Laurence Ferrari quitte le 20 heures de TF1 pour Direct 8

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Casablanca d'antan
VIB
Ca y est, le mercato télé 2012 a son icône : Laurence Ferrari, dont le Figaro a annoncé hier soir qu’elle quittait le 20 heures de TF1 en proie à des audiences déclinantes et après une campagne présidentielle remportée par France 2. Depuis un mois, le PDG de la Une Nonce Paolini et la directrice de l’information Catherine Nayl se sont l’un après l’autre échiné à démentir son départ qui semblait pourtant de plus en plus inéluctable. « Laurence Ferrari et sa rédactrice en chef sont contestées en interne, elles ne sont pas à la hauteur du sujet », déclarait le 14 mai à Libération un journaliste de la rédaction de TF1 où l’on frisait la motion de défiance à l’endroit de la journalistes aux manettes du 20 heures depuis août 2008. Version Ferrari dans le Parisien de ce matin : « Présenter le 20 Heures est un exercice très lourd, avec une pression permanente. Dès le départ, je savais que ce serait difficile. »

Laurence Ferrari avait remplacé PPDA à ce poste avec pour mission de maintenir l’écart avec France 2 : raté. Symbole de la toute-puissance perdue de TF1 en matière d’information : la Deux a battu la Une lors des soirées électorales de la présidentielle. Et mardi encore, c’est sur France 2 que François Hollande a choisi de faire sa première intervention télévisée depuis qu’il est président de la République.

Au Parisien, Laurence Ferrari dit son « envie profonde de renouveau. C’est ce que me propose le groupe Canal + avec un projet très positif dans un registre très différent de ce que je fais actuellement ». A 45 ans, la journaliste va en effet rejoindre Direct 8, que le groupe Canal+ est en train de racheter, où elle devrait présenter un talk-show. Car, explique cette petite punk de Ferrari : « J’ai envie d’une émission plus libre, moins codifiée, où l’on ne me demandera pas de rentrer dans un moule. » Bref, c’était Direct 8 ou la fugue en Alaska.

Quant à celui ou celle qui posera son séant dans le fauteuil hautement éjectable du 20 heures de TF1, les noms vont déjà bon train : Gilles Bouleau, interim de Ferrari, Laurent Delahousse aujourd’hui aux éditions du week-end de France 2, Harry Roselmack qui anime 7 à 8 le dimanche sur TF1. Le sort de la directrice de l’info Catherine Nayl, vivement décriée par la rédaction de la Une, est encore en suspens.


Libération
 
petitbijou a dit:
Ca y est, le mercato télé 2012 a son icône : Laurence Ferrari, dont le Figaro a annoncé hier soir qu’elle quittait le 20 heures de TF1 en proie à des audiences déclinantes et après une campagne présidentielle remportée par France 2. Depuis un mois, le PDG de la Une Nonce Paolini et la directrice de l’information Catherine Nayl se sont l’un après l’autre échiné à démentir son départ qui semblait pourtant de plus en plus inéluctable. « Laurence Ferrari et sa rédactrice en chef sont contestées en interne, elles ne sont pas à la hauteur du sujet », déclarait le 14 mai à Libération un journaliste de la rédaction de TF1 où l’on frisait la motion de défiance à l’endroit de la journalistes aux manettes du 20 heures depuis août 2008. Version Ferrari dans le Parisien de ce matin : « Présenter le 20 Heures est un exercice très lourd, avec une pression permanente. Dès le départ, je savais que ce serait difficile. »

Laurence Ferrari avait remplacé PPDA à ce poste avec pour mission de maintenir l’écart avec France 2 : raté. Symbole de la toute-puissance perdue de TF1 en matière d’information : la Deux a battu la Une lors des soirées électorales de la présidentielle. Et mardi encore, c’est sur France 2 que François Hollande a choisi de faire sa première intervention télévisée depuis qu’il est président de la République.

Au Parisien, Laurence Ferrari dit son « envie profonde de renouveau. C’est ce que me propose le groupe Canal + avec un projet très positif dans un registre très différent de ce que je fais actuellement ». A 45 ans, la journaliste va en effet rejoindre Direct 8, que le groupe Canal+ est en train de racheter, où elle devrait présenter un talk-show. Car, explique cette petite punk de Ferrari : « J’ai envie d’une émission plus libre, moins codifiée, où l’on ne me demandera pas de rentrer dans un moule. » Bref, c’était Direct 8 ou la fugue en Alaska.

