Des associations algériennes, marocaines et tunisiennes lancent un appel commun en faveur de l'ouverture des frontières terrestres entre l'Algérie et le Maroc, l'unité du Maghreb et un changement pacifique dans la région. C'est ce qu'a indiqué ce vendredi 7 octobre le communiqué sanctionnant le séminaire organisé par le Rassemblement actions jeunesse (RAJ), du 3 au 5 octobre à Alger sous le thème : Pour un changement responsable par une citoyenneté active.
Le RAJ et le Comité national de défense pour les droits des chômeurs (CNDDC) de l'Algérie, l'Organisation démocratique du travail (ODT), l'Action jeunesse (AJ) et le Forum des alternatives (FMAS) du Maroc et le Forum des jeunes pour la citoyenneté et la créativité (FJCC) de la Tunisie, signataires dudit appel, ont rappelé dans le communiqué la nécessité « de poursuivre la lutte pacifique et la résistance civile » pour jouir des différentes libertés individuelles et collectives. Elles ont également insisté sur l'ouverture des frontières entre l'Algérie et le Maroc, une condition sine qua non pour la concrétisation de l'unité maghrébine. Elles préconisent en ce sens la prise des dispositions nécessaires pour garantir la liberté de circulation des personnes dans la région.
Ces organisation de jeunes appellent aussi les peuples du Maghreb à la mobilisation pour un changement pacifique ainsi quà la solidarité avec le peuple syrien « et tous les peuples de la région qui mènent des luttes pour la liberté, la dignité, la justice sociale et la démocratie ». Enfin, ces associations dénoncent la répression policière dont ont fait l'objet les militants du RAJ mardi dernier à Alger lors de la commémoration du mouvement d'octobre 1988.
Le RAJ et le Comité national de défense pour les droits des chômeurs (CNDDC) de l'Algérie, l'Organisation démocratique du travail (ODT), l'Action jeunesse (AJ) et le Forum des alternatives (FMAS) du Maroc et le Forum des jeunes pour la citoyenneté et la créativité (FJCC) de la Tunisie, signataires dudit appel, ont rappelé dans le communiqué la nécessité « de poursuivre la lutte pacifique et la résistance civile » pour jouir des différentes libertés individuelles et collectives. Elles ont également insisté sur l'ouverture des frontières entre l'Algérie et le Maroc, une condition sine qua non pour la concrétisation de l'unité maghrébine. Elles préconisent en ce sens la prise des dispositions nécessaires pour garantir la liberté de circulation des personnes dans la région.
Ces organisation de jeunes appellent aussi les peuples du Maghreb à la mobilisation pour un changement pacifique ainsi quà la solidarité avec le peuple syrien « et tous les peuples de la région qui mènent des luttes pour la liberté, la dignité, la justice sociale et la démocratie ». Enfin, ces associations dénoncent la répression policière dont ont fait l'objet les militants du RAJ mardi dernier à Alger lors de la commémoration du mouvement d'octobre 1988.