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Tayri nem tuder g-ul inu
le rapport préliminaire du Conseil de l’Europe sur «l’évaluation des risques de corruption du ministère du Commerce extérieur marocain» (dont L’Economiste a obtenu une copie) est on ne peut plus sévère. Il épingle les multiples carences de la fonction publique qui contribuent à alimenter les doutes dans le chef des investisseurs potentiels au Maroc. «La corruption n’est pas uniquement un problème national qui affecte la légitimité des institutions du Maroc, le fonctionnement de son économie de marché ou la qualité de vie de ses citoyens. C’est aussi un problème de réputation au niveau international», notent les auteurs du rapport du Conseil de l’Europe sur «L’évaluation des risques de corruption du ministère du Commerce extérieur» (MCE)
La suite : http://www.leconomiste.com/article/...re-le-marocde-notre-correspondant-permanent-b
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