que pour éprouver ce genre de sentiment, « encore faut-il être éveillé ».

C'est assez élémentaire. Fort des études menées à l'Université de Surrey,
il rappelle qu'un tiers des adultes britanniques ne dorment pas plus de cinq heures,
à cause des toux et des changements de positions du partenaire de lit.
« Quand un des deux se retourne pendant son sommeil,
il y a 50% de chance que l'autre change aussi de position. »
Certes, il admet :

« Nous savons tous ce que cela représente de dormir
dans un lit avec quelqu'un et de lui faire un câlin.
Mais arrive le moment où on se dit, bon, maintenant il faut dormir.
Et passer une bonne nuit de sommeil est une chose à laquelle nous avons tous droit. »


Le sociologue Jean-Claude Kaufman, auteur d'un ouvrage sur les « Agacements, les petites guerres du couple » ne rangerait pas ce travail dans la page « Etudes débiles » de Rue89 :

« Dans nos recherches, on constate que les agacements au sein du couple sont les plus vifs dans les zones de rapprochement : la voiture, le repas, le lit dans son usage “ordinaire” (non purement sexuel) ».


Au lit, lui ont raconté les Français, il a trop chaud, elle a trop froid ; quand il se couche, il secoue la couette et fait un courant d'air ; elle accumule des tas de bibelots qui attrapent la poussière, elle fait un bruit de sucion, il ronfle… Et le problème, c'est que ça va en s'aggravant, et pas seulement avec l'âge :

« Historiquement, les gens qui se mettent en couple vivent de plus en plus longtemps de façon autonome, ils se construisent des microcultures quotidiennes et l'autre est de plus en plus différent. »


Les jeunes d'aujourd'hui seraient donc beaucoup moins « lit compatibles » que leurs aînés qui sautaient presque directement de la maison familiale au foyer conjugal. Et pourtant, le lit jumeau, séparé, de l'autre côté du mur, a mauvaise réputation chez nous.

Pour Kaufman, il n'est guère étonnant que cette étude ait fleuri dans le monde protestant où prédominent la culture de l'individu(alisme) et celle du lit conjugal à matelas et couette séparés.

« La culture française est plus proche de la conception méditéranéenne du couple, où l'on a besoin de la présence de l'autre, même si elle ne doit pas être trop étouffante. Le lit reste un symbole fort du sexe, de l'amour et faire lit/chambre séparés serait l'antichambre du refroidissement de l'histoire. Dormir ensemble, même mal, c'est passer du temps ensemble, et c'est ce qui fait le couple. »


Et il y a « couple » et « couple ». Au risque de froisser le docteur Stanley, assez fier de la « santé », autrement dit la longévité de son mariage (due, en partie, à sa pratique conjugale de la chambre séparée ), le modèle d'union qu'il valorise en creux est un rien daté. Très années 50. Même si les partenaires d'aujourd'hui rêvent encore de toujours, toutes les enquêtes montre que c'est la qualité de la relation qui prime et justifie les séparations.

Michel Bozon, à l'Ined, distingue deux grand types de trajectoires sexuelles. L'une que l'on peut qualifier de « plan plan » se caractérise par une entrée tardive dans la sexualité, peu de partenaires, avec fidélité et sans exigences exhorbitantes dans la pratique sexuelle. C'est le couple qui dure, qui s'accomode du peu. Un rien perfide, Jean-Claude Kaufman affirme :

« La chambre séparée c'est super pour eux. »
 
« Partager le lit peut provoquer des tensions dans la relation,
mais aussi des problèmes de santé allant jusqu'à la dépression,
le suicide ou des maladies cardiaques souvent associées
au manque de sommeil. Le manque de place,
les mouvements brusques, les ronflements,
la toux, les réveils pour aller au toilettes,
tout ça ne fabrique pas de bonnes nuits. »

fallait oser écrire une connerie pareille.....
 
Attend kitti,tu n es pas d'accord avec l'etude?
Imagine tu travailles 50 h par semaine
et le soir tu ne peux dormir,à cause de ton partenaire
le lendemain,tu es capable de peter un plomb

quand le travail devient plus important que la famille.

travailler pour vivre ou vivre pour travailler?
 
Ça me rappel un reportage, ou ils avaient traqué le manque de sommeil comme cause de nombreuses catastrophes. Ils avaient notamment donné comme exemples les lancements de fusées. Les équipes restent en éveil, ils travaillent au dela de ce que leur santé permet, afin que tout soit prèt pour le compte a rebours, et les risques d'erreurs augmentent.

