Le 15 mars devient la journée internationale de lutte contre l'islamophobie

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L'Assemblée générale des Nations Unies vient de créer la journée de lutte contre l'islamophobie. Une résolution contestée par certains pays, dont la France.
Le 15 mars est désormais la journée internationale de lutte contre l’islamophobie. Cette résolution a été proposée par le Pakistan, une république islamique qui compte plus de 173 millions de musulmans. Le pays estime que l’islamophobie constitue « une violation des droits humains et des libertés de religion et de conviction des musulmans » et souligne l’anxiété qui pèse sur les musulmans depuis le 11 septembre 2001.

« Les attaques, les soupçons et la peur des musulmans ont pris des proportions "épidémiques", et l’islamophobie est amplifiée par certains discours politiques et de nouvelles lois et restrictions de visas » déplore le délégué pakistanais à l’ONU. Il dénonce également une islamophobie « visible dans certains médias et dans les discours d’extrême droite qui exploitent la peur de l’islam à des fins électorales ».
La résolution a été adoptée par consensus par les 193 membres de l’Assemblée générale des Nations unies. Mais plusieurs États membres, dont la France, ont exprimé des critiques sur la création d’une telle journée.

Un terme qui fait débat​

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
« La résolution ne répond pas à la préoccupation, que nous partageons tous, de lutter contre toutes les formes de discriminations » déplore-t-il, « car elle segmente la lutte contre l’intolérance religieuse, en ne sélectionnant qu’une seule religion à l’exclusion des autres, sans référence à la liberté de croire ou de ne pas croire ».

Appel à la tolérance​

Le texte « appelle au renforcement des efforts internationaux pour favoriser un dialogue mondial sur la promotion d’une culture de tolérance et de paix à tous les niveaux, fondée sur le respect des droits de l’homme et de la diversité des religions et des convictions ».
La résolution « déplore vivement tous les actes de violence à l’encontre des personnes sur la base de leur religion ou de leurs convictions et les actes dirigés contre leurs lieux de culte, ainsi que toutes les attaques contre et dans les lieux, sites et sanctuaires religieux, qui sont une violation du droit international ».

Une journée pour sensibiliser​

Le texte « invite à organiser et à soutenir divers événements à haute visibilité visant à accroître efficacement la sensibilisation à tous les niveaux sur la lutte contre l’islamophobie ».
La création d’une journée internationale est un symbole : la résolution de l’ONU est non contraignante, les pays qui ne l’observeraient pas n’encourent donc aucune sanction. Mais dédier une journée à la lutte contre l’islamophobie permet de mobiliser « les États membres, les organisations compétentes des Nations unies, les autres organisations internationales et régionales et la société civile, le secteur privé et les organisations confessionnelles, associations et des institutions publiques ».
Autant de moyens de faire évoluer les mentalités vers plus de tolérance : d’après un sondage Ifop pour la Dilcrah et la Fondation Jean-Jaurès, 42 % des musulmans vivant en France affirment avoir fait l’objet d’au moins une forme de discrimination liée à leur religion au moins une fois dans leur vie.


 
[…]
Un terme qui fait débat

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
[…]
Rien que ça, c’est révélateur. Le même type de mot pour parler d’autres phobies ne fait pourtant pas débat.

Après, si certains spécimens pouvaient se taire, ça aiderait peut‑être, parce que quand des gens le lisent, s’ils le tiennent pour représentatif, ça ne peut que faire des dégâts.
 
Dernière modification par un modérateur:
[…]
Autant de moyens de faire évoluer les mentalités vers plus de tolérance : d’après un sondage Ifop pour la Dilcrah et la Fondation Jean-Jaurès, 42 % des musulmans vivant en France affirment avoir fait l’objet d’au moins une forme de discrimination liée à leur religion au moins une fois dans leur vie.
[…]
Ça signifie que 58 % n’en ont jamais connu aucune, et même les 42 % qui en ont connu une, une fois, ça ne fait pas des conditions invivables. Ce qu’il faudrait connaître, c’est la proportion de gens qui la connaissent au point d’en rendre la vie difficile ; cet autre taux est au moins inférieur à 48 %, c’est sûr, mais ça ne dit pas combien. La sondage était auprès de la population, un sondage auprès des politiques serait plus intéressant. C’est plus au niveau des politiques qu’au niveau de la population globale qu’est le problème. Les politiques sont déconnectés de la population en général de toutes manières.
 
