L'après deuxième tour des élections régionales
Cest volontairement que nous avons laissé passer la petite déferlante médiatico-politique qui a suivi le 2ème tour des élections régionales. Un peu de distance permet souvent daller à lessentiel. Cette élection est caractérisée par la forte abstention qui se situe autours de 50 % , cette abstention ayant une conséquence sur le résultat réel de tous les partis politiques en compétition. Tous ces partis ont en effet perdu des voix (chute du nombre réel de votants). Ce sont donc des partis largement minoritaires qui auront la gestion de nos régions.
On remarquera que, malgré les appels pressants aux abstentionnistes entre les deux tours, les citoyens ont continué à bouder les urnes massivement. Le Parti Anti Sioniste avait appelé à labstention considérant que cette élection était un leurre. Quels pouvoirs peut avoir une assemblée régionale au moment même où les principaux États européens se déclarent impuissants face aux marchés financiers ? Que peut faire un conseil régional lorsque les décisions vitales se prennent ailleurs ? Il semble que tous ces Français abstentionnistes aient fait le même raisonnement.
Malgré ce désaveu que constitue cette abstention massive, la classe politique du Système a réagi selon son habitude : un mini remaniement (dit technique) du gouvernement, et déjà dans tous les partis les querelles de personnes en vue de lélection présidentielle de 2012.
Nous observons que le pouvoir personnel et insolent du Président Sarkozy a été quelque peu bousculé par ses propres parlementaires. Ceux-ci en effet, inquiets pour leur avenir, lui ont fait connaitre leur mécontentement en ovationnant M. Fillon, 1er Ministre, lui indiquant par là que la recherche dun remplaçant pour 2012 avait commencé...
Nous savons que M. Sarkozy na pu parvenir à la présidence quavec laide tenace du lobby sioniste en France. On peut penser que devant limpopularité de ce Président, le lobby lui-même est en recherche dun successeur plus présentable. Nous relevons la déclaration de Mme Carla Bruni, épouse du Président, souhaitant que son mari éventuellement ne soit pas candidat en 2012 (Le Monde, 26/03/10). Sagit-il dun simple souhait ou dun avertissement destiné à tous ceux qui en politique ont loreille fine ?
M. Sarkozy a déjà rempli une large part du contrat souhaité par le lobby : réintégration de la France dans lOTAN, participation active aux préparatifs de guerre contre lIran, soutien sans faille à Israël, et enfin le CRIF chargé de la « formation » des magistrats, policiers, et enseignants afin dinculquer la pensée « correcte » et contrôler chaque jour davantage la classe politique.
Les sionistes étant connus pour leur ingratitude envers ceux qui ne leur sont plus utiles, M. Sarkozy pourrait peut être dores et déjà se considérer en sursis. Il semble que la même recherche dun candidat présentable pour le lobby existe aussi à gauche. Le sioniste Georges Frêche qui sest fait élire contre la direction du Parti Socialiste sur une base populiste, et Mme Ségolène Royale dont un des conseillers politiques est M. Bernard-Henri Levy, semblent déjà constituer un axe pour barrer la route à Mme Aubry si cette dernière voulait empêcher M. Strauss-Kahn de se présenter
Comme on le voit, toutes ces combinaisons dappareils ne sont pas seulement liées à des ambitions personnelles mais à une stratégie bien précise : quel « ami dIsraël » peut-on commencer à formater pour faire croire aux Français quil sera leur sauveur en 2012 ?
(...)
Le Président, Yahia Gouasmi.
Pour lire l'article entièrement : http://www.partiantisioniste.com/co...xieme-tour-des-elections-regionales-0376.html
Cest volontairement que nous avons laissé passer la petite déferlante médiatico-politique qui a suivi le 2ème tour des élections régionales. Un peu de distance permet souvent daller à lessentiel. Cette élection est caractérisée par la forte abstention qui se situe autours de 50 % , cette abstention ayant une conséquence sur le résultat réel de tous les partis politiques en compétition. Tous ces partis ont en effet perdu des voix (chute du nombre réel de votants). Ce sont donc des partis largement minoritaires qui auront la gestion de nos régions.
On remarquera que, malgré les appels pressants aux abstentionnistes entre les deux tours, les citoyens ont continué à bouder les urnes massivement. Le Parti Anti Sioniste avait appelé à labstention considérant que cette élection était un leurre. Quels pouvoirs peut avoir une assemblée régionale au moment même où les principaux États européens se déclarent impuissants face aux marchés financiers ? Que peut faire un conseil régional lorsque les décisions vitales se prennent ailleurs ? Il semble que tous ces Français abstentionnistes aient fait le même raisonnement.
Malgré ce désaveu que constitue cette abstention massive, la classe politique du Système a réagi selon son habitude : un mini remaniement (dit technique) du gouvernement, et déjà dans tous les partis les querelles de personnes en vue de lélection présidentielle de 2012.
Nous observons que le pouvoir personnel et insolent du Président Sarkozy a été quelque peu bousculé par ses propres parlementaires. Ceux-ci en effet, inquiets pour leur avenir, lui ont fait connaitre leur mécontentement en ovationnant M. Fillon, 1er Ministre, lui indiquant par là que la recherche dun remplaçant pour 2012 avait commencé...
Nous savons que M. Sarkozy na pu parvenir à la présidence quavec laide tenace du lobby sioniste en France. On peut penser que devant limpopularité de ce Président, le lobby lui-même est en recherche dun successeur plus présentable. Nous relevons la déclaration de Mme Carla Bruni, épouse du Président, souhaitant que son mari éventuellement ne soit pas candidat en 2012 (Le Monde, 26/03/10). Sagit-il dun simple souhait ou dun avertissement destiné à tous ceux qui en politique ont loreille fine ?
M. Sarkozy a déjà rempli une large part du contrat souhaité par le lobby : réintégration de la France dans lOTAN, participation active aux préparatifs de guerre contre lIran, soutien sans faille à Israël, et enfin le CRIF chargé de la « formation » des magistrats, policiers, et enseignants afin dinculquer la pensée « correcte » et contrôler chaque jour davantage la classe politique.
Les sionistes étant connus pour leur ingratitude envers ceux qui ne leur sont plus utiles, M. Sarkozy pourrait peut être dores et déjà se considérer en sursis. Il semble que la même recherche dun candidat présentable pour le lobby existe aussi à gauche. Le sioniste Georges Frêche qui sest fait élire contre la direction du Parti Socialiste sur une base populiste, et Mme Ségolène Royale dont un des conseillers politiques est M. Bernard-Henri Levy, semblent déjà constituer un axe pour barrer la route à Mme Aubry si cette dernière voulait empêcher M. Strauss-Kahn de se présenter
Comme on le voit, toutes ces combinaisons dappareils ne sont pas seulement liées à des ambitions personnelles mais à une stratégie bien précise : quel « ami dIsraël » peut-on commencer à formater pour faire croire aux Français quil sera leur sauveur en 2012 ?
(...)
Le Président, Yahia Gouasmi.
Pour lire l'article entièrement : http://www.partiantisioniste.com/co...xieme-tour-des-elections-regionales-0376.html