Pour ce qui est des couples, ceux qui dorment vraiment mal ne devraient pas sous estimer les effets du manque de sommeil chronique.
 
Attend kitti,tu n es pas d'accord avec l'etude?
Imagine tu travailles 50 h par semaine
et le soir tu ne peux dormir,à cause de ton partenaire
le lendemain,tu es capable de peter un plomb

je crois surtout que la dépression, le stress, l'insomnie, c'est les conséquence de la vie à 100 à l'heure qu'on mène, le stress au travail, les transports bruyants, les attentes déraisonnables de la société envers les individus en matière de rentabilité et d'efficacité...... pas du lit conjugal, qui au contraire peut être la seule source d'apaisement d'une journée difficile
 
Ça me rappel un reportage, ou ils avaient traqué le manque de sommeil comme cause de nombreuses catastrophes. Ils avaient notamment donné comme exemples les lancements de fusées. Les équipes restent en éveil, ils travaillent au dela de ce que leur santé permet, afin que tout soit prèt pour le compte a rebours, et les risques d'erreurs augmentent.

Pour ce qui est des couples, ceux qui dorment vraiment mal ne devraient pas sous estimer les effets du manque de sommeil chronique.

mais ceux qui dorment mal dorment-ils mal à cause du conjoint où à cause de tout ce que l'organisme et l'organisme du conjoint subit dans la journée? ;)
 
je crois surtout que la dépression, le stress, l'insomnie, c'est les conséquence de la vie à 100 à l'heure qu'on mène, le stress au travail, les transports bruyants, les attentes déraisonnables de la société envers les individus en matière de rentabilité et d'efficacité...... pas du lit conjugal, qui au contraire peut être la seule source d'apaisement d'une journée difficile


ça me rappelle la pub de Merinos!!!!!

""""""""""""""""Matelas Merinos............ les réveils en beauté""""""""""""""""""


je retourne à la maison,j'ai envie de dormir
 
MDR il a pas étudié les effets somnifères de certaines hormones sécrétées lors de certaines activités le monsieur :D

C'est sur !
(J'avais vu un documentaire ou ils avaient essayer d'étudier tout ce qui se passe pendant ces moments là, c'était assez drôle, surtout quand on leur demande de ....... dans le scanner ! :D )


Non, en fait a la base de l'étude, sa femme ou lui doivent carrément ronfler trop fort !
 
C'est sur !
(J'avais vu un documentaire ou ils avaient essayer d'étudier tout ce qui se passe pendant ces moments là, c'était assez drôle, surtout quand on leur demande de ....... dans le scanner ! :D )


Non, en fait a la base de l'étude, sa femme ou lui doivent carrément ronfler trop fort !

Haha on a du voir le même reportage, trop forts les couples qui réussissent à "se caliner" (pour parler pudiquement :-D) sur le scanner

A mon avis ce chercheur cherche une justification scientifique à cette triste misere de la chambre séparée d'avec sa femme! C'est surtout triste!
 
Ce sont des fous ces docteurs là!!! dormir seul et puis quoi encore!!! si je n'es pas mon mari à mes cotés c'est là que je vais faire la depression oui!!! loooool
 
Dormez seul, vous aimerez plus longtemps!!!


Dormir à deux nuit à la santé et à la longévité du couple,
a-t-on appris mardi au British Science Festival!!!


On s'en doutait, et comme (presque) toujours,
ce sont des chercheurs anglais qui prennent
et trouvent le temps (et l'argent) de l'établir.


Un équipe du Norfolk and Norwich University Hospital,
spécialisée dans les troubles du sommeil, a fait tester la nuit
« in bed with » puis « in bed alone »
avec 40 vrais couples âgés de 29 à 50 ans.
Vingt couples ont préferé la formule « alone ».
Ces résultats ont été livrés mardi par le spécialiste du sommeil,
Dr Neil Stanley, lors du Séminaire sur le sommeil organisé par le British Science Festival :



« Partager le lit peut provoquer des tensions dans la relation,
mais aussi des problèmes de santé allant jusqu'à la dépression,
le suicide ou des maladies cardiaques souvent associées
au manque de sommeil. Le manque de place,
les mouvements brusques, les ronflements,
la toux, les réveils pour aller au toilettes,
tout ça ne fabrique pas de bonnes nuits. »


Le docteur, qui fait lui-même chambre séparée, est formel :

« Pour sauver votre mariage et votre santé,
vous devez absolument aborder la question du lit et de la chambre.
En cas de ronflements, des lits jumeaux ne règlent rien. »


A ceux qui prétendent « avoir besoin de dormir aux cotés de leur chéri »,
le bien peu romantique docteur Stanley fait remarquer,
que pour éprouver ce genre de sentiment, « encore faut-il être éveillé ».