Cette résolution a été proposée par le Pakistan, une république islamique qui compte plus de 173 millions de musulmans. Le pays estime que l’islamophobie constitue « une violation des droits humains et des libertés de religion et de conviction des musulmans » et souligne l’anxiété qui pèse sur les musulmans depuis le 11 septembre 2001.
Une republique islamique qui donne des leçons de tolérance c'est pas beau ça ?

On souligne bien sûr l'anxiété qui pese sur les musulmans qui sont victimes du 11 septembre (c'est eux les victimes du WTC ?)

Lamentable
 
Une republique islamique qui donne des leçons de tolérance c'est pas beau ça ?

On souligne bien sûr l'anxiété qui pese sur les musulmans qui sont victimes du 11 septembre (c'est eux les victimes du WTC ?)

Lamentable
Pakistan, pays irréprochable dans la défense des droits des minorités religieuses sur son sol... Pays qui a aussi beaucoup manifesté contre Charlie Hebdo, journal bien évidemment disponible dans tous les kiosques à journaux du pays :bizarre:

Ce qu'ils veulent, c'est juste promouvoir une interdiction du blasphème (en faveur de l'islam seulement, on a bien le droit de dire que les autres religions sont fausses, hein !) au niveau international.

Bref, le terme "anti-musulmans" me paraît mieux adapté qu"islamophobie" qui, effectivement, se réfère à une croyance et pas à ses pratiquants.
 
salam


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L'Assemblée générale des Nations Unies vient de créer la journée de lutte contre l'islamophobie. Une résolution contestée par certains pays, dont la France.
Le 15 mars est désormais la journée internationale de lutte contre l’islamophobie. Cette résolution a été proposée par le Pakistan, une république islamique qui compte plus de 173 millions de musulmans. Le pays estime que l’islamophobie constitue « une violation des droits humains et des libertés de religion et de conviction des musulmans » et souligne l’anxiété qui pèse sur les musulmans depuis le 11 septembre 2001.

« Les attaques, les soupçons et la peur des musulmans ont pris des proportions "épidémiques", et l’islamophobie est amplifiée par certains discours politiques et de nouvelles lois et restrictions de visas » déplore le délégué pakistanais à l’ONU. Il dénonce également une islamophobie « visible dans certains médias et dans les discours d’extrême droite qui exploitent la peur de l’islam à des fins électorales ».
La résolution a été adoptée par consensus par les 193 membres de l’Assemblée générale des Nations unies. Mais plusieurs États membres, dont la France, ont exprimé des critiques sur la création d’une telle journée.

Un terme qui fait débat​

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
« La résolution ne répond pas à la préoccupation, que nous partageons tous, de lutter contre toutes les formes de discriminations » déplore-t-il, « car elle segmente la lutte contre l’intolérance religieuse, en ne sélectionnant qu’une seule religion à l’exclusion des autres, sans référence à la liberté de croire ou de ne pas croire ».

Appel à la tolérance​

Le texte « appelle au renforcement des efforts internationaux pour favoriser un dialogue mondial sur la promotion d’une culture de tolérance et de paix à tous les niveaux, fondée sur le respect des droits de l’homme et de la diversité des religions et des convictions ».
La résolution « déplore vivement tous les actes de violence à l’encontre des personnes sur la base de leur religion ou de leurs convictions et les actes dirigés contre leurs lieux de culte, ainsi que toutes les attaques contre et dans les lieux, sites et sanctuaires religieux, qui sont une violation du droit international ».

Une journée pour sensibiliser​

Le texte « invite à organiser et à soutenir divers événements à haute visibilité visant à accroître efficacement la sensibilisation à tous les niveaux sur la lutte contre l’islamophobie ».
La création d’une journée internationale est un symbole : la résolution de l’ONU est non contraignante, les pays qui ne l’observeraient pas n’encourent donc aucune sanction. Mais dédier une journée à la lutte contre l’islamophobie permet de mobiliser « les États membres, les organisations compétentes des Nations unies, les autres organisations internationales et régionales et la société civile, le secteur privé et les organisations confessionnelles, associations et des institutions publiques ».
Autant de moyens de faire évoluer les mentalités vers plus de tolérance : d’après un sondage Ifop pour la Dilcrah et la Fondation Jean-Jaurès, 42 % des musulmans vivant en France affirment avoir fait l’objet d’au moins une forme de discrimination liée à leur religion au moins une fois dans leur vie.


