Le dieu de "spinoza"

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Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Quand Einstein donnait une conférence dans les nombreuses universités des Etats-Unis, la question récurrente que lui faisaient les étudiants était :
Vous, Monsieur Einstein. .. croyez-vous en Dieu ?
Ce à quoi il répondait toujours :
- Je crois au Dieu de Spinoza.
Seuls ceux qui avait lu Spinoza comprenaient ...
J'espère que cette perle de l'histoire vous servira autant que moi. C'est grâce à elle que je suis parti lire sur Le Dieu selon Spinoza.
Spinoza avait passé sa vie a étudié les livres saints et la philosophie .
Un jour il écrivit : Je ne sais pas si Dieu a réellement parlé mais s'il le faisait , voici ce que je crois qu'il dirait au croyant :
Arrêtes de prier et de te frapper à la poitrine !
Ce que je veux que tu fasses, c'est que tu sortes dans le monde pour profiter de ta vie.
Je veux que tu t'amuses, que tu chantes, que tu t'instruises... que tu profites de tout ce que j'ai fait pour toi.
Arrêtes d'aller dans ces temples sombres et froids que tu as construit toi-même et dont tu dis que c'est ma maison !
Ma maison est dans les montagnes, dans les bois, les rivières, les lacs. C'est là où je vis avec toi et que j'exprime mon amour pour toi.
Arrêtes de m'accuser de ta vie misérable ; je ne t'ai jamais dit qu'il y avait quelque chose de mal en toi , que tu étais un pécheur, que ta sexualité ou ta joie étaient une mauvaise chose ! Alors ne me blâmes pas pour tout ce qu'ils t'ont dit de croire.
Arrêtes de ressasser des lectures sacrées qui n'ont rien à voir avec moi. Si tu ne peux pas me lire à l'aube, dans un paysage, dans le regard de ton ami, de ta femme , de ton homme, dans les yeux de ton fils...Tu ne me trouveras pas dans un livre !
Arrêtes de te faire peur. Je ne te juge pas, je ne te critique pas, je ne rentre pas en colère et je ne punis pas. Je suis pur amour... je t'ai rempli de passions, de limitations, de plaisirs, de sentiments, de besoins, d'incohérences...et je t'ai donné le libre arbitre... Comment puis-je te blâmer si tu réponds à quelque chose que j'ai mis en toi ? Comment puis-je te punir d'être ce que tu es, si je suis celui qui t'ai fait ? Tu penses réellement que je pourrais créer un endroit pour brûler tous mes enfants qui se comportent mal, pour le reste de l'éternité ?
Quel genre de Dieu peut faire cela ? Si j'étais ainsi, je ne mériterais pas d'être respecté . Si je voulais juste être vénéré, je n'aurais peuplé la terre que de chiens. ..
Respectes tes semblables et ne fais pas ce que tu ne veux pas pour toi. Tout ce que je te demande, c'est que tu fasses attention à ta vie, que ton libre arbitre soit ton guide. Toi et la nature vous constituez une seule entité ....alors ne crois pas que tu as un pouvoir sur elle. Tu fais partie d'elle. Prends-soin d’elle et elle prendra soin de toi. J'y ai mis et rendu accessible tout ce qu'il y a de bien pour toi et j'ai rendu difficile d'accès ce qui ne l'est pas. Ne mets pas ton génie à y chercher ce qui est mauvais pour cet équilibre. A toi de garder intact cet équilibre. La nature elle , sait très bien le garder, juste ne la troubles pas !
Je t'ai rendu absolument libre.
Tu es absolument libre de créer dans ta vie un paradis ou un enfer.
Je ne peux pas te dire s'il y a quelque chose après cette vie, mais je peux te donner un conseil : arrêtes de croire en moi de cette façon ; croire, c'est supposer, deviner, imaginer. Je ne veux pas que tu crois en moi, je veux que tu me sentes en toi. Que tu me sentes en toi quand tu t'occupes de tes moutons , quand tu bordes ta petite fille, quand tu caresses ton chien, quand tu te baignes dans la rivière.... Exprimes ta joie et habitues-toi à prendre juste ce dont tu as besoin !
La seule chose sûre, c'est que tu es là, que tu es vivant, que ce monde est plein de merveilles...et que dans toutes ces merveilles tu es capable de savoir exactement ce dont tu as vraiment besoin.
Ne me cherches pas en dehors, tu ne me trouveras pas.... Je suis là ...La nature, le cosmos...c'est moi .
Baruch SPINOZA
 
c'est à toi d'aller le chercher
une chose est sur celui qui rapporte cette histoire le fait très mal, la source n'est pas indiqué

après peut etre que tu te fiches de savoir si c est vrai tant que les paroles te plaisent
Ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Moi je n'ai ni infirmer ni confirmer, j'ai liker la beauté du texte.

