La shahada selon les découvertes historiques

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Pegase
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salam a tous les membres du forum!


j'aimerais partager avec vous une découverte au sujet de la shahada des musulmans au début de l'islam!

figurez- vous qu'il éxiste une preuve historique, que dans les premier temps du prophéte Mohammed ,la vrai shahada était celle ci:

la illaha illa lah wahdahu la sharika lah!

je vous met içi un éxtrait du texte...

Dans les terres nouvellement conquises, musulmans et chrétiens se côtoyaient journellement. Il leur était nécessaire de bien démarquer leurs différents credos. Les musulmans proclamaient leur foi, affirmaient leurs croyances et les opposaient à celles des chrétiens, dans des «textes publics» qui pouvaient être lus par tous ceux qui comprenaient l'arabe. Ils étaient d'ailleurs de plus en plus nombreux pour pouvoir se plier aux exigences de la nouvelle administration arabisée.

Il n'est donc pas étonnant que les énoncés de la sahàda (profession de foi) soient fréquents dans les textes officiels, textes de construction insérés sur la façade, ou à l'intérieur, d'un monument érigé sur l'ordre du calife, par exemple. La formulation de cette profession de foi ne se limite d'ailleurs pas à ses termes essentiels : là ilàha illà-llàh Muhammad rasùlu-llàh (Point de divinité hormis Allah. Muhammad est l'Envoyé d'Allah). Dans les premières sahàda gravées sur pierre, le mot Allah est presque toujours complété par un qualificatif coranique : wahda-hu (l'Unique)15, et souvent, par un fragment de verset : là sarïka la-hu (il n'a pas d'associé)16. Cette forme de la sahàda est constante dans les premiers textes épigraphi- ques officiels. Elle le sera encore au début de l'époque 'abbâside.
Une autre observation mérite d'être notée.Dans la formulation de la sahàda, la référence au Prophète n'est pas systématique. Ainsi, celle-ci est absente du texte gravé à droite de la porte d'entrée de la mosquée umayyade de Busrâ17, texte sur lequel nous reviendrons plus loin. Elle est également absente de la plupart des textes funéraires. Dans les cimetières d'Adri'ât (aujourd'hui Der'a, sur la route de Damas à 'Amman), sur dix épitaphes de cette époque, dans lesquelles figurent la sahàda, aucune ne fait référence au Prophète.
 
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Dans les terres nouvellement conquises, musulmans et chrétiens se côtoyaient journellement. Il leur était nécessaire de bien démarquer leurs différents credos. Les musulmans proclamaient leur foi, affirmaient leurs croyances et les opposaient à celles des chrétiens, dans des «textes publics» qui pouvaient être lus par tous ceux qui comprenaient l'arabe. Ils étaient d'ailleurs de plus en plus nombreux pour pouvoir se plier aux exigences de la nouvelle administration arabisée.

Il n'est donc pas étonnant que les énoncés de la sahàda (profession de foi) soient fréquents dans les textes officiels, textes de construction insérés sur la façade, ou à l'intérieur, d'un monument érigé sur l'ordre du calife, par exemple. La formulation de cette profession de foi ne se limite d'ailleurs pas à ses termes essentiels : là ilàha illà-llàh Muhammad rasùlu-llàh (Point de divinité hormis Allah. Muhammad est l'Envoyé d'Allah). Dans les premières sahàda gravées sur pierre, le mot Allah est presque toujours complété par un qualificatif coranique : wahda-hu (l'Unique)15, et souvent, par un fragment de verset : là sarïka la-hu (il n'a pas d'associé)16. Cette forme de la sahàda est constante dans les premiers textes épigraphi- ques officiels. Elle le sera encore au début de l'époque 'abbâside.
Une autre observation mérite d'être notée.Dans la formulation de la sahàda, la référence au Prophète n'est pas systématique. Ainsi, celle-ci est absente du texte gravé à droite de la porte d'entrée de la mosquée umayyade de Busrâ17, texte sur lequel nous reviendrons plus loin. Elle est également absente de la plupart des textes funéraires. Dans les cimetières d'Adri'ât (aujourd'hui Der'a, sur la route de Damas à 'Amman), sur dix épitaphes de cette époque, dans lesquelles figurent la sahàda, aucune ne fait référence au Prophète.


Merci mon frère pour cette découverte époustouflante!!!

Attends
...
https://www.bladi.info/threads/shahada-originel.455926/

:rolleyes:
 
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Dans les terres nouvellement conquises, musulmans et chrétiens se côtoyaient journellement. Il leur était nécessaire de bien démarquer leurs différents credos. Les musulmans proclamaient leur foi, affirmaient leurs croyances et les opposaient à celles des chrétiens, dans des «textes publics» qui pouvaient être lus par tous ceux qui comprenaient l'arabe. Ils étaient d'ailleurs de plus en plus nombreux pour pouvoir se plier aux exigences de la nouvelle administration arabisée.

