amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Le délégué du ministère de la santé d’Errachidia s’est donné la mort, le 21 janvier, dans son domicile. Le suicide du fonctionnaire aurait été motivé par la piètre qualité des prestations du service de maternité de l’hôpital Moulay Ali Cherif.
Le fonctionnaire a été retrouvé pendu à un arbre dans son domicile à quelques encablures de l’hôpital Moulay Ali Cherif. Selon nos confrères de goud.ma, une lettre aurait été retrouvée dans la poche du fonctionnaire et dans laquelle on pouvait lire : « Je sacrifie ma vie au nom de toutes les mères qui peuvent mourir à n’importe quel moment au service de maternité de l’hôpital Moulay Ali Cherif. »
Ce suicide fait suite à la publication de photos par deux titres de la presse nationale dans lesquelles on voyait des femmes assises à même le sol dans le service de maternité de l’hôpital. La direction régionale de la santé de Meknès-Tafilalet a indiqué à travers un communiqué qu’« il est impossible que les femmes enceintes couchent à même la terre comme laissent entendre les photographies publiées dans les deux quotidiens. » Et de préciser que « ces personnes venaient rendre visite à leurs proches qui accouchaient à l’hôpital. » Suite au suicide de son fonctionnaire, le ministère de la santé a ouvert une enquête et les services de police comptent effectuer une autopsie sur le corps de la victime.
Source : telquel-online.com
Le fonctionnaire a été retrouvé pendu à un arbre dans son domicile à quelques encablures de l’hôpital Moulay Ali Cherif. Selon nos confrères de goud.ma, une lettre aurait été retrouvée dans la poche du fonctionnaire et dans laquelle on pouvait lire : « Je sacrifie ma vie au nom de toutes les mères qui peuvent mourir à n’importe quel moment au service de maternité de l’hôpital Moulay Ali Cherif. »
Ce suicide fait suite à la publication de photos par deux titres de la presse nationale dans lesquelles on voyait des femmes assises à même le sol dans le service de maternité de l’hôpital. La direction régionale de la santé de Meknès-Tafilalet a indiqué à travers un communiqué qu’« il est impossible que les femmes enceintes couchent à même la terre comme laissent entendre les photographies publiées dans les deux quotidiens. » Et de préciser que « ces personnes venaient rendre visite à leurs proches qui accouchaient à l’hôpital. » Suite au suicide de son fonctionnaire, le ministère de la santé a ouvert une enquête et les services de police comptent effectuer une autopsie sur le corps de la victime.
Source : telquel-online.com