Toi, tu prétend que c'est pas du spinoza, tu affirme que l'auteur de l'article débite n'importe quoi, c'est donc à toi de rectifier celà par une contre argumentation en exposant ce qu'est la véritable pensée de spinoza.

Mais peut-être que t'as peur de débiter des âneries et te faire reprendre par un cultiver en la matière.
 
Ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Moi je n'ai ni infirmer ni confirmer, j'ai liker la beauté du texte.

Toi, tu prétend que c'est pas du spinoza, tu affirme que l'auteur de l'article débite n'importe quoi, c'est donc à toi de rectifier celà par une contre argumentation en exposant ce qu'est la véritable pensée de spinoza.

Mais peut-être que t'as peur de débiter des âneries et te faire reprendre par un cultiver en la matière.
Ah parce que maintenant tu fixes les règles
Quand on est dans une approche réflexive (le but c de réfléchir avant tout et non s'extasier devant la beauté )
Et Spinoza comme Einstein invitent à la réflexions
Ce ne sont pas des poètes ou des troubadour dans la rue qui attendaient des applaudissements
Donc j'ai le droit de questionner la véracité des propos

Il aurait dit d'après jean de la fontaine ou jou7a j'aurais pas fait mon rabat joie
 
Ah parce que maintenant tu fixes les règles
Quand on est dans une approche réflexive (le but c de réfléchir avant tout et non s'extasier devant la beauté )
Et Spinoza comme Einstein invitent à la réflexions
Ce ne sont pas des poètes ou des troubadour dans la rue qui attendaient des applaudissements
Donc j'ai le droit de questionner la véracité des propos

Il aurait dit d'après jean de la fontaine ou jou7a j'aurais pas fait mon rabat joie
Tu n'as pas questionner la véracité des propos mais affirmer qu'ils étaient des mensonges. Et Tu ne répond toujours pas à ma question car oui ça se passe ainsi dans un savoir vivre. Quand on se permet d'accuser une personne de débiter des âneries, la moindre des choses est d'expliquer en quoi ce sont des âneries, sinon ça ne revient qu'à faire de la conjecture.

Si demain un homme vient dire que JEAN6 est un imbécile, la moindre des choses est qu'il te dise pourquoi.
 
Tu n'as pas questionner la véracité des propos mais affirmer qu'ils étaient des mensonges. Et Tu ne répond toujours pas à ma question car oui ça se passe ainsi dans un savoir vivre. Quand on se permet d'accuser une personne de débiter des âneries, la moindre des choses est d'expliquer en quoi ce sont des âneries, sinon ça ne revient qu'à faire de la conjecture.

Si demain un homme vient dire que JEAN6 est un imbécile, la moindre des choses est qu'il te dise pourquoi.

Les gens parlaient pas comme ça au 17e siècle, de toute façon (je parle de la stylistique de la prétendue citation). Il y avait un certain style, un certain vocabulaire, certaines constructions de phrases, employés par les lettrés à cette époque, style qui n’est plus utilisé par nous, et qu’on aurait sans doute bien du mal à imiter. La « citation » reflète plutôt un style fin 20e siècle-début 21e siècle, et issu du courant « croissance personnelle » imprégné d’une odeur de pseudo-spiritualitéd’origine récente et diffusée dans les milieux ésotériques et qui a explosé avec Internet.
 
Les gens parlaient pas comme ça au 17e siècle, de toute façon (je parle de la stylistique de la prétendue citation). Il y avait un certain style, un certain vocabulaire, certaines constructions de phrases, employés par les lettrés à cette époque, style qui n’est plus utilisé par nous, et qu’on aurait sans doute bien du mal à imiter. La « citation » reflète plutôt un style fin 20e siècle-début 21e siècle, et issu du courant « croissance personnelle » imprégné d’une odeur de pseudo-spiritualitéd’origine récente et diffusée dans les milieux ésotériques et qui a explosé avec Internet.
Merci j'avoue ne pas lire Spinoza
Mais ça crève les yeux que ce ne sont pas ses mots
Ce qui me gêne c'est qu'il rajoute Einstein
Pourquoi pas le pape aussi qui prenait un café avec eux
 
