Akram Belkaid écrit souvent dans les colonnes du "Monde diplomatique". Tantôt pour nous rappeler les tractations de la Sonatrach lors des accords d'Evian ou encore pour critiquer, à juste titre, la politique israélienne et l'actuelle boucherie à Gaza. Il semble bien connaître le paysage audiovisuel israélien et sa série à succès Kfulim.
Mais dans le dernier numéro du Monde diplomatique, lui et le journal, connus pour leur position extrême gauchiste, qui héberge régulièrement des articles plus ou moins critiques du Prince rouge, s'est fendu d'un édito "Le Sahara selon Macron" clairement pro algérien et défendant les positions algériennes sur le Sahara occidental.
Serge Halimi, qui d'habitude officie à l'exercice éditorial auquel il se prête avec brio, est relégué plus haut dans la première de couv. Etonnant que le journal reprend sine die les positions de l'Algérie pour finir par une espèce de mise en garde; rappelant les dépenses militaires du belliqueux (rageux ?) voisin algérien (18,3 milliards de dollars côté algérien en 2023 quand c'est 5 milliards de dollars pour le Maroc) et les risques d'un conflit armé. La bonne blague. Sans doute, en service commandé pour A. Tebboune qui brigue un nouveau mandat après l'affront essuyé auprès de la France (qui l'avait prévenu dit-on).
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Mais dans le dernier numéro du Monde diplomatique, lui et le journal, connus pour leur position extrême gauchiste, qui héberge régulièrement des articles plus ou moins critiques du Prince rouge, s'est fendu d'un édito "Le Sahara selon Macron" clairement pro algérien et défendant les positions algériennes sur le Sahara occidental.
Serge Halimi, qui d'habitude officie à l'exercice éditorial auquel il se prête avec brio, est relégué plus haut dans la première de couv. Etonnant que le journal reprend sine die les positions de l'Algérie pour finir par une espèce de mise en garde; rappelant les dépenses militaires du belliqueux (rageux ?) voisin algérien (18,3 milliards de dollars côté algérien en 2023 quand c'est 5 milliards de dollars pour le Maroc) et les risques d'un conflit armé. La bonne blague. Sans doute, en service commandé pour A. Tebboune qui brigue un nouveau mandat après l'affront essuyé auprès de la France (qui l'avait prévenu dit-on).
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