La présidente du parti frontiste s'est posée en recours ce dimanche lors de la clôture de l'Université d'été du Front national de la jeunesse à Fréjus (Var) face à la "situation catastrophique" du pays.
A la tête du "premier parti de France" depuis son succès aux élections européennes, Marine Le Pen se sent pousser des ailes. Et la présidente du Front national entend bien continuer à surfer longtemps sur un climat politique qui joue pour elle. En effet, entre les difficultés du gouvernement, celles de l'UMP, la crise économique et politique, le terreau actuel est plus que favorable à son parti. C'est pourquoi ce dimanche en clôture de l'Université d'été du Front national de la jeunesse à Fréjus, elle a à nouveau demandé à François Hollande de dissoudre l'Assemblée nationale.
Comme l'indique le JDD, Marine Le Pen a débuté son discours en ironisant sur le "numéro d'illusionniste" joué "remaniement après remaniement" par le chef de l'Etat. Puis elle a comparé le gouvernement Valls II à un "cirque" et décrit un régime crépusculaire. "Nous ne sommes pas encore à la moitié du mandat de François Hollande que le soleil semble déjà se coucher sur ce quinquennat crépusculaire", a-t-elle lancé.
C'est pourquoi, pour la présidente du FN, "il est plus que jamais nécessaire de rendre la parole aux Français et de dissoudre l'Assemblée nationale". "La dissolution est tout sauf un coup de force", a ainsi assuré Marine Le Pen tout en estimant que "la majorité présidentielle n'existe plus". Selon BFMTV, la leader frontiste est tellement sûre de son fait qu'elle affirme "qu'il n'y a plus de plafond de verre qui empêcherait (sa) victoire". Et de s'y voir déjà : "Quand le peuple commande de gouverner, on gouverne". "Le Front national et le Rassemblement bleu marine ne se déroberont pas. Ils sont prêts à prendre le (...)
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A la tête du "premier parti de France" depuis son succès aux élections européennes, Marine Le Pen se sent pousser des ailes. Et la présidente du Front national entend bien continuer à surfer longtemps sur un climat politique qui joue pour elle. En effet, entre les difficultés du gouvernement, celles de l'UMP, la crise économique et politique, le terreau actuel est plus que favorable à son parti. C'est pourquoi ce dimanche en clôture de l'Université d'été du Front national de la jeunesse à Fréjus, elle a à nouveau demandé à François Hollande de dissoudre l'Assemblée nationale.
Comme l'indique le JDD, Marine Le Pen a débuté son discours en ironisant sur le "numéro d'illusionniste" joué "remaniement après remaniement" par le chef de l'Etat. Puis elle a comparé le gouvernement Valls II à un "cirque" et décrit un régime crépusculaire. "Nous ne sommes pas encore à la moitié du mandat de François Hollande que le soleil semble déjà se coucher sur ce quinquennat crépusculaire", a-t-elle lancé.
C'est pourquoi, pour la présidente du FN, "il est plus que jamais nécessaire de rendre la parole aux Français et de dissoudre l'Assemblée nationale". "La dissolution est tout sauf un coup de force", a ainsi assuré Marine Le Pen tout en estimant que "la majorité présidentielle n'existe plus". Selon BFMTV, la leader frontiste est tellement sûre de son fait qu'elle affirme "qu'il n'y a plus de plafond de verre qui empêcherait (sa) victoire". Et de s'y voir déjà : "Quand le peuple commande de gouverner, on gouverne". "Le Front national et le Rassemblement bleu marine ne se déroberont pas. Ils sont prêts à prendre le (...)
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