Enfin!
Aaaah les islamophobes vont pas être contents. Et tant mieux 🤗
 
salam


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L'Assemblée générale des Nations Unies vient de créer la journée de lutte contre l'islamophobie. Une résolution contestée par certains pays, dont la France.
Le 15 mars est désormais la journée internationale de lutte contre l’islamophobie. Cette résolution a été proposée par le Pakistan, une république islamique qui compte plus de 173 millions de musulmans. Le pays estime que l’islamophobie constitue « une violation des droits humains et des libertés de religion et de conviction des musulmans » et souligne l’anxiété qui pèse sur les musulmans depuis le 11 septembre 2001.

« Les attaques, les soupçons et la peur des musulmans ont pris des proportions "épidémiques", et l’islamophobie est amplifiée par certains discours politiques et de nouvelles lois et restrictions de visas » déplore le délégué pakistanais à l’ONU. Il dénonce également une islamophobie « visible dans certains médias et dans les discours d’extrême droite qui exploitent la peur de l’islam à des fins électorales ».
La résolution a été adoptée par consensus par les 193 membres de l’Assemblée générale des Nations unies. Mais plusieurs États membres, dont la France, ont exprimé des critiques sur la création d’une telle journée.

Un terme qui fait débat​

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
« La résolution ne répond pas à la préoccupation, que nous partageons tous, de lutter contre toutes les formes de discriminations » déplore-t-il, « car elle segmente la lutte contre l’intolérance religieuse, en ne sélectionnant qu’une seule religion à l’exclusion des autres, sans référence à la liberté de croire ou de ne pas croire ».

Appel à la tolérance​

Le texte « appelle au renforcement des efforts internationaux pour favoriser un dialogue mondial sur la promotion d’une culture de tolérance et de paix à tous les niveaux, fondée sur le respect des droits de l’homme et de la diversité des religions et des convictions ».
La résolution « déplore vivement tous les actes de violence à l’encontre des personnes sur la base de leur religion ou de leurs convictions et les actes dirigés contre leurs lieux de culte, ainsi que toutes les attaques contre et dans les lieux, sites et sanctuaires religieux, qui sont une violation du droit international ».

Une journée pour sensibiliser​

Le texte « invite à organiser et à soutenir divers événements à haute visibilité visant à accroître efficacement la sensibilisation à tous les niveaux sur la lutte contre l’islamophobie ».
La création d’une journée internationale est un symbole : la résolution de l’ONU est non contraignante, les pays qui ne l’observeraient pas n’encourent donc aucune sanction. Mais dédier une journée à la lutte contre l’islamophobie permet de mobiliser « les États membres, les organisations compétentes des Nations unies, les autres organisations internationales et régionales et la société civile, le secteur privé et les organisations confessionnelles, associations et des institutions publiques ».
Autant de moyens de faire évoluer les mentalités vers plus de tolérance : d’après un sondage Ifop pour la Dilcrah et la Fondation Jean-Jaurès, 42 % des musulmans vivant en France affirment avoir fait l’objet d’au moins une forme de discrimination liée à leur religion au moins une fois dans leur vie.


Nous devons continuer notre lutte contre l'islamophobie car nos ennemis ne dorment jamais et leurs obsessions haineuse et maladive contre notre communauté et notre foi sont aussi forte que la perversion et la barbarie de leurs projets que l'islam et les musulmans gênent par leurs seul existence.
 
salam

bien sûr la France était contre...
Salam
Pas la France mais la RF dominée par des milliardaires parmi les pires islamophobes qui existent sur terre.
Je rappel qu'avant d'etre islamophobe les élites qui dominent la RF étaient christianophobes et ils ont réussi à éliminer de France le catholicisme et les catholiques qui y vivaient pour les grand remplacé par une population complètement endoctrinées par les croyances RF.

Ils veulent réaliser la meme chose avec les musulmans, les désislamiser comme ils ont déchristianisé les gens avant nous, bi idnilah ils ne réussiront jamais mais les résultats sont la, une partie des notre a été complètement éloigner de l'islam comme on peut le constater malheureusement aujourd'hui. On fera tout les ramener au Dine et sauver un max d'entre eux bi 3awnilah.
 

Un terme qui fait débat​

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
« La résolution ne répond pas à la préoccupation, que nous partageons tous, de lutter contre toutes les formes de discriminations » déplore-t-il, « car elle segmente la lutte contre l’intolérance religieuse, en ne sélectionnant qu’une seule religion à l’exclusion des autres, sans référence à la liberté de croire ou de ne pas croire ».

