L'Algérie qui bouge : YASSIR, la startup algérienne à l'ambition mondiale

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Bladinaute averti
Pour prendre le contre-pied de certains propagandistes qui font les poubelles du Web pour chercher des articles péjoratifs mais qui évitent soigneusement une information qui a bien circulé dans la presse. C'est la voie à suivre pour l'Algérie, la libéralisation de l'économie, l'incitation à l'entrepreneuriat...


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FRANCE INFO

Yassir, la start-up algérienne aux 600 ingénieurs qui fait son chemin en Afrique​

Yassir a commencé à fournir des services de taxis et de livraisons dans les grandes villes algériennes. Après s'être implantée dans l'ensemble du Maghreb, la start-up vise maintenant le reste de l'Afrique.

En à peine cinq ans Yassir, le "Uber algérien", s'est imposée au Maghreb, au Canada et en France. Prochaine étape pour étendre cette application de Taxi et de livraison de repas, le Sénégal, le Nigeria et l'Afrique du Sud.


Ecole polytechnique d'Alger​

Créée par Noureddine Tayebi et Mehdi Yettou, deux ingénieurs algériens, la start-up, très populaire dans le Maghreb et qui opère via une application 100% algérienne, s'est fait remarquer fin 2021 en levant 30 millions de dollars auprès d'investisseurs américains.

Diplômé de l'Ecole polytechnique d'Alger, M. Tayebi était ingénieur-chercheur dans une grande firme technologique de la Silicon Valley (Etats-Unis), après un doctorat de l'université américaine Stanford, quand il est venu créer en Algérie une application de taxis à la commande.

Lancée mi-2017 à Alger, ville de quatre millions d'habitants en déficit chronique de transports en commun, Yassir était déjà présente à Oran, Constantine et Annaba début 2018. Elle a été baptisée Yassir, un jeu de mots entre "facile" et "rouler" en arabe.

"C'était une mission (pour nous) de créer un modèle de succès vraiment 100% algérien, permettant de réhabiliter le talent local et de montrer qu'on peut créer de la plus-value en Algérie"
Noureddine Tayebi, cofondateur de la start-up Yassir
à l'AFP
Les deux ingénieurs qui partagent leur temps entre Alger et la Californie ont dû s'armer de patience pour affronter la bureaucratie algérienne réputée tatillonne et souvent décriée comme étant peu propice aux affaires. "La bureaucratie fait partie des obstacles qu'il faut surmonter. Je ne dis pas que c'est facile mais il faut faire avec et aller de l'avant", indique M. Tayebi.

Prochain objectif : l'Afrique subsaharienne​

Aujourd'hui, Yassir est présente dans 25 villes entre Algérie, Maroc, Tunisie, Canada et France et revendique quatre millions d'utilisateurs. L'entreprise vient de se lancer au Sénégal et prévoit de s'implanter ailleurs en Afrique de l'Ouest avant les "gros marchés" africains (Afrique du Sud, Nigeria et Egypte). Un développement rapide malgré la concurrence d'autres applications telles qu'Uber ou Heetch. Depuis son lancement, Yassir a généré plus de 40 000 emplois indirects, principalement de chauffeurs et livreurs. Sans oublier les quelque 600 informaticiens qui optimisent les mises en relation et les commandes.

La start-up enregistre "une progression de 20 à 40% de son chiffre d'affaires mensuel", assure Noureddine Tayebi, mais pour grandir, elle doit aussi recruter des centaines de cerveaux. "Yassir est déjà le plus gros employeur d'ingénieurs informaticiens au Maghreb et nous voulons tripler voire quadrupler ce chiffre", indique son cofondateur avant d'ajouter : "Nous sommes très ambitieux. Le but est de créer la plus grande entreprise de technologies, pas seulement en Afrique, mais au monde. Pour l'atteindre, il faut être sur pas mal de marchés régionaux, continentaux et au niveau mondial."

Au-delà des taxis sur commande, le groupe s'est diversifié dans la livraison de repas et l'épicerie en ligne avec Yassir Express. Aujourd'hui, il se prépare à développer ses propres services de paiement en ligne, une solution encore balbutiante en Algérie. Pour le moment, les clients payent leurs commandes à réception et en liquide.
 
