Il m'est arrivé très souvent que, lorsque je mettais en lumière une incohérence dans le concept de Dieu, on me réponde que Dieu est incompréhensible par nos chétifs esprits humains. L'incohérence ainsi soulignée serait en fait un mystère dont Dieu seul aurait la clé. Il n'y aurait pas lieu de rejeter Dieu, mais seulement de reconnaître les limites naturelles de l'intelligence. La foi, d'ailleurs, n'est pas opposée à la raison, mais au-dessus d'elle... C'est présomption de la part de l'athée de chercher à embrasser le mystère de Dieu et de déclarer avec autorité que Dieu ne peut exister, comme s'il avait percé le secret de l'univers.
Eh bien moi, je ne vois dans cette parade qu'une excuse pour éviter de réfléchir et ne pas prendre la peine de chercher une réponse logique.
Les croyants essaient de mélanger les athées en embrouillant la frontière entre ce qui relève du mystère et ce qui est contradictoire. Je dénonce vigoureusement une telle stratégie anti-philosophique.
Les croyants ont donc intérêt à garder le flou sur le concept de Dieu, à le prétendre trop élevé pour l'intelligence et à dénoncer la présomption de ceux qui essayent d'éclairer Dieu et constatent que le monothéisme est une absurdité.
Dire que Dieu est mystérieux quand on est confronté aux questions embarrassantes de l'athée, c'est un debate-stopper, c'est une réponse trop facile, une démission de la pensée.
Eh bien moi, je ne vois dans cette parade qu'une excuse pour éviter de réfléchir et ne pas prendre la peine de chercher une réponse logique.
Les croyants essaient de mélanger les athées en embrouillant la frontière entre ce qui relève du mystère et ce qui est contradictoire. Je dénonce vigoureusement une telle stratégie anti-philosophique.
Les croyants ont donc intérêt à garder le flou sur le concept de Dieu, à le prétendre trop élevé pour l'intelligence et à dénoncer la présomption de ceux qui essayent d'éclairer Dieu et constatent que le monothéisme est une absurdité.
Dire que Dieu est mystérieux quand on est confronté aux questions embarrassantes de l'athée, c'est un debate-stopper, c'est une réponse trop facile, une démission de la pensée.