« Israël éradique le journalisme à Gaza », déclarait RSF dès le 21 novembre. « Il s’agit d’une atteinte à grande échelle à la liberté de la presse et d’expression », pouvait-on lire dans une tribune publiée dans l’Humanité. RSF a déposé plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) pour « établir la réalité des faits, et en quoi les journalistes ont été sciemment visés ».
En effet, le ciblage des journalistes est parfois assumé par des représentants de l’État d’Israël, tel que le ministre Benny Gantz, membre du cabinet de guerre, qui déclare que les reporters gazaouis qui ont couvert l’attaque du 7 octobre seront considérés comme des terroristes.
Le député du Likoud Danny Danon parle même d’ajouter à une liste de l’Agence de sécurité intérieure d’Israël ces journalistes à « éliminer ». RSF dénonce un « appel au meurtre » et rappelle que le ciblage des journalistes est un crime de guerre.
L'Humanité
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En effet, le ciblage des journalistes est parfois assumé par des représentants de l’État d’Israël, tel que le ministre Benny Gantz, membre du cabinet de guerre, qui déclare que les reporters gazaouis qui ont couvert l’attaque du 7 octobre seront considérés comme des terroristes.
Le député du Likoud Danny Danon parle même d’ajouter à une liste de l’Agence de sécurité intérieure d’Israël ces journalistes à « éliminer ». RSF dénonce un « appel au meurtre » et rappelle que le ciblage des journalistes est un crime de guerre.
L'Humanité
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