On "like" sur Facebook depuis un an, Une vidéo humoristique pour quitter sa copine, Le président mexicain sur Twitter. Chaque jour, le meilleur (et le pire) du web...
Le bouton "J'aime" sur Facebook a un an
Le petit pouce levé qui permet "d'aimer" liens, photos, vidéos, statuts et autres commentaires, a, lors de son apparition, été intégré par 50.000 sites Internet en une semaine.
En un mois, ils étaient 100.000, et le chiffre n'a cessé d'augmenter depuis. Selon Facebook, 10.000 sites intègrent ce bouton à leur site chaque jour. Une précédente étude avait montrer qu'"aimer" un lien était plus profitable pour les sites que d'être "tweetés". Il y aurait aujourd'hui 2,5 millions de sites ayant installé ce fameux bouton. La prolifération du "like" n'a pas cessé depuis son apparition, et a inspiré Google qui a créé son bouton "+1". Pas sûr qu'il ait autant de succès que celui de Facebook...
La vidéo de rupture pour hommes
Une vidéo - uniquement diffusée en anglais-, connaît son petit succès sur le web. Cinq Américains imaginent les raisons pour lesquelles ils pourraient quitter leur petite amie. Face caméra, ils entrent dans un monologue assez réjouissant et imaginent les arguments -volontairement assez misogynes- qu'ils pourraient avancer.
Pêle-mêle: "Ce n'est pas toi... (long silence)... si en fait, c'est toi." "Continue dans ce que tu fais de mieux: boire, et être une *****". Ou encore "Non, je n'ai pas envie de regarder encore 'Garden State'. Je déteste ce film"; "Je déteste tes amis, je déteste tes goûts en musique, je déteste que tu détestes autant le sport, je déteste que tu portes des chaussures inconfortables pour être élégante, et que tu te plaignes qu'elles te fassent mal, et que nous devions partir de la soirée plus tôt.." Et le savoureux "Ce pantalon te fait des grosses fesses? Non, ce sont tes fesses qui te font des grosses fesses". La vidéo a été vue plus de 120.000 fois sur YouTube et est largement partagée sur Facebook. Pour donner de l'inspiration?
Les ministres mexicains sur Twitter ?
Felipe Calderon, le président mexicain, a demandé à ses 19 ministres de s'inscrire sur Twitter, selon une information du Monde.fr.
Le gouvernement, en proie à de larges critiques sur sa politique de lutte contre le narcotrafic, qui a fait plus de 37.000 victimes depuis fin 2006, souhaiterait par ce biais "améliorer la démocratie en parlant vite et sans intermédiaire avec les citoyens", selon Sergio Octavio Contreras, professeur de communication politique. "Mais en réalité, l'outil semble être voué à court-circuiter et à influencer les médias et les leaders d'opinion", explique le professeur au Monde.fr. Pour le moment, la demande du président n'a pas vraiment été suivie par les ministres. Le ministre de la sécurité publique n'a posté qu'un seul message. Et si le compte du président est fort de 590.000 abonnés, ceux de la plupart des ministres ne dépassent pas les 3.000 lecteurs. (CB/DioraNews)
http://actu.orange.fr/high-tech/le-bouton-j-aime-a-un-an-un-succes-mondial_128101.html
Le bouton "J'aime" sur Facebook a un an
Le petit pouce levé qui permet "d'aimer" liens, photos, vidéos, statuts et autres commentaires, a, lors de son apparition, été intégré par 50.000 sites Internet en une semaine.
En un mois, ils étaient 100.000, et le chiffre n'a cessé d'augmenter depuis. Selon Facebook, 10.000 sites intègrent ce bouton à leur site chaque jour. Une précédente étude avait montrer qu'"aimer" un lien était plus profitable pour les sites que d'être "tweetés". Il y aurait aujourd'hui 2,5 millions de sites ayant installé ce fameux bouton. La prolifération du "like" n'a pas cessé depuis son apparition, et a inspiré Google qui a créé son bouton "+1". Pas sûr qu'il ait autant de succès que celui de Facebook...
La vidéo de rupture pour hommes
Une vidéo - uniquement diffusée en anglais-, connaît son petit succès sur le web. Cinq Américains imaginent les raisons pour lesquelles ils pourraient quitter leur petite amie. Face caméra, ils entrent dans un monologue assez réjouissant et imaginent les arguments -volontairement assez misogynes- qu'ils pourraient avancer.
Pêle-mêle: "Ce n'est pas toi... (long silence)... si en fait, c'est toi." "Continue dans ce que tu fais de mieux: boire, et être une *****". Ou encore "Non, je n'ai pas envie de regarder encore 'Garden State'. Je déteste ce film"; "Je déteste tes amis, je déteste tes goûts en musique, je déteste que tu détestes autant le sport, je déteste que tu portes des chaussures inconfortables pour être élégante, et que tu te plaignes qu'elles te fassent mal, et que nous devions partir de la soirée plus tôt.." Et le savoureux "Ce pantalon te fait des grosses fesses? Non, ce sont tes fesses qui te font des grosses fesses". La vidéo a été vue plus de 120.000 fois sur YouTube et est largement partagée sur Facebook. Pour donner de l'inspiration?
Les ministres mexicains sur Twitter ?
Felipe Calderon, le président mexicain, a demandé à ses 19 ministres de s'inscrire sur Twitter, selon une information du Monde.fr.
Le gouvernement, en proie à de larges critiques sur sa politique de lutte contre le narcotrafic, qui a fait plus de 37.000 victimes depuis fin 2006, souhaiterait par ce biais "améliorer la démocratie en parlant vite et sans intermédiaire avec les citoyens", selon Sergio Octavio Contreras, professeur de communication politique. "Mais en réalité, l'outil semble être voué à court-circuiter et à influencer les médias et les leaders d'opinion", explique le professeur au Monde.fr. Pour le moment, la demande du président n'a pas vraiment été suivie par les ministres. Le ministre de la sécurité publique n'a posté qu'un seul message. Et si le compte du président est fort de 590.000 abonnés, ceux de la plupart des ministres ne dépassent pas les 3.000 lecteurs. (CB/DioraNews)
http://actu.orange.fr/high-tech/le-bouton-j-aime-a-un-an-un-succes-mondial_128101.html