Eeeeeet voila ! Encore cette petite morveuse qui fait sa ***** ... ça c'est un complexe d'envergure cette petite république de mmmm... n a jamais mérité sa place au cps elle se prend deux raclées consécutives s effondre en quelques mois face aux allemands et s invite dans la table des vainqueurs ... elle va payer son imposture :D
 
Pakistan, pays irréprochable dans la défense des droits des minorités religieuses sur son sol... Pays qui a aussi beaucoup manifesté contre Charlie Hebdo, journal bien évidemment disponible dans tous les kiosques à journaux du pays :bizarre:

Ce qu'ils veulent, c'est juste promouvoir une interdiction du blasphème (en faveur de l'islam seulement, on a bien le droit de dire que les autres religions sont fausses, hein !) au niveau international.

Bref, le terme "anti-musulmans" me paraît mieux adapté qu"islamophobie" qui, effectivement, se réfère à une croyance et pas à ses pratiquants.

Interdire le blasphème ça peut paraître incongru pour un français pourtant c'est une question de respect. Si tu t'autorises à insulter les croyances des gens il faut alors acceptee de te faire insulter en retour. On en arrive à ce foutoir qu'est la France où tout le monde se détestent.
 
Bien évidement car on leur a fait porter la responsabilité de cette mascarade.
Je vais pas m'étaler là dessus.
Il faut demander aux Bush lol
Non mais les abrutis par les médias ravis de la triple vaccinations croient dans la version bush du 11/09, ils croient aux ADM de Sadam, que la Russie c'est le méchant du film et tout ce que la télé peut leurs bibronner de débile, tant que la télé le dit c'est que c'est vrai.
 
Interdire le blasphème ça peut paraître incongru pour un français pourtant c'est une question de respect. Si tu t'autorises à insulter les croyances des gens il faut alors acceptee de te faire insulter en retour. On en arrive à ce foutoir qu'est la France où tout le monde se détestent.
En ce cas, il faut enlever tous les textes disant que le christianisme et le judaïsme sont falsifiés... Faudra ainsi enlever que Jésus n'est pas mort sur la croix car c'est un blasphème pour les chrétiens.

Je ne cherche pas à te pousser dans tes retranchements, juste à te montrer les limites des lois anti-blasphèmes : si on ne peut plus rien dire sur une religion, il en va de même pour les autres, non ?
Et là, on en arrive aux dogmes où chacun est libre de penser que Jésus n'est pas mort sur la croix... ce qui veut dire que d'autres ont le droit de penser que dieu, allah ou yahvé, c'est du bullshit. Et, à la limite, on s'en fout, non ?
L'important c'est que cela ne touche pas des personnes. C'est pourquoi je pense que le terme "anti-musulman" est plus adapté qu'"islamophobie".
 
En ce cas, il faut enlever tous les textes disant que le christianisme et le judaïsme sont falsifiés... Faudra ainsi enlever que Jésus n'est pas mort sur la croix car c'est un blasphème pour les chrétiens.

Je ne cherche pas à te pousser dans tes retranchements, juste à te montrer les limites des lois anti-blasphèmes : si on ne peut plus rien dire sur une religion, il en va de même pour les autres, non ?
Et là, on en arrive aux dogmes où chacun est libre de penser que Jésus n'est pas mort sur la croix... ce qui veut dire que d'autres ont le droit de penser que dieu, allah ou yahvé, c'est du bullshit. Et, à la limite, on s'en fout, non ?
L'important c'est que cela ne touche pas des personnes. C'est pourquoi je pense que le terme "anti-musulman" est plus adapté qu'"islamophobie".

Les suisse, les irlandais et les allemands gèrent très bien cela.
Bien entendu que l'interdiction de blasphémer doit être appliquée pour toutes les religions.

Là tu rentres dans un débat qui n'existe même pas entre croyants de différentes religions, chacun pratique sa religion de son côté sans interférer dans celle de l'autre.

Je trouve ton approche malhônnete car ce sont les athées qui attaquent les religions, il n'existe pas de confrontation des dogmes entre les autres croyants.

L'islamophobie, la haine de l'Islam est une réalité, elle engendre des exactions contre les musulmans,ils n'ont pas d'origine particulière c'est pour cela qu'islamophobie est plus adequat.
De plus les musulmans ont le droit de choisir le terme qui leur convient le mieux, on meur retire même ce droit, c'est fou cette façon invasive que vous avez à décider pour les autres.
 
Les suisse, les irlandais et les allemands gèrent très bien cela.
Bien entendu que l'interdiction de blasphémer doit être appliquée pour toutes les religions.