Quant à celui ou celle qui posera son séant dans le fauteuil hautement éjectable du 20 heures de TF1, les noms vont déjà bon train : Gilles Bouleau, interim de Ferrari, Laurent Delahousse aujourd’hui aux éditions du week-end de France 2, Harry Roselmack qui anime 7 à 8 le dimanche sur TF1. Le sort de la directrice de l’info Catherine Nayl, vivement décriée par la rédaction de la Une, est encore en suspens.


Libération
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C'est plutôt la rédaction qui est pourrie
 
coucou,

c'est clair...et que dire de la dame blonde du Grand Journal de C+ qui ne sait même pas manier la langue française...(Ariane quelque chose...)




Adebisi a dit:
Présentateur de JT c'est le bon plan : lire un prompteur pendant une trentaine de minutes pour un salaire mensuel à 6 chiffres
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Les téléspectateurs font l'audience....et l'audimat.

Les publicitaires accompagnent les émissions les plus regardées.

Perte d'audimat----->perte de publicités ------->diminution des recettes -----> fin!
 
Meuse a dit:
Les téléspectateurs font l'audience....et l'audimat.

Les publicitaires accompagnent les émissions les plus regardées.

Perte d'audimat----->perte de publicités ------->diminution des recettes -----> fin!
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Sans oublier la nouvelle de france 2 qui va mettre des publicité juste après le 20H, ça fera concurrence !
 
claire chazal aussi devrait partir, on comprend rien quand elle parle, on dirait qu'elle a des pertes de mémoires, elle est tjrs entrain de dire euh ... euh... et son regard est inexpressif
 
C'est quand meme bizarre ce depart
En même temps, quand on se croit la meilleure, alors qu'on a juste scandaleusement piqué la place d'un vrai présentateur de JT et ce sans vergogne, il ne faut pas s'étonner qu'on ne fasse pas long feu et qu'on termine aux oubliettes
 
petitbijou a dit:
Ca y est, le mercato télé 2012 a son icône : Laurence Ferrari, dont le Figaro a annoncé hier soir qu’elle quittait le 20 heures de TF1 en proie à des audiences déclinantes et après une campagne présidentielle remportée par France 2. Depuis un mois, le PDG de la Une Nonce Paolini et la directrice de l’information Catherine Nayl se sont l’un après l’autre échiné à démentir son départ qui semblait pourtant de plus en plus inéluctable. « Laurence Ferrari et sa rédactrice en chef sont contestées en interne, elles ne sont pas à la hauteur du sujet », déclarait le 14 mai à Libération un journaliste de la rédaction de TF1 où l’on frisait la motion de défiance à l’endroit de la journalistes aux manettes du 20 heures depuis août 2008. Version Ferrari dans le Parisien de ce matin : « Présenter le 20 Heures est un exercice très lourd, avec une pression permanente. Dès le départ, je savais que ce serait difficile. »

Laurence Ferrari avait remplacé PPDA à ce poste avec pour mission de maintenir l’écart avec France 2 : raté. Symbole de la toute-puissance perdue de TF1 en matière d’information : la Deux a battu la Une lors des soirées électorales de la présidentielle. Et mardi encore, c’est sur France 2 que François Hollande a choisi de faire sa première intervention télévisée depuis qu’il est président de la République.

Au Parisien, Laurence Ferrari dit son « envie profonde de renouveau. C’est ce que me propose le groupe Canal + avec un projet très positif dans un registre très différent de ce que je fais actuellement ». A 45 ans, la journaliste va en effet rejoindre Direct 8, que le groupe Canal+ est en train de racheter, où elle devrait présenter un talk-show. Car, explique cette petite punk de Ferrari : « J’ai envie d’une émission plus libre, moins codifiée, où l’on ne me demandera pas de rentrer dans un moule. » Bref, c’était Direct 8 ou la fugue en Alaska.

Quant à celui ou celle qui posera son séant dans le fauteuil hautement éjectable du 20 heures de TF1, les noms vont déjà bon train : Gilles Bouleau, interim de Ferrari, Laurent Delahousse aujourd’hui aux éditions du week-end de France 2, Harry Roselmack qui anime 7 à 8 le dimanche sur TF1. Le sort de la directrice de l’info Catherine Nayl, vivement décriée par la rédaction de la Une, est encore en suspens.


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Je me demandais combien de temps
aprés Sarko elle allait tenir.
Bien mal acquis ne profite jamais.
Elle était insipide.
 
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