Il n'est donc pas étonnant que les énoncés de la sahàda (profession de foi) soient fréquents dans les textes officiels, textes de construction insérés sur la façade, ou à l'intérieur, d'un monument érigé sur l'ordre du calife, par exemple. La formulation de cette profession de foi ne se limite d'ailleurs pas à ses termes essentiels : là ilàha illà-llàh Muhammad rasùlu-llàh (Point de divinité hormis Allah. Muhammad est l'Envoyé d'Allah). Dans les premières sahàda gravées sur pierre, le mot Allah est presque toujours complété par un qualificatif coranique : wahda-hu (l'Unique)15, et souvent, par un fragment de verset : là sarïka la-hu (il n'a pas d'associé)16. Cette forme de la sahàda est constante dans les premiers textes épigraphi- ques officiels. Elle le sera encore au début de l'époque 'abbâside.
Une autre observation mérite d'être notée.Dans la formulation de la sahàda, la référence au Prophète n'est pas systématique. Ainsi, celle-ci est absente du texte gravé à droite de la porte d'entrée de la mosquée umayyade de Busrâ17, texte sur lequel nous reviendrons plus loin. Elle est également absente de la plupart des textes funéraires. Dans les cimetières d'Adri'ât (aujourd'hui Der'a, sur la route de Damas à 'Amman), sur dix épitaphes de cette époque, dans lesquelles figurent la sahàda, aucune ne fait référence au Prophète.
Donc le rajout de Mohamed dans la chahada doit coïncider avec l'apparition des fondateurs de la science des hadith.
 
Sourate 3 verset 18
Allah atteste, et aussi les anges et les doués de science,qu'il n'y a pas point de divinité à part Lui, le Mainteneur de la justice.Point de divinité à part Lui,Le Puissant le Sage.

Les doués de science comme tout les messagers et prophetes qui ont tous attestés qu'il n'y a qu'un Dieu unique.Ils n'ont jamais associés leurs noms à Dieu.

POINT DE DIVINITE A PART LUI est mentionné 2 fois dans le verset
 
Dernière édition:
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Il n'est donc pas étonnant que les énoncés de la sahàda (profession de foi) soient fréquents dans les textes officiels, textes de construction insérés sur la façade, ou à l'intérieur, d'un monument érigé sur l'ordre du calife, par exemple. La formulation de cette profession de foi ne se limite d'ailleurs pas à ses termes essentiels : là ilàha illà-llàh Muhammad rasùlu-llàh (Point de divinité hormis Allah. Muhammad est l'Envoyé d'Allah). Dans les premières sahàda gravées sur pierre, le mot Allah est presque toujours complété par un qualificatif coranique : wahda-hu (l'Unique)15, et souvent, par un fragment de verset : là sarïka la-hu (il n'a pas d'associé)16. Cette forme de la sahàda est constante dans les premiers textes épigraphi- ques officiels. Elle le sera encore au début de l'époque 'abbâside.
Une autre observation mérite d'être notée.Dans la formulation de la sahàda, la référence au Prophète n'est pas systématique. Ainsi, celle-ci est absente du texte gravé à droite de la porte d'entrée de la mosquée umayyade de Busrâ17, texte sur lequel nous reviendrons plus loin. Elle est également absente de la plupart des textes funéraires. Dans les cimetières d'Adri'ât (aujourd'hui Der'a, sur la route de Damas à 'Amman), sur dix épitaphes de cette époque, dans lesquelles figurent la sahàda, aucune ne fait référence au Prophète.
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pegasse tu t est tromper toi c est ici la rebrique
Pégase fut accueilli dans les écuries célestes et plus tard Zeus le plaça dans le ciel sous la forme d'une constellation.
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Il n'est donc pas étonnant que les énoncés de la sahàda (profession de foi) soient fréquents dans les textes officiels, textes de construction insérés sur la façade, ou à l'intérieur, d'un monument érigé sur l'ordre du calife, par exemple. La formulation de cette profession de foi ne se limite d'ailleurs pas à ses termes essentiels : là ilàha illà-llàh Muhammad rasùlu-llàh (Point de divinité hormis Allah. Muhammad est l'Envoyé d'Allah). Dans les premières sahàda gravées sur pierre, le mot Allah est presque toujours complété par un qualificatif coranique : wahda-hu (l'Unique)15, et souvent, par un fragment de verset : là sarïka la-hu (il n'a pas d'associé)16. Cette forme de la sahàda est constante dans les premiers textes épigraphi- ques officiels. Elle le sera encore au début de l'époque 'abbâside.
Une autre observation mérite d'être notée.Dans la formulation de la sahàda, la référence au Prophète n'est pas systématique. Ainsi, celle-ci est absente du texte gravé à droite de la porte d'entrée de la mosquée umayyade de Busrâ17, texte sur lequel nous reviendrons plus loin. Elle est également absente de la plupart des textes funéraires. Dans les cimetières d'Adri'ât (aujourd'hui Der'a, sur la route de Damas à 'Amman), sur dix épitaphes de cette époque, dans lesquelles figurent la sahàda, aucune ne fait référence au Prophète.
 
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