Là tu rentres dans un débat qui n'existe même pas entre croyants de différentes religions, chacun pratique sa religion de son côté sans interférer dans celle de l'autre.

Je trouve ton approche malhônnete car ce sont les athées qui attaquent les religions, il n'existe pas de confrontation des dogmes entre les autres croyants.

L'islamophobie, la haine de l'Islam est une réalité, elle engendre des exactions contre les musulmans,ils n'ont pas d'origine particulière c'est pour cela qu'islamophobie est plus adequat.
De plus les musulmans ont le droit de choisir le terme qui leur convient le mieux, on meur retire même ce droit, c'est fou cette façon invasive que vous avez à décider pour les autres.
OK, c'est ton point de vue.

Je ne pense pas que les Allemands, Irlandais ou Suisses gèrent mieux que cela...

Tu penses que je suis malhonnête car les athées attaquent plus les religions ? Alors :
1- je ne suis pas athée
2- rappelle-moi combien d'athées ont agressé (ou tué) ces dernières années des religieux, dont de confession musulmane ?

Donc, la malhonnêteté...

Que les musulmans choisissent le terme qui leur convient le mieux, soit. S'ils choisissent un terme amalgamant comme "islamophobie" signifiant littéralement "peur de l'islam", c'est intéressant... mais cela ne veut pas dire être "contre les musulmans".
Donc, s'ils choisissent ce mot, ça veut dire que quiconque critique ou dit du mal de l'islam c'est comme si cela touchait directement leurs croyants ? Que dire alors d'un texte qui qualifie de "bétail" ceux qui ne croient pas en lui... C'est pas "éveillé", tout ça...:D

Enfin, je dois être un kon/no-life/islamotruc/vieux/débile/BFM comme il m'est souvent répété "ici"... Pour moi, les mots ont encore un sens.

Sur ce, bonne soirée, j'ai eu mon lot d'insultes pour la semaine... Bonnes "joutes oratoires" sur ce "forum".
 
Interdire le blasphème ça peut paraître incongru pour un français pourtant c'est une question de respect. Si tu t'autorises à insulter les croyances des gens il faut alors acceptee de te faire insulter en retour. On en arrive à ce foutoir qu'est la France où tout le monde se détestent.
Le gros soucis en France c'est que ceux qui sont sensé représenter ou parlementer avec les Croyants de toute sortes sont nés athées de parents athées.. La loi ne peux pas être claire avec la religion car c'est quelque qui n'est pas physique... La Loi de la République prime mais quand une religion se sent moins défendue par la République.. Il y a une tentation communautaire des plus fragiles... Alors On a des grands sauveurs de la République qui veulent dissoudre des textes plus anciens que les lois Françaises.. Et qui s'embrouillent avec les moins intelligents des croyants. Bref du bon cinéma qui occupe la télé... Moi je dis, tant que les Chrétiens pratiquants ne trouveront pas le bon écho chez les Musulmans pratiquants... . Etc... ce sera toujours une bonne Macédoine en France. Normalement quand un Chrétien est touché tous les musulmans doivent le soutenir et vice versa.. Ainsi peut être les Loi seront vraiment pour toutes les religions avec un représentant pour toutes les religions...
 
OK, c'est ton point de vue.

Je ne pense pas que les Allemands, Irlandais ou Suisses gèrent mieux que cela...

Tu penses que je suis malhonnête car les athées attaquent plus les religions ? Alors :
1- je ne suis pas athée
2- rappelle-moi combien d'athées ont agressé (ou tué) ces dernières années des religieux, dont de confession musulmane ?
quand on dénonce ce type de manipulation dont se servent les islamophobes comme zemort et autres, vous vous posez en victime.
Il ne s'agit pas de parler des athées mais de l'islamophobie dont sont victime les musulmans et qui provoquent des massacres, des agressions, des discriminations et un certains nombres d'injustice insupportables que ton discours et celui des tiens permet l'existence et la perpétuation de ces abominations contre notre communauté.
Quand tu répètes ici ce qui se dit dans les médias islamophobes tu participes à cette islamophobie et donc à tous les crimes et injustice que cela engendre.
 
