salam
Territoire encore largement inconnu pour les amateurs de dépaysement non musulmans, l’Arabie saoudite, sous l’influence réformatrice de son jeune prince héritier Mohammed bin Salman, n’en finit pas de nous surprendre, s’ouvrant à la modernité et au reste du monde à un rythme ébouriffant…
Diversification de son économie oblige et après avoir longtemps opposé son veto, le royaume saoudien est désormais fin prêt à miser sur l’industrie du tourisme pour se libérer de sa dépendance à l’or noir, cette prodigieuse mine d’or qui semble se tarir, et renflouer ses caisses en ramassant les milliards de dollars qui en jailliront, telle une nouvelle source miraculeuse de profits.
Année charnière, s’il en est, 2018 inaugurera une ère placée sous le signe de l’ouverture de ses frontières aux curieux venus d’ailleurs et de toutes confessions, et de la délivrance de précieux visas afin de sillonner un pays (hormis la terre sacrée de La Mecque) qui regorge de trésors insoupçonnés, que le nouvel homme fort de la monarchie wahhabite, Mohammed bin Salman, promet de valoriser.
« Notre public cible est composé de personnes qui veulent visiter notre pays pour découvrir sa grandeur et ses sites d’exception », a déclaré mercredi le prince héritier dont la toute-puissance s’évalue à l’aune des trois hautes fonctions qu’il occupe : vice-Premier ministre, ministre de la Défense et chef de la Commission du tourisme et du patrimoine culturel.
« J’espère que tout sera en place pour que les visas soient délivrés en 2018 », a-t-il ajouté, en précisant que les demandes et l’ensemble des démarches administratives pourront se faire en ligne.
Sur tous les fronts, bousculant des traditions immuables et les mentalités figées dans l’archaïsme afin de parachever son plan de développement « Vision 2030 », Mohammed bin Salman, le grand ordonnateur de la vaste purge qui a récemment pris dans ses filets un aréopage de princes et de ministres réputés indétrônables, poursuit un double objectif : inciter les Saoudiens à passer leurs vacances à l’intérieur de leur pays, et non plus sous d’autres latitudes, pour éviter la fuite de capitaux, mais aussi transformer une cinquantaine d’îles au large de la mer Rouge en des stations balnéaires de luxe pour attirer une clientèle étrangère fortunée.
https://oumma.com/larabie-saoudite-ouvrira-portes-aux-touristes-etrangers-2018/
Territoire encore largement inconnu pour les amateurs de dépaysement non musulmans, l’Arabie saoudite, sous l’influence réformatrice de son jeune prince héritier Mohammed bin Salman, n’en finit pas de nous surprendre, s’ouvrant à la modernité et au reste du monde à un rythme ébouriffant…
Diversification de son économie oblige et après avoir longtemps opposé son veto, le royaume saoudien est désormais fin prêt à miser sur l’industrie du tourisme pour se libérer de sa dépendance à l’or noir, cette prodigieuse mine d’or qui semble se tarir, et renflouer ses caisses en ramassant les milliards de dollars qui en jailliront, telle une nouvelle source miraculeuse de profits.
Année charnière, s’il en est, 2018 inaugurera une ère placée sous le signe de l’ouverture de ses frontières aux curieux venus d’ailleurs et de toutes confessions, et de la délivrance de précieux visas afin de sillonner un pays (hormis la terre sacrée de La Mecque) qui regorge de trésors insoupçonnés, que le nouvel homme fort de la monarchie wahhabite, Mohammed bin Salman, promet de valoriser.
« Notre public cible est composé de personnes qui veulent visiter notre pays pour découvrir sa grandeur et ses sites d’exception », a déclaré mercredi le prince héritier dont la toute-puissance s’évalue à l’aune des trois hautes fonctions qu’il occupe : vice-Premier ministre, ministre de la Défense et chef de la Commission du tourisme et du patrimoine culturel.
« J’espère que tout sera en place pour que les visas soient délivrés en 2018 », a-t-il ajouté, en précisant que les demandes et l’ensemble des démarches administratives pourront se faire en ligne.
Sur tous les fronts, bousculant des traditions immuables et les mentalités figées dans l’archaïsme afin de parachever son plan de développement « Vision 2030 », Mohammed bin Salman, le grand ordonnateur de la vaste purge qui a récemment pris dans ses filets un aréopage de princes et de ministres réputés indétrônables, poursuit un double objectif : inciter les Saoudiens à passer leurs vacances à l’intérieur de leur pays, et non plus sous d’autres latitudes, pour éviter la fuite de capitaux, mais aussi transformer une cinquantaine d’îles au large de la mer Rouge en des stations balnéaires de luxe pour attirer une clientèle étrangère fortunée.
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