Le 17 février on été signés des accords dits de compétitivité-emploi entre le patronat et les organisations syndicales qui ont dénoncé une remise en cause du droit du travail.
Pourtant, nombreux sont ceux qui réclament plus de souplesse dans un contexte économique difficile et un cadre juridique complexe parfois considéré comme rigide.
Certains arguent la souplesse comme levier de compétitivité: modifier le contrat de travail sans en demander l'autorisation du salarié, mobilité géographique, salaires, organisation du travail ...
Cette demande des entreprises intervient dans une conjoncture économique difficile et un manque de visibilité des entreprises; certains pays comme l'Italie ou l'Espagne ont commencé à prendre leurs dispositions.
Une entreprise compétitive devrait pouvoir recruter rapidement et se séparer rapidement d'un salarié.
Certaines entreprises ont trouver une parade pour échapper aux obligations liées aux entreprises qui passent de 49 à 50 salariés car elles doivent supporter des taxes supplémentaires sur la valeur ajoutée, des cotisations sur la formation professionnelle et de nouvelles obligations de création d'institutions représentatives du personnel ... D'autres ne recrutent pas pour ne pas dépasser ce seuil.
Certains plans de sauvegarde de l'emploi ont été annulés par la Cour de Cassation; des entreprises essayant d'échapper au coût du licenciement.
D'autres mettent en avant un cruel défaut dans le dialogue social et un manque de confiance entre les organisations syndicales et le patronat qui paralyserait les négociations et les avancées sur le droit du travail et la compétitivité.
http://www.lemonde.fr/economie/arti...petitivite_1648694_3234.html#xtor=AL-32280515
Qu'en pensez vous ?
Pourtant, nombreux sont ceux qui réclament plus de souplesse dans un contexte économique difficile et un cadre juridique complexe parfois considéré comme rigide.
Certains arguent la souplesse comme levier de compétitivité: modifier le contrat de travail sans en demander l'autorisation du salarié, mobilité géographique, salaires, organisation du travail ...
Cette demande des entreprises intervient dans une conjoncture économique difficile et un manque de visibilité des entreprises; certains pays comme l'Italie ou l'Espagne ont commencé à prendre leurs dispositions.
Une entreprise compétitive devrait pouvoir recruter rapidement et se séparer rapidement d'un salarié.
Certaines entreprises ont trouver une parade pour échapper aux obligations liées aux entreprises qui passent de 49 à 50 salariés car elles doivent supporter des taxes supplémentaires sur la valeur ajoutée, des cotisations sur la formation professionnelle et de nouvelles obligations de création d'institutions représentatives du personnel ... D'autres ne recrutent pas pour ne pas dépasser ce seuil.
Certains plans de sauvegarde de l'emploi ont été annulés par la Cour de Cassation; des entreprises essayant d'échapper au coût du licenciement.
D'autres mettent en avant un cruel défaut dans le dialogue social et un manque de confiance entre les organisations syndicales et le patronat qui paralyserait les négociations et les avancées sur le droit du travail et la compétitivité.
http://www.lemonde.fr/economie/arti...petitivite_1648694_3234.html#xtor=AL-32280515
Qu'en pensez vous ?