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Le gros soucis en France c'est que ceux qui sont sensé représenter ou parlementer avec les Croyants de toute sortes sont nés athées de parents athées.. La loi ne peux pas être claire avec la religion car c'est quelque qui n'est pas physique... La Loi de la République prime mais quand une religion se sent moins défendue par la République.. Il y a une tentation communautaire des plus fragiles... Alors On a des grands sauveurs de la République qui veulent dissoudre des textes plus anciens que les lois Françaises.. Et qui s'embrouillent avec les moins intelligents des croyants. Bref du bon cinéma qui occupe la télé... Moi je dis, tant que les Chrétiens pratiquants ne trouveront pas le bon écho chez les Musulmans pratiquants... . Etc... ce sera toujours une bonne Macédoine en France. Normalement quand un Chrétien est touché tous les musulmans doivent le soutenir et vice versa.. Ainsi peut être les Loi seront vraiment pour toutes les religions avec un représentant pour toutes les religions...
Exemple de solidarité, quand des gens ont sali des église en France, des musulmans se sont montrés solidaires.
 
Le gros soucis en France c'est que ceux qui sont sensé représenter ou parlementer avec les Croyants de toute sortes sont nés athées de parents athées.. La loi ne peux pas être claire avec la religion car c'est quelque qui n'est pas physique... La Loi de la République prime mais quand une religion se sent moins défendue par la République.. Il y a une tentation communautaire des plus fragiles... Alors On a des grands sauveurs de la République qui veulent dissoudre des textes plus anciens que les lois Françaises.. Et qui s'embrouillent avec les moins intelligents des croyants. Bref du bon cinéma qui occupe la télé... Moi je dis, tant que les Chrétiens pratiquants ne trouveront pas le bon écho chez les Musulmans pratiquants... . Etc... ce sera toujours une bonne Macédoine en France. Normalement quand un Chrétien est touché tous les musulmans doivent le soutenir et vice versa.. Ainsi peut être les Loi seront vraiment pour toutes les religions avec un représentant pour toutes les religions...
Il est toujours utile pour le pouvoir d'entretenir les tensions, malheureusement beaucoup d'idiots tombent dans le panneau
 
salam


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L'Assemblée générale des Nations Unies vient de créer la journée de lutte contre l'islamophobie. Une résolution contestée par certains pays, dont la France.
Le 15 mars est désormais la journée internationale de lutte contre l’islamophobie. Cette résolution a été proposée par le Pakistan, une république islamique qui compte plus de 173 millions de musulmans. Le pays estime que l’islamophobie constitue « une violation des droits humains et des libertés de religion et de conviction des musulmans » et souligne l’anxiété qui pèse sur les musulmans depuis le 11 septembre 2001.

« Les attaques, les soupçons et la peur des musulmans ont pris des proportions "épidémiques", et l’islamophobie est amplifiée par certains discours politiques et de nouvelles lois et restrictions de visas » déplore le délégué pakistanais à l’ONU. Il dénonce également une islamophobie « visible dans certains médias et dans les discours d’extrême droite qui exploitent la peur de l’islam à des fins électorales ».
La résolution a été adoptée par consensus par les 193 membres de l’Assemblée générale des Nations unies. Mais plusieurs États membres, dont la France, ont exprimé des critiques sur la création d’une telle journée.

Un terme qui fait débat​

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
« La résolution ne répond pas à la préoccupation, que nous partageons tous, de lutter contre toutes les formes de discriminations » déplore-t-il, « car elle segmente la lutte contre l’intolérance religieuse, en ne sélectionnant qu’une seule religion à l’exclusion des autres, sans référence à la liberté de croire ou de ne pas croire ».

Appel à la tolérance​

Le texte « appelle au renforcement des efforts internationaux pour favoriser un dialogue mondial sur la promotion d’une culture de tolérance et de paix à tous les niveaux, fondée sur le respect des droits de l’homme et de la diversité des religions et des convictions ».
La résolution « déplore vivement tous les actes de violence à l’encontre des personnes sur la base de leur religion ou de leurs convictions et les actes dirigés contre leurs lieux de culte, ainsi que toutes les attaques contre et dans les lieux, sites et sanctuaires religieux, qui sont une violation du droit international ».

Une journée pour sensibiliser​

Le texte « invite à organiser et à soutenir divers événements à haute visibilité visant à accroître efficacement la sensibilisation à tous les niveaux sur la lutte contre l’islamophobie ».
La création d’une journée internationale est un symbole : la résolution de l’ONU est non contraignante, les pays qui ne l’observeraient pas n’encourent donc aucune sanction. Mais dédier une journée à la lutte contre l’islamophobie permet de mobiliser « les États membres, les organisations compétentes des Nations unies, les autres organisations internationales et régionales et la société civile, le secteur privé et les organisations confessionnelles, associations et des institutions publiques ».
Autant de moyens de faire évoluer les mentalités vers plus de tolérance : d’après un sondage Ifop pour la Dilcrah et la Fondation Jean-Jaurès, 42 % des musulmans vivant en France affirment avoir fait l’objet d’au moins une forme de discrimination liée à leur religion au moins une fois dans leur vie.