Les gens parlaient pas comme ça au 17e siècle, de toute façon (je parle de la stylistique de la prétendue citation). Il y avait un certain style, un certain vocabulaire, certaines constructions de phrases, employés par les lettrés à cette époque, style qui n’est plus utilisé par nous, et qu’on aurait sans doute bien du mal à imiter. La « citation » reflète plutôt un style fin 20e siècle-début 21e siècle, et issu du courant « croissance personnelle » imprégné d’une odeur de pseudo-spiritualitéd’origine récente et diffusée dans les milieux ésotériques et qui a explosé avec Internet.
C'est bien possible. De ce que j'ai pu lire, l'attribution à spinoza de ce texte viendrait d'un article publié dans la lettre de la médecine du sens n°226...

Mais je pense que pinailler la dessus à que peu d'intérêt ... ce qui est plus intéressant serait de savoir si oui où non ce texte illustre correctement la pensée de spinoza.

Tu nous partages ta compréhension de son Dieu?
 
C'est bien possible. De ce que j'ai pu lire, l'attribution à spinoza de ce texte viendrait d'un article publié dans la lettre de la médecine du sens n°226...

Mais je pense que pinailler la dessus à que peu d'intérêt ... ce qui est plus intéressant serait de savoir si oui où non ce texte illustre correctement la pensée de spinoza.

Tu nous partages ta compréhension de son Dieu?

J'ai lu un peu Spinoza, mais pas tant que ça.

Il y a une petite clique d'admirateurs mordus de Spinoza sur ce site-là, et certains d'entre eux ont des connaissances philosophiques approfondies, bien au-delà de mon niveau :

http://spinozaetnous.org/wiki/Accueil

Si je peux dire quelques mots quand même :

Spinoza n'est pas dans une optique d'individualisme hédoniste et "d'épanouissement" de l'égo, comme dans ce texte. Spinoza dit bien que les personnes recherchent le bonheur, et il donne des pistes qui lui semblent permettre de trouver le bonheur (du moins, dans la mesure où les contraintes de la vie le permettent). Mais Spinoza s'inspire davantage de la sagesse stoïcienne que je ne sais quel hédonisme facile et Spinoza n'aime pas beaucoup les élans passionnels et sentimentaux non plus (pour lui, ces passions sont une marque de la dépendance des humains aux choses extérieures, donc une entrave à la liberté). Spinoza croit néanmoins en certains sentiments "rationnels" que démontre le sage maître de soi, et qui rend sa vie plus heureuse.

De plus, le bidule que Spinoza appelle "Dieu", ce n'est pas un être personnel avec des pensées et une volonté agissante, et il ne "parle" pas. Du moins, pas dans un sens que nous reconnaîtrions. Oui Spinoza croit en un être suprême, et il croit que le bonheur ultime consiste à s'unir à lui (quoiqu'il ne s'en explique pas beaucoup), mais ça reste un principe impersonnel qui ne nous "aime" pas (il ne nous déteste pas non plus, remarque). C'est un être indifférent aux malheurs et aux aspirations des humains, et d'ailleurs Spinoza ne croit pas en une finalité dans la nature. Dieu n'a pas créé l'univers pour nous faire plaisir. Nous ne sommes pas dans le monde "pour" quelque chose, pour accomplir je ne sais quelle mission ni pour prendre du bon temps. Nous sommes dans le monde en raison d'une nécessité intrinsèque aux choses, qui n'a elle-même aucun but particulier. Cette nécessité consiste à dérouler indéfiniment les effets de la puissance d'être infinie de ce "Dieu".

Mais le trait principal du "Dieu" de Spinoza est qu'il s'identifie à la nature. Quoique cela ne veut pas dire, si on prenait un instantané de l'univers à tel moment, on aurait saisi la nature de Dieu. L'univers tel qu'on l'observe est une expression de Dieu, mais Dieu le déborde infiniment, et sa puissance produit infiniment plus d'effets. De plus, tandis que dans l'univers, on observe seulement deux types d'êtres (la matière ou étendue et la pensée), Spinoza croit qu'il existe une multitude infinie de types d'être ("d'attributs de Dieu"), car Dieu est une perfection infinie, et plus une chose est parfaite, plus elle a d'attributs.