Dernière édition:
Pour prendre le contre-pied de certains propagandistes qui font les poubelles du Web pour chercher des articles péjoratifs mais qui évitent soigneusement une information qui a bien circulé dans la presse. C'est la voie à suivre pour l'Algérie, la libéralisation de l'économie, l'incitation à l'entrepreneuriat...


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Yassir, la start-up algérienne aux 600 ingénieurs qui fait son chemin en Afrique​

Yassir a commencé à fournir des services de taxis et de livraisons dans les grandes villes algériennes. Après s'être implantée dans l'ensemble du Maghreb, la start-up vise maintenant le reste de l'Afrique.

En à peine cinq ans Yassir, le "Uber algérien", s'est imposée au Maghreb, au Canada et en France. Prochaine étape pour étendre cette application de Taxi et de livraison de repas, le Sénégal, le Nigeria et l'Afrique du Sud.


Ecole polytechnique d'Alger​

Créée par Noureddine Tayebi et Mehdi Yettou, deux ingénieurs algériens, la start-up, très populaire dans le Maghreb et qui opère via une application 100% algérienne, s'est fait remarquer fin 2021 en levant 30 millions de dollars auprès d'investisseurs américains.

Diplômé de l'Ecole polytechnique d'Alger, M. Tayebi était ingénieur-chercheur dans une grande firme technologique de la Silicon Valley (Etats-Unis), après un doctorat de l'université américaine Stanford, quand il est venu créer en Algérie une application de taxis à la commande.

Lancée mi-2017 à Alger, ville de quatre millions d'habitants en déficit chronique de transports en commun, Yassir était déjà présente à Oran, Constantine et Annaba début 2018. Elle a été baptisée Yassir, un jeu de mots entre "facile" et "rouler" en arabe.


Les deux ingénieurs qui partagent leur temps entre Alger et la Californie ont dû s'armer de patience pour affronter la bureaucratie algérienne réputée tatillonne et souvent décriée comme étant peu propice aux affaires. "La bureaucratie fait partie des obstacles qu'il faut surmonter. Je ne dis pas que c'est facile mais il faut faire avec et aller de l'avant", indique M. Tayebi.

Prochain objectif : l'Afrique subsaharienne​

Aujourd'hui, Yassir est présente dans 25 villes entre Algérie, Maroc, Tunisie, Canada et France et revendique quatre millions d'utilisateurs. L'entreprise vient de se lancer au Sénégal et prévoit de s'implanter ailleurs en Afrique de l'Ouest avant les "gros marchés" africains (Afrique du Sud, Nigeria et Egypte). Un développement rapide malgré la concurrence d'autres applications telles qu'Uber ou Heetch. Depuis son lancement, Yassir a généré plus de 40 000 emplois indirects, principalement de chauffeurs et livreurs. Sans oublier les quelque 600 informaticiens qui optimisent les mises en relation et les commandes.

La start-up enregistre "une progression de 20 à 40% de son chiffre d'affaires mensuel", assure Noureddine Tayebi, mais pour grandir, elle doit aussi recruter des centaines de cerveaux. "Yassir est déjà le plus gros employeur d'ingénieurs informaticiens au Maghreb et nous voulons tripler voire quadrupler ce chiffre", indique son cofondateur avant d'ajouter : "Nous sommes très ambitieux. Le but est de créer la plus grande entreprise de technologies, pas seulement en Afrique, mais au monde. Pour l'atteindre, il faut être sur pas mal de marchés régionaux, continentaux et au niveau mondial."

Au-delà des taxis sur commande, le groupe s'est diversifié dans la livraison de repas et l'épicerie en ligne avec Yassir Express. Aujourd'hui, il se prépare à développer ses propres services de paiement en ligne, une solution encore balbutiante en Algérie. Pour le moment, les clients payent leurs commandes à réception et en liquide.
Hyakteb lioum Allah nejah
 
Pour prendre le contre-pied de certains propagandistes qui font les poubelles du Web pour chercher des articles péjoratifs mais qui évitent soigneusement une information qui a bien circulé dans la presse. C'est la voie à suivre pour l'Algérie, la libéralisation de l'économie, l'incitation à l'entrepreneuriat...


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Yassir, la start-up algérienne aux 600 ingénieurs qui fait son chemin en Afrique​

Yassir a commencé à fournir des services de taxis et de livraisons dans les grandes villes algériennes. Après s'être implantée dans l'ensemble du Maghreb, la start-up vise maintenant le reste de l'Afrique.