Bien ! les journées de lutte contre llc judeophobie c'est 365 jours sur 365 jours
 
Là tu rentres dans un débat qui n'existe même pas entre croyants de différentes religions, chacun pratique sa religion de son côté sans interférer dans celle de l'autre.

Je trouve ton approche malhônnete car ce sont les athées qui attaquent les religions, il n'existe pas de confrontation des dogmes entre les autres croyants.
Tu es sérieuse ?
 
OK, c'est ton point de vue.

Je ne pense pas que les Allemands, Irlandais ou Suisses gèrent mieux que cela...

Tu penses que je suis malhonnête car les athées attaquent plus les religions ? Alors :
1- je ne suis pas athée
2- rappelle-moi combien d'athées ont agressé (ou tué) ces dernières années des religieux, dont de confession musulmane ?

Donc, la malhonnêteté...

Que les musulmans choisissent le terme qui leur convient le mieux, soit. S'ils choisissent un terme amalgamant comme "islamophobie" signifiant littéralement "peur de l'islam", c'est intéressant... mais cela ne veut pas dire être "contre les musulmans".
Donc, s'ils choisissent ce mot, ça veut dire que quiconque critique ou dit du mal de l'islam c'est comme si cela touchait directement leurs croyants ? Que dire alors d'un texte qui qualifie de "bétail" ceux qui ne croient pas en lui... C'est pas "éveillé", tout ça...:D

Enfin, je dois être un kon/no-life/islamotruc/vieux/débile/BFM comme il m'est souvent répété "ici"... Pour moi, les mots ont encore un sens.

Sur ce, bonne soirée, j'ai eu mon lot d'insultes pour la semaine... Bonnes "joutes oratoires" sur ce "forum".
1/Un croyant qui milite pour le droit au blasphème, j'aurai tout vu lol
2/de mémoire en France il y a eu 2 ou 3 imams agressés ces dernières années. Je ne parle même pas des attaques islamophobes dirigées principalement contre les femmes.

Quant on parle d'islamophobie tu sais parfaitement à quoi cela renvoie, pareil lorsqu'on parle de xénophobie ou d'homophobie.
Peut être que ça te dépasse mais oui dire du mal de l'Islam et insulter l'Islam c'est attaquer les musulmans, les musulmans sont vicéralement attachés à leur religion, dans une France qui passe son temps à donner des leçons de morale au monde entier, encourager la violence, la vulgarité avec le droit au blasphème c'est juste hypocrite et surtout dangereux.

Dans une société multi culturelle et multi ethnique on prône la paix, la fraternité, une minorité qui gouverne la France fait tout le contraire, bref vous avez la société que vous méritez.
 
Tu es sérieuse ?
Absolument, je parle du blasphème, les croyants sont tous d'accord pour l'interdire et c'est le meilleur compromis, pourquoi aller publier des caricatures insultantes et insulter les croyants.
On aurait pas le droit d'insulter le président de la république pourtant, pourquoi interdire le blasphème contre la sacralité du statut de président?

Le blasphère est une forme de provocation et de violence
 
Absolument, je parle du blasphème, les croyants sont tous d'accord pour l'interdire et c'est le meilleur compromis, pourquoi aller publier des caricatures insultantes et insulter les croyants.
On aurait pas le droit d'insulter le président de la république pourtant, pourquoi interdire le blasphème contre la sacralité du statut de président?

Le blasphère est une forme de provocation et de violence
Tu ne réponds pas à ce que j'ai cité.
Tes 2 paragraphes te discréditent totalement.
 
1- je ne suis pas athée
2- rappelle-moi combien d'athées ont agressé (ou tué) ces dernières années des religieux, dont de confession musulmane ?


Réponse:

à ton petit 1 ) tu n'es peut être pas athé, mais tu te sent catho, et tu a une haine VISCÉRALE de l'islam, mais on ne t'en veut pas tu a été programmé par les médias.

