Les Occidentaux n'aiment pas que l'on badine avec leur approvisionnement en pétrole.
Et pourtant, le cartel OPEP+ qui concentre près de 80% de la production mondiale de pétrole a décidé de réduire la production de 2 millions de barils de pétrole par jour. Coup dur pour Joseph Biden dont les élections de mid terms approchent à grands pas. Il est loin le temps où la Russie s'opposait à l'Arabie Saoudite qui voulait limiter la production pour gonfler les prix de l'or noir et ainsi faire la n$que aux EUA. Autre temps. Autres intérêts.
Autre grand perdant, la France. Le président Macron avait accueilli en grandes pompes le prince héritier MBS. L'on aurait cru à un retour à la normale après les accusations qui ont suivi l'assassinat du journaliste et opposant Jamal Khashoggi mais il n'en est pas question vraisemblablement pour le futur Roi d'Arabie Saoudite.
Il faudrait quand même faire attention à une possible destabilisation du royaume wahabbite par les Américains. Il y a un précédent après les deux chocs pétroliers et l'assassinat du roi Fayçal par un ... déséquilibré. Commode. Beaucoup aimerait que le jeune prince tombe après les arrestations arbitraires de magnats et la séquestration du jeune premier ministre libanais Hariri dont la famille était très proche de la France (le père Rafik Hariri prêtait à J. Chirac un appartement à Paris après ss deux mandats).
Les mois et les années à venir vont être intéressants à suivre. En pleine guerre en Ukraine qui est conduite par procuration entre américains et russes, Poutine est en train de constituer autour de lui un bloc d'autocrates dont 3 ont l'arme nucléaire : Corée du Nord, Chine et Russie. La Corée ayant multiplié les provocations avec encore cette semaine des tirs de missiles balistiques.
Il faut prendre au sérieux les propos du maître du Kremlin Vladimir Poutine. Après l'explosion du pont reliant la Crimée - annexée -, à la Russie, il n'est pas exclu qu'il fasse son Hiroshima/Nagasaki. La Russie est acculée, dos au mur et le jusqu'au boutisme de V. Zelynski qui pavane avec l'aide des Occidentaux risque de précipiter le continent dans une guerre asymétrique d'un autre type et attisée par les ... EUA. Quand on cherche, on trouve.
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Et pourtant, le cartel OPEP+ qui concentre près de 80% de la production mondiale de pétrole a décidé de réduire la production de 2 millions de barils de pétrole par jour. Coup dur pour Joseph Biden dont les élections de mid terms approchent à grands pas. Il est loin le temps où la Russie s'opposait à l'Arabie Saoudite qui voulait limiter la production pour gonfler les prix de l'or noir et ainsi faire la n$que aux EUA. Autre temps. Autres intérêts.
Autre grand perdant, la France. Le président Macron avait accueilli en grandes pompes le prince héritier MBS. L'on aurait cru à un retour à la normale après les accusations qui ont suivi l'assassinat du journaliste et opposant Jamal Khashoggi mais il n'en est pas question vraisemblablement pour le futur Roi d'Arabie Saoudite.
Il faudrait quand même faire attention à une possible destabilisation du royaume wahabbite par les Américains. Il y a un précédent après les deux chocs pétroliers et l'assassinat du roi Fayçal par un ... déséquilibré. Commode. Beaucoup aimerait que le jeune prince tombe après les arrestations arbitraires de magnats et la séquestration du jeune premier ministre libanais Hariri dont la famille était très proche de la France (le père Rafik Hariri prêtait à J. Chirac un appartement à Paris après ss deux mandats).
Les mois et les années à venir vont être intéressants à suivre. En pleine guerre en Ukraine qui est conduite par procuration entre américains et russes, Poutine est en train de constituer autour de lui un bloc d'autocrates dont 3 ont l'arme nucléaire : Corée du Nord, Chine et Russie. La Corée ayant multiplié les provocations avec encore cette semaine des tirs de missiles balistiques.
Il faut prendre au sérieux les propos du maître du Kremlin Vladimir Poutine. Après l'explosion du pont reliant la Crimée - annexée -, à la Russie, il n'est pas exclu qu'il fasse son Hiroshima/Nagasaki. La Russie est acculée, dos au mur et le jusqu'au boutisme de V. Zelynski qui pavane avec l'aide des Occidentaux risque de précipiter le continent dans une guerre asymétrique d'un autre type et attisée par les ... EUA. Quand on cherche, on trouve.
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