Spinoza croit que Dieu est "libre", mais en un sens bien précis. Dieu est "libre" dans la mesure où il n'est pas déterminé ou contrôlé par quoi que ce soit d'autre (logique, puisque rien n'existe en dehors de Dieu). Dieu est cependant déterminé, mais par une nécessité interne à sa nature. C'est un peu comme une horloge qui, par une nécessité interne de son mécanisme, indique les heures avec régularité. L'horloge n'est pas affectée par son environnement, et en ce sens elle est autonome, donc "libre" : elle n'obéit qu'à sa logique propre. Si maintenant on imaginait une sorte d'horloge qui n'aurait été créée par aucun horloger, et dont le mécanisme serait si complexe qu'il pourrait produire de lui-même toutes sortes d'effets, on aurait quelque chose qui ressemblerait un peu au Dieu de Spinoza.
 
Il faut aussi absolument éviter de faire des rapprochements entre le "panthéisme" de Spinoza et les panthéismes de certaines spéculations mystiques hindoues. Les deux choses ont pas vraiment de points en commun, sauf certaines coïncidences non voulues et sans grande portée. La démarche philosophique de Spinoza est aussi radicalement différente de la problématique des sages hindous dont on lit les méditations. Les textes védiques n'étaient pas traduits en langues européennes à l'époque de Spinoza de toute façon.
 
J'ai lu un peu Spinoza, mais pas tant que ça.

Il y a une petite clique d'admirateurs mordus de Spinoza sur ce site-là, et certains d'entre eux ont des connaissances philosophiques approfondies, bien au-delà de mon niveau :

http://spinozaetnous.org/wiki/Accueil

Si je peux dire quelques mots quand même :

Spinoza n'est pas dans une optique d'individualisme hédoniste et "d'épanouissement" de l'égo, comme dans ce texte. Spinoza dit bien que les personnes recherchent le bonheur, et il donne des pistes qui lui semblent permettre de trouver le bonheur (du moins, dans la mesure où les contraintes de la vie le permettent). Mais Spinoza s'inspire davantage de la sagesse stoïcienne que je ne sais quel hédonisme facile et Spinoza n'aime pas beaucoup les élans passionnels et sentimentaux non plus (pour lui, ces passions sont une marque de la dépendance des humains aux choses extérieures, donc une entrave à la liberté). Spinoza croit néanmoins en certains sentiments "rationnels" que démontre le sage maître de soi, et qui rend sa vie plus heureuse.

De plus, le bidule que Spinoza appelle "Dieu", ce n'est pas un être personnel avec des pensées et une volonté agissante, et il ne "parle" pas. Du moins, pas dans un sens que nous reconnaîtrions. Oui Spinoza croit en un être suprême, et il croit que le bonheur ultime consiste à s'unir à lui (quoiqu'il ne s'en explique pas beaucoup), mais ça reste un principe impersonnel qui ne nous "aime" pas (il ne nous déteste pas non plus, remarque). C'est un être indifférent aux malheurs et aux aspirations des humains, et d'ailleurs Spinoza ne croit pas en une finalité dans la nature. Dieu n'a pas créé l'univers pour nous faire plaisir. Nous ne sommes pas dans le monde "pour" quelque chose, pour accomplir je ne sais quelle mission ni pour prendre du bon temps. Nous sommes dans le monde en raison d'une nécessité intrinsèque aux choses, qui n'a elle-même aucun but particulier. Cette nécessité consiste à dérouler indéfiniment les effets de la puissance d'être infinie de ce "Dieu".

Mais le trait principal du "Dieu" de Spinoza est qu'il s'identifie à la nature. Quoique cela ne veut pas dire, si on prenait un instantané de l'univers à tel moment, on aurait saisi la nature de Dieu. L'univers tel qu'on l'observe est une expression de Dieu, mais Dieu le déborde infiniment, et sa puissance produit infiniment plus d'effets. De plus, tandis que dans l'univers, on observe seulement deux types d'êtres (la matière ou étendue et la pensée), Spinoza croit qu'il existe une multitude infinie de types d'être ("d'attributs de Dieu"), car Dieu est une perfection infinie, et plus une chose est parfaite, plus elle a d'attributs.

Spinoza croit que Dieu est "libre", mais en un sens bien précis. Dieu est "libre" dans la mesure où il n'est pas déterminé ou contrôlé par quoi que ce soit d'autre (logique, puisque rien n'existe en dehors de Dieu). Dieu est cependant déterminé, mais par une nécessité interne à sa nature. C'est un peu comme une horloge qui, par une nécessité interne de son mécanisme, indique les heures avec régularité. L'horloge n'est pas affectée par son environnement, et en ce sens elle est autonome, donc "libre" : elle n'obéit qu'à sa logique propre. Si maintenant on imaginait une sorte d'horloge qui n'aurait été créée par aucun horloger, et dont le mécanisme serait si complexe qu'il pourrait produire de lui-même toutes sortes d'effets, on aurait quelque chose qui ressemblerait un peu au Dieu de Spinoza.
Merci pour ta générosité et ton partage. Je vais aller creuser sur le lien que tu m'a donner.
 