En à peine cinq ans Yassir, le "Uber algérien", s'est imposée au Maghreb, au Canada et en France. Prochaine étape pour étendre cette application de Taxi et de livraison de repas, le Sénégal, le Nigeria et l'Afrique du Sud.


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Créée par Noureddine Tayebi et Mehdi Yettou, deux ingénieurs algériens, la start-up, très populaire dans le Maghreb et qui opère via une application 100% algérienne, s'est fait remarquer fin 2021 en levant 30 millions de dollars auprès d'investisseurs américains.

Diplômé de l'Ecole polytechnique d'Alger, M. Tayebi était ingénieur-chercheur dans une grande firme technologique de la Silicon Valley (Etats-Unis), après un doctorat de l'université américaine Stanford, quand il est venu créer en Algérie une application de taxis à la commande.

Lancée mi-2017 à Alger, ville de quatre millions d'habitants en déficit chronique de transports en commun, Yassir était déjà présente à Oran, Constantine et Annaba début 2018. Elle a été baptisée Yassir, un jeu de mots entre "facile" et "rouler" en arabe.


Les deux ingénieurs qui partagent leur temps entre Alger et la Californie ont dû s'armer de patience pour affronter la bureaucratie algérienne réputée tatillonne et souvent décriée comme étant peu propice aux affaires. "La bureaucratie fait partie des obstacles qu'il faut surmonter. Je ne dis pas que c'est facile mais il faut faire avec et aller de l'avant", indique M. Tayebi.

Prochain objectif : l'Afrique subsaharienne​

Aujourd'hui, Yassir est présente dans 25 villes entre Algérie, Maroc, Tunisie, Canada et France et revendique quatre millions d'utilisateurs. L'entreprise vient de se lancer au Sénégal et prévoit de s'implanter ailleurs en Afrique de l'Ouest avant les "gros marchés" africains (Afrique du Sud, Nigeria et Egypte). Un développement rapide malgré la concurrence d'autres applications telles qu'Uber ou Heetch. Depuis son lancement, Yassir a généré plus de 40 000 emplois indirects, principalement de chauffeurs et livreurs. Sans oublier les quelque 600 informaticiens qui optimisent les mises en relation et les commandes.

La start-up enregistre "une progression de 20 à 40% de son chiffre d'affaires mensuel", assure Noureddine Tayebi, mais pour grandir, elle doit aussi recruter des centaines de cerveaux. "Yassir est déjà le plus gros employeur d'ingénieurs informaticiens au Maghreb et nous voulons tripler voire quadrupler ce chiffre", indique son cofondateur avant d'ajouter : "Nous sommes très ambitieux. Le but est de créer la plus grande entreprise de technologies, pas seulement en Afrique, mais au monde. Pour l'atteindre, il faut être sur pas mal de marchés régionaux, continentaux et au niveau mondial."

Au-delà des taxis sur commande, le groupe s'est diversifié dans la livraison de repas et l'épicerie en ligne avec Yassir Express. Aujourd'hui, il se prépare à développer ses propres services de paiement en ligne, une solution encore balbutiante en Algérie. Pour le moment, les clients payent leurs commandes à réception et en liquide.
Eeeeh bé tu vois ça ça nous fait plaisir ... ça nous change de vos exploits habituels :D
 
Tu aurais posté un truc pareil sur une startup marocaine dans un forum algérien tu aurais des commentaires genre: startup des ayachas, motabi3ine qui font des startup, honte à vous avec vos startup vive la palestine etc etc
On est trop bien éduqué...
 
Mais celui qui l a créé est sûrement d'origine marocaine 😁😂

C'est la seule entreprise privée en Algérie ? Car on ne parle que d'elle alors que au Maroc y en a des dizaines de milliers 🤡😎
 
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Yassir, la start-up algérienne aux 600 ingénieurs qui fait son chemin en Afrique​

Yassir a commencé à fournir des services de taxis et de livraisons dans les grandes villes algériennes. Après s'être implantée dans l'ensemble du Maghreb, la start-up vise maintenant le reste de l'Afrique.

En à peine cinq ans Yassir, le "Uber algérien", s'est imposée au Maghreb, au Canada et en France. Prochaine étape pour étendre cette application de Taxi et de livraison de repas, le Sénégal, le Nigeria et l'Afrique du Sud.


