Adhrab
Vergissmeinnicht
As Salam 3aleykoum Wa Ra7matou Allahi Ta3ala Wa Barakatouhou
Hier j entendais a la radio un maire pc (je crois) qui se defendait d avoir viole la loi en prononcant un mariage entre deux gays.Il expliquait en gros comme quoi la desobeissance civile etait parfois une bonne chose pour faire avancer positivement les mentalites ou plutot dans ce cas la pour que les regles de droit soient en accord avec les mentalites.
Ainsi cet elu tentaient de nous convaincre que l on pouvait se permettre de violer la loi quand l on pensait agir pour le mieux de sorte a soulever le debat et faire changer les regles applicables.
Sur le fond je suis plutot d accord avec ce maire.Maintenant le probleme qui se pose etant celui des limites a ce principe.Qui et en quelle occasion ?
Cette question posee nous voila face a un dilemne,soit l on invoque un principe d inviolabilite de la loi quelques soient les circonstances et l on prend le risque de voir se perpreter des actes negativement percus soit l on consacre le principe de desobeissance civile mais l on se retrouve bien incapable d y etablir des limites.
C est pourquoi dans le cadre de regles de droit non inspirees d une source supreme exterieure a l homme,l on se retrouve bien souvent avec des perceptions variant selon les individus et acceptant plus ou moins bien les regles qui sont soumises aux habitants.Ainsi la contestation par la desobeissance civile est permanente sachant qu il y a possibilite d aboutissement de celle-ci.Or dans un etat religieux avec des regles conformes aux directives Divines,la question de la desobeissance civile pour faire evoluer les mentalites est directement exclue puisque la source du droit ne sera pas d origine humaine ,ce qui impliquera la non-possibilite de la modifier de quelques facons que ce soient.
Ou comment la stabilite juridique et l uniformite du droit ''vecu'' peuvent provenir de la religion.
Hier j entendais a la radio un maire pc (je crois) qui se defendait d avoir viole la loi en prononcant un mariage entre deux gays.Il expliquait en gros comme quoi la desobeissance civile etait parfois une bonne chose pour faire avancer positivement les mentalites ou plutot dans ce cas la pour que les regles de droit soient en accord avec les mentalites.
Ainsi cet elu tentaient de nous convaincre que l on pouvait se permettre de violer la loi quand l on pensait agir pour le mieux de sorte a soulever le debat et faire changer les regles applicables.
Sur le fond je suis plutot d accord avec ce maire.Maintenant le probleme qui se pose etant celui des limites a ce principe.Qui et en quelle occasion ?
Cette question posee nous voila face a un dilemne,soit l on invoque un principe d inviolabilite de la loi quelques soient les circonstances et l on prend le risque de voir se perpreter des actes negativement percus soit l on consacre le principe de desobeissance civile mais l on se retrouve bien incapable d y etablir des limites.
C est pourquoi dans le cadre de regles de droit non inspirees d une source supreme exterieure a l homme,l on se retrouve bien souvent avec des perceptions variant selon les individus et acceptant plus ou moins bien les regles qui sont soumises aux habitants.Ainsi la contestation par la desobeissance civile est permanente sachant qu il y a possibilite d aboutissement de celle-ci.Or dans un etat religieux avec des regles conformes aux directives Divines,la question de la desobeissance civile pour faire evoluer les mentalites est directement exclue puisque la source du droit ne sera pas d origine humaine ,ce qui impliquera la non-possibilite de la modifier de quelques facons que ce soient.
Ou comment la stabilite juridique et l uniformite du droit ''vecu'' peuvent provenir de la religion.