Spinoza croit que Dieu est "libre", mais en un sens bien précis. Dieu est "libre" dans la mesure où il n'est pas déterminé ou contrôlé par quoi que ce soit d'autre (logique, puisque rien n'existe en dehors de Dieu). Dieu est cependant déterminé, mais par une nécessité interne à sa nature. C'est un peu comme une horloge qui, par une nécessité interne de son mécanisme, indique les heures avec régularité. L'horloge n'est pas affectée par son environnement, et en ce sens elle est autonome, donc "libre" : elle n'obéit qu'à sa logique propre. Si maintenant on imaginait une sorte d'horloge qui n'aurait été créée par aucun horloger, et dont le mécanisme serait si complexe qu'il pourrait produire de lui-même toutes sortes d'effets, on aurait quelque chose qui ressemblerait un peu au Dieu de Spinoza.

Dieu seul sait comment Il est.
 
Spinoza avait passé sa vie a étudié les livres saints et la philosophie .
Un jour il écrivit : Je ne sais pas si Dieu a réellement parlé mais s'il le faisait , voici ce que je crois qu'il dirait au croyant :
Arrêtes de prier et de te frapper à la poitrine !
Ce que je veux que tu fasses, c'est que tu sortes dans le monde pour profiter de ta vie.
Je veux que tu t'amuses, que tu chantes, que tu t'instruises... que tu profites de tout ce que j'ai fait pour toi.
Arrêtes d'aller dans ces temples sombres et froids que tu as construit toi-même et dont tu dis que c'est ma maison !
Ma maison est dans les montagnes, dans les bois, les rivières, les lacs. C'est là où je vis avec toi et que j'exprime mon amour pour toi.
Arrêtes de m'accuser de ta vie misérable ; je ne t'ai jamais dit qu'il y avait quelque chose de mal en toi , que tu étais un pécheur, que ta sexualité ou ta joie étaient une mauvaise chose ! Alors ne me blâmes pas pour tout ce qu'ils t'ont dit de croire.
Arrêtes de ressasser des lectures sacrées qui n'ont rien à voir avec moi. Si tu ne peux pas me lire à l'aube, dans un paysage, dans le regard de ton ami, de ta femme , de ton homme, dans les yeux de ton fils...Tu ne me trouveras pas dans un livre !
Arrêtes de te faire peur. Je ne te juge pas, je ne te critique pas, je ne rentre pas en colère et je ne punis pas. Je suis pur amour... je t'ai rempli de passions, de limitations, de plaisirs, de sentiments, de besoins, d'incohérences...et je t'ai donné le libre arbitre... Comment puis-je te blâmer si tu réponds à quelque chose que j'ai mis en toi ? Comment puis-je te punir d'être ce que tu es, si je suis celui qui t'ai fait ? Tu penses réellement que je pourrais créer un endroit pour brûler tous mes enfants qui se comportent mal, pour le reste de l'éternité ?
Quel genre de Dieu peut faire cela ? Si j'étais ainsi, je ne mériterais pas d'être respecté . Si je voulais juste être vénéré, je n'aurais peuplé la terre que de chiens. ..
Respectes tes semblables et ne fais pas ce que tu ne veux pas pour toi. Tout ce que je te demande, c'est que tu fasses attention à ta vie, que ton libre arbitre soit ton guide. Toi et la nature vous constituez une seule entité ....alors ne crois pas que tu as un pouvoir sur elle. Tu fais partie d'elle. Prends-soin d’elle et elle prendra soin de toi. J'y ai mis et rendu accessible tout ce qu'il y a de bien pour toi et j'ai rendu difficile d'accès ce qui ne l'est pas. Ne mets pas ton génie à y chercher ce qui est mauvais pour cet équilibre. A toi de garder intact cet équilibre. La nature elle , sait très bien le garder, juste ne la troubles pas !
Je t'ai rendu absolument libre.
Tu es absolument libre de créer dans ta vie un paradis ou un enfer.
Je ne peux pas te dire s'il y a quelque chose après cette vie, mais je peux te donner un conseil : arrêtes de croire en moi de cette façon ; croire, c'est supposer, deviner, imaginer. Je ne veux pas que tu crois en moi, je veux que tu me sentes en toi. Que tu me sentes en toi quand tu t'occupes de tes moutons , quand tu bordes ta petite fille, quand tu caresses ton chien, quand tu te baignes dans la rivière.... Exprimes ta joie et habitues-toi à prendre juste ce dont tu as besoin !
La seule chose sûre, c'est que tu es là, que tu es vivant, que ce monde est plein de merveilles...et que dans toutes ces merveilles tu es capable de savoir exactement ce dont tu as vraiment besoin.
Ne me cherches pas en dehors, tu ne me trouveras pas.... Je suis là ...La nature, le cosmos...c'est moi .
Baruch SPINOZA