Ecole polytechnique d'Alger​

Créée par Noureddine Tayebi et Mehdi Yettou, deux ingénieurs algériens, la start-up, très populaire dans le Maghreb et qui opère via une application 100% algérienne, s'est fait remarquer fin 2021 en levant 30 millions de dollars auprès d'investisseurs américains.

Diplômé de l'Ecole polytechnique d'Alger, M. Tayebi était ingénieur-chercheur dans une grande firme technologique de la Silicon Valley (Etats-Unis), après un doctorat de l'université américaine Stanford, quand il est venu créer en Algérie une application de taxis à la commande.

Lancée mi-2017 à Alger, ville de quatre millions d'habitants en déficit chronique de transports en commun, Yassir était déjà présente à Oran, Constantine et Annaba début 2018. Elle a été baptisée Yassir, un jeu de mots entre "facile" et "rouler" en arabe.


Les deux ingénieurs qui partagent leur temps entre Alger et la Californie ont dû s'armer de patience pour affronter la bureaucratie algérienne réputée tatillonne et souvent décriée comme étant peu propice aux affaires. "La bureaucratie fait partie des obstacles qu'il faut surmonter. Je ne dis pas que c'est facile mais il faut faire avec et aller de l'avant", indique M. Tayebi.

Prochain objectif : l'Afrique subsaharienne​

Aujourd'hui, Yassir est présente dans 25 villes entre Algérie, Maroc, Tunisie, Canada et France et revendique quatre millions d'utilisateurs. L'entreprise vient de se lancer au Sénégal et prévoit de s'implanter ailleurs en Afrique de l'Ouest avant les "gros marchés" africains (Afrique du Sud, Nigeria et Egypte). Un développement rapide malgré la concurrence d'autres applications telles qu'Uber ou Heetch. Depuis son lancement, Yassir a généré plus de 40 000 emplois indirects, principalement de chauffeurs et livreurs. Sans oublier les quelque 600 informaticiens qui optimisent les mises en relation et les commandes.

La start-up enregistre "une progression de 20 à 40% de son chiffre d'affaires mensuel", assure Noureddine Tayebi, mais pour grandir, elle doit aussi recruter des centaines de cerveaux. "Yassir est déjà le plus gros employeur d'ingénieurs informaticiens au Maghreb et nous voulons tripler voire quadrupler ce chiffre", indique son cofondateur avant d'ajouter : "Nous sommes très ambitieux. Le but est de créer la plus grande entreprise de technologies, pas seulement en Afrique, mais au monde. Pour l'atteindre, il faut être sur pas mal de marchés régionaux, continentaux et au niveau mondial."

Au-delà des taxis sur commande, le groupe s'est diversifié dans la livraison de repas et l'épicerie en ligne avec Yassir Express. Aujourd'hui, il se prépare à développer ses propres services de paiement en ligne, une solution encore balbutiante en Algérie. Pour le moment, les clients payent leurs commandes à réception et en liquide.


c'est trés bien,

mais leur site est quand même bien pourri et au sommet de l'amateurisme, une mise en page superficielle, 2 témoignages bidons, des images libres de droits vraiment communes, la police d'écriture laisse à désirer, je me pose vraiment des questions sur le sérieux de cette entreprise et sur l'affirmation du fait qu'elle à des milliers d'utilisateurs...


 
Dernière édition:
Il faut encourager ce genre de projet, c’est grace à des personnes intelligentes et ambitieuses qu’un pays peut changer.
Oui bon la c’est surtout grâce aux investisseurs ( la en l’occurrence Américain) il n’y a rien d’innovant c’est juste une application (copie d’Uber ) dans une autre version destinée à une autre population , le principal étant la libération économique à l’intérieur du pays même et privilégier la recherche et les études dans le pays ( la les créateurs viennent d’écoles américaines) si on veut progresser sans attendre des investisseurs étrangers , et comme dit @tonystark , fait très amateur leur site ( je dis pas ça pour dénigrer ) L’autre truc qui me turlupine c’est 600 ingénieurs pour une appli , ça me parait énorme .
 
Oui bon la c’est surtout grâce aux investisseurs ( la en l’occurrence Américain) il n’y a rien d’innovant c’est juste une application (copie d’Uber ) dans une autre version destinée à une autre population , le principal étant la libération économique à l’intérieur du pays même et privilégier la recherche et les études dans le pays ( la les créateurs viennent d’écoles américaines) si on veut progresser sans attendre des investisseurs étrangers , et comme dit @tonystark , fait très amateur leur site ( je dis pas ça pour dénigrer ) L’autre truc qui me turlupine c’est 600 ingénieurs pour une appli , ça me parait énorme .