à ton petit 2 ) le régime communiste, à fait le plus gros génocide du XXéme siècle envers les croyants, et aujourdhui en chine tu as la même chose envers les musulmans
 
salam


Le-15-mars-devient-la-journee-internationale-de-lutte-contre-l-islamophobie.jpg


L'Assemblée générale des Nations Unies vient de créer la journée de lutte contre l'islamophobie. Une résolution contestée par certains pays, dont la France.
Le 15 mars est désormais la journée internationale de lutte contre l’islamophobie. Cette résolution a été proposée par le Pakistan, une république islamique qui compte plus de 173 millions de musulmans. Le pays estime que l’islamophobie constitue « une violation des droits humains et des libertés de religion et de conviction des musulmans » et souligne l’anxiété qui pèse sur les musulmans depuis le 11 septembre 2001.

« Les attaques, les soupçons et la peur des musulmans ont pris des proportions "épidémiques", et l’islamophobie est amplifiée par certains discours politiques et de nouvelles lois et restrictions de visas » déplore le délégué pakistanais à l’ONU. Il dénonce également une islamophobie « visible dans certains médias et dans les discours d’extrême droite qui exploitent la peur de l’islam à des fins électorales ».
La résolution a été adoptée par consensus par les 193 membres de l’Assemblée générale des Nations unies. Mais plusieurs États membres, dont la France, ont exprimé des critiques sur la création d’une telle journée.

Un terme qui fait débat​

La France a ainsi désapprouvé l’utilisation du terme d’« islamophobie », qui ne fait l’objet d’aucune définition agréée en droit international. « Cette formule laisse penser que c’est la religion qui est protégée en tant que telle, et non les croyants », regrette Nicolas de Rivière, représentant de la France à l’ONU.
« La résolution ne répond pas à la préoccupation, que nous partageons tous, de lutter contre toutes les formes de discriminations » déplore-t-il, « car elle segmente la lutte contre l’intolérance religieuse, en ne sélectionnant qu’une seule religion à l’exclusion des autres, sans référence à la liberté de croire ou de ne pas croire ».

Appel à la tolérance​

Le texte « appelle au renforcement des efforts internationaux pour favoriser un dialogue mondial sur la promotion d’une culture de tolérance et de paix à tous les niveaux, fondée sur le respect des droits de l’homme et de la diversité des religions et des convictions ».
La résolution « déplore vivement tous les actes de violence à l’encontre des personnes sur la base de leur religion ou de leurs convictions et les actes dirigés contre leurs lieux de culte, ainsi que toutes les attaques contre et dans les lieux, sites et sanctuaires religieux, qui sont une violation du droit international ».

Une journée pour sensibiliser​

Le texte « invite à organiser et à soutenir divers événements à haute visibilité visant à accroître efficacement la sensibilisation à tous les niveaux sur la lutte contre l’islamophobie ».
La création d’une journée internationale est un symbole : la résolution de l’ONU est non contraignante, les pays qui ne l’observeraient pas n’encourent donc aucune sanction. Mais dédier une journée à la lutte contre l’islamophobie permet de mobiliser « les États membres, les organisations compétentes des Nations unies, les autres organisations internationales et régionales et la société civile, le secteur privé et les organisations confessionnelles, associations et des institutions publiques ».
Autant de moyens de faire évoluer les mentalités vers plus de tolérance : d’après un sondage Ifop pour la Dilcrah et la Fondation Jean-Jaurès, 42 % des musulmans vivant en France affirment avoir fait l’objet d’au moins une forme de discrimination liée à leur religion au moins une fois dans leur vie.



Contesté par la France mdr le berceau des droits de l'homme*

*blanc
 
Nivia à dit:
Là tu rentres dans un débat qui n'existe même pas entre croyants de différentes religions, chacun pratique sa religion de son côté sans interférer dans celle de l'autre.

Pour avoir vécu au Maroc et en France, j'ai été témoin du contraire de ce que tu affirmes à plusieurs reprises.
Pour avoir lu le coran en entier et quelques "chapitres" de la bible, je peux t'affirmer que ta déclaration est fausse.
Essaye de boire un verre d'eau dans la rue pendant le ramadan dans un pays "dit" musulman et reviens me dire que personne n'interfère dans ta croyance.

Nivia à dit:
Je trouve ton approche malhônnete car ce sont les athées qui attaquent les religions, il n'existe pas de confrontation des dogmes entre les autres croyants.

Je ne sais pas d'où tu sors cette information mais je m'inscris en faux. Les athées (dont je fais partie) s'en foutent royalement des religions et ne passent pas leur temps à en parler ni à les dénigrer.
On ne peut pas en dire de même des religieux. Suffit de lire les livres saints ou d'assister à une prière ou une messe pour le constater. Suffit juste de faire une synthèse de tout ce qui s'écrit relativement aux religions ici même.
 
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