C'est assez élémentaire. Fort des études menées à l'Université de Surrey,
il rappelle qu'un tiers des adultes britanniques ne dorment pas plus de cinq heures,
à cause des toux et des changements de positions du partenaire de lit.
« Quand un des deux se retourne pendant son sommeil,
il y a 50% de chance que l'autre change aussi de position. »
Certes, il admet :

« Nous savons tous ce que cela représente de dormir
dans un lit avec quelqu'un et de lui faire un câlin.
Mais arrive le moment où on se dit, bon, maintenant il faut dormir.
Et passer une bonne nuit de sommeil est une chose à laquelle nous avons tous droit. »


Le sociologue Jean-Claude Kaufman, auteur d'un ouvrage sur les « Agacements, les petites guerres du couple » ne rangerait pas ce travail dans la page « Etudes débiles » de Rue89 :

« Dans nos recherches, on constate que les agacements au sein du couple sont les plus vifs dans les zones de rapprochement : la voiture, le repas, le lit dans son usage “ordinaire” (non purement sexuel) ».


Au lit, lui ont raconté les Français, il a trop chaud, elle a trop froid ; quand il se couche, il secoue la couette et fait un courant d'air ; elle accumule des tas de bibelots qui attrapent la poussière, elle fait un bruit de sucion, il ronfle… Et le problème, c'est que ça va en s'aggravant, et pas seulement avec l'âge :

« Historiquement, les gens qui se mettent en couple vivent de plus en plus longtemps de façon autonome, ils se construisent des microcultures quotidiennes et l'autre est de plus en plus différent. »


Les jeunes d'aujourd'hui seraient donc beaucoup moins « lit compatibles » que leurs aînés qui sautaient presque directement de la maison familiale au foyer conjugal. Et pourtant, le lit jumeau, séparé, de l'autre côté du mur, a mauvaise réputation chez nous.

Pour Kaufman, il n'est guère étonnant que cette étude ait fleuri dans le monde protestant où prédominent la culture de l'individu(alisme) et celle du lit conjugal à matelas et couette séparés.

« La culture française est plus proche de la conception méditéranéenne du couple, où l'on a besoin de la présence de l'autre, même si elle ne doit pas être trop étouffante. Le lit reste un symbole fort du sexe, de l'amour et faire lit/chambre séparés serait l'antichambre du refroidissement de l'histoire. Dormir ensemble, même mal, c'est passer du temps ensemble, et c'est ce qui fait le couple. »


Et il y a « couple » et « couple ». Au risque de froisser le docteur Stanley, assez fier de la « santé », autrement dit la longévité de son mariage (due, en partie, à sa pratique conjugale de la chambre séparée ), le modèle d'union qu'il valorise en creux est un rien daté. Très années 50. Même si les partenaires d'aujourd'hui rêvent encore de toujours, toutes les enquêtes montre que c'est la qualité de la relation qui prime et justifie les séparations.

Michel Bozon, à l'Ined, distingue deux grand types de trajectoires sexuelles. L'une que l'on peut qualifier de « plan plan » se caractérise par une entrée tardive dans la sexualité, peu de partenaires, avec fidélité et sans exigences exhorbitantes dans la pratique sexuelle. C'est le couple qui dure, qui s'accomode du peu. Un rien perfide, Jean-Claude Kaufman affirme :

« La chambre séparée c'est super pour eux. »


pauvre lougloug le celibat t'es monté a la tete wallah :D:D
 
:ek:

le matelas ga3, pourquoi pas juste lousada? :ek:

j'en ai plus ! eeeeek

Tu connais la chanson de Cheb Abdou?Bou kerche ou nebghih
Eh ben je confirme:maroua mou kerche ounebghiha

ila b9ate fik 8ana b7alk :D

up up up up
Toi tu sors immediatement
je parle à ma copine
donc les etrangers dehors!!!!!!!!!!!!!!!!

XPTDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR laisse le ! jl'aime bien sempro :rouge:
 
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