Et lorsque l'on regarde le développeur de l'app c'est "mntechnologie inc" qui semble t'il est une entreprise marocaine......
 
Oui bon la c’est surtout grâce aux investisseurs ( la en l’occurrence Américain) il n’y a rien d’innovant c’est juste une application (copie d’Uber ) dans une autre version destinée à une autre population , le principal étant la libération économique à l’intérieur du pays même et privilégier la recherche et les études dans le pays ( la les créateurs viennent d’écoles américaines) si on veut progresser sans attendre des investisseurs étrangers , et comme dit @tonystark , fait très amateur leur site ( je dis pas ça pour dénigrer ) L’autre truc qui me turlupine c’est 600 ingénieurs pour une appli , ça me parait énorme .

Peu importe si ce n’est pas innovant et qu’il y a des investisseurs americain derrière. Le plus important c’est que des gens se bougent le luc pour offrir des services utiles à une population 🤷🏻‍♀️. Pourquoi tjrs voir le négatif plutôt que d’encourager l’initiative ?
 
c'est tout ce que je souhaite au peuple algérien, inchallah avant celle ci il y en a eu d'autres mais toutes ont baissé leur bras ou rame , le peuple est pas bête et n'est pas né d'hier il sait qu'avec ce gouvernement de corrompu il arrivera jamais à rien
là ca parle d'un immigré ou enfant d'immigré vivant aux states, avant lui il y en a eu d'autres sur d'autres marchés et ont échoués
à la différence des algériens vivant au pays qui essaient de monté des entreprises les immigré peuvent repartir et se reconstruire contrairement aux algériens du pays qui eux perdent tout

il y a ce que la presse veut faire croire et il y a la réalité qui est bien là
 
Dernière édition:
Salam

Il s'agit a la base d'une filiale de la star-tup Américaine Yassir in

Salam

Lol tu me fais rire :D c'est pas parce que la Map dit ça que c'est vrai. C'est de la communication ...
Si Yassir communique au Maroc en se positionnant comme une boite algérienne, ils ne prendront aucune part du marché.
Et si la Map fait la promotion d'une boite algérienne ...

C'est juste de la communication pour ne pas dire autre chose, de part et d'autre
 
Salam

Lol tu me fais rire :D c'est pas parce que la Map dit ça que c'est vrai. C'est de la communication ...
Si Yassir communique au Maroc en se positionnant comme une boite algérienne, ils ne prendront aucune part du marché.
Et si la Map fait la promotion d'une boite algérienne ...

C'est juste de la communication pour ne pas dire autre chose, de part et d'autre
Je n'ai pas compris le sens de ton intervention !?
J'ai juste précisé par le biais de cet article qu'à la base qu'il s'agissait d'une star tup Américaine sus nommé Yassir Inc et qu'elle s'implantait selon les lois en vigueur de chaque pays et qu'elle était implanté au Maroc depuis 2 ans.
 
C'est une belle histoire cette boîte. Lever 30 millions d'euros de la part d'investisseurs américains, c'est pas anecdotique. Si l'Algérie se reforme pour faciliter l'environnement de affaires, le pays va décoller.
 
C'est une belle histoire cette boîte. Lever 30 millions d'euros de la part d'investisseurs américains, c'est pas anecdotique. Si l'Algérie se reforme pour faciliter l'environnement de affaires, le pays va décoller.
Quoi?! tu acceptes l'argent sal des américains?! tu vends la palestine pour 30 millions d'euros?! Tu es un traître à la cause suprême et centrale des arabo-musulmans!? Cette levée de fonds est une traîtrise pour la cause arabe point final! rien à dire! Vous êtes les esclaves des américano-sionistes!! Tu as baissé ton froc point final!
 
Quoi?! tu acceptes l'argent sal des américains?! tu vends la palestine pour 30 millions d'euros?! Tu es un traître à la cause suprême et centrale des arabo-musulmans!? Cette levée de fonds est une traîtrise pour la cause arabe point final! rien à dire! Vous êtes les esclaves des américano-sionistes!! Tu as baissé ton froc point final!

Quand c'est le voisin la critique est plus facile. Tout fier de prendre de l'argent aux ricains et ça se permet de critiquer le Maroc.
 
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