tizniti
Soyons sérieux .
Le ministère algérien des Affaires étrangères a réagi jeudi à la mise en accusation par la justice suisse de l’ex-ministre de la Défense Khaled Nezzar pour crimes contre l’humanité, laissant entendre que l’affaire pourrait aller jusqu’à provoquer une rupture des relations entre les deux pays.
« Cette affaire a atteint les limites de l’inadmissible et de l’intolérable », a-t-il ajouté, en espérant que « tout soit entrepris pour éviter que cette affaire n’entraîne les relations entre l’Algérie et la Suisse sur la voie de l’indésirable et de l’irréparable ». Et de poursuivre : « La justice suisse a offert avec beaucoup de légèreté une tribune aux terroristes, à leurs alliés et à leurs soutiens pour tenter de discréditer le combat honorable de notre pays contre le terrorisme. »
Alger estime que « la justice suisse procède à une lecture révisionniste de l’histoire de notre pays durant les années 1990 », fustigeant « des accusations outrancières et infondées ».
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Khaled Nezzar sera jugé en Suisse pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité
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