Sincèrement, tu as cru que Spinoza a pu écrire ça?

D'après le poste #14 il semble bien que oui.

Je pense que tu viens de te priver toi-même du droit d'insulter qui que ce soit d'ignorant ou d'ignare.

Ta citation sous ton avatar devient chaque jour un peu plus osée.
 
Spinoza est mort
Einstein est mort
Dieu est vivant

a bon entendeur

C'est complètement faux ce que tu dis. Spinoza et Einstein sont des penseurs, et les penseurs vivent tant que les gens les lisent encore et en parlent enccore. Les textes de Spinoza sont encore édités, dans plusieurs pays, ils sont enseignés dans les universités du monde, on peut les acheter à la librairie ou les emprunter à la bibliothèque. Quant à Einstein, il est encore plus populaire que Spinoza : ses théories sont enseignées à tous les étudiants de physique, et ses idées sont tellement importantes qu'il y a des technologies de pointe qui sont fondées sur elles! Et en 2015, on a découvert les ondes gravitationnelles exactement comme Einstein l'avait deviné!

Par contre, qui est-ce qui se souvient des autres membres de la communauté juive d'Amsterdam du 17e siècle? Personne, sauf quelques historiens et peut-être quelques généalogistes. Eux ils sont réellement morts, au sens où leur souvenir a été effacé des mémoires. Mais Spinoza est vivant, et il est plus grand aujourd'hui qu'à son époque. Et qui se souvient des profs de physique qu'a eus Einstein? Personne, sauf quelques historiens.
 
Au moins Spinoza et Einstein ont existé ce ne sont pas des être inventés
tu le seras quand tu vas les suivre

sur ce bas monde qui es la terre , personne n a accée a l autre coté malheureusement.
POUR toi spinoza est qqch
pour les autres c est juste un autre branleur
 
C'est complètement faux ce que tu dis. Spinoza et Einstein sont des penseurs, et les penseurs vivent tant que les gens les lisent encore et en parlent enccore. Les textes de Spinoza sont encore édités, dans plusieurs pays, ils sont enseignés dans les universités du monde, on peut les acheter à la librairie ou les emprunter à la bibliothèque. Quant à Einstein, il est encore plus populaire que Spinoza : ses théories sont enseignées à tous les étudiants de physique, et ses idées sont tellement importantes qu'il y a des technologies de pointe qui sont fondées sur elles! Et en 2015, on a découvert les ondes gravitationnelles exactement comme Einstein l'avait deviné!

Par contre, qui est-ce qui se souvient des autres membres de la communauté juive d'Amsterdam du 17e siècle? Personne, sauf quelques historiens et peut-être quelques généalogistes. Eux ils sont réellement morts, au sens où leur souvenir a été effacé des mémoires. Mais Spinoza est vivant, et il est plus grand aujourd'hui qu'à son époque. Et qui se souvient des profs de physique qu'a eus Einstein? Personne, sauf quelques historiens.
tu sais même les langues ont une durée vie
ne t existe pas, tu a compris ce que je veux dire, ils font partie des morts
point a la ligne.

PS: avec ton raisonnement tu prouve aussi que dieu est vivant vue que des milliards des gens en parle tous les jours
CQFD tu vois?
 
Spinoza etait d'origine juive j'ai entendu qu' il a rejeté la conception divine de sa religion
j'aimerai savoir ce qu'il lui reproché
et en quel DIeu il croyait ?

 
Dernière édition:
Spinoza a écrit "deus sive natura", ce que l'on peut traduire par: "Dieu, ou bien si l'on veut, la nature"

Le principe et l'origine de la création, Dieu, c'est pour lui synonyme de "la nature".
C'est là que réside son "panthéisme".
 
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