Beyrouth, le 23 mai Selon le quotidien allemand Der Spiegel, de nouvelles preuves faisant état de limplication du mouvement chiite Hezbollah dans lassassinat de lancien premier ministre libanais Rafic Hariri auraient été découvertes par la commission denquête internationale.
Selon le quotidien Der Spiegel, citant des sources anonymes proches du Tribunal International, les autorités syriennes ne seraient pas impliquées dans cet attentat, perpétré par une unité spéciale du Hezbollah et rendues publiques par le procureur de la cour de justice Daniel Bellemare.
Larticle indique également que le capitaine Wissam Eid assassiné en 2007 aura mis à jour des numéros de 8 téléphones mobiles activés depuis la ville de Tripoli au Nord Liban étant impliqués dans cette attaque par un dénommé Abd al Majid Ghamlush originaire de Roumin et ayant été formé en Iran. Ce dernier aurait depuis disparu. Toujours selon le rapport, le commandant actuel de laile militaire du Hezbollah Hajj Salim, originaire de Nabatieh au Sud Liban et directement sous les ordres du secrétaire général du mouvement chiite serait impliqué dans cette attaque.
Der Spiegel cite également le procureur allemand Detlev Mehlis actuellement accusé par un ancien responsable de la sureté générale Jamil Sayyed davoir forgé de fausses preuves de son implication dans ce meurtre.
Les tensions entre communautés chiites et sunnites se sont aggravées notamment suite au conflit de juillet 2006. En 2007, le gouvernement Saniora, soutenu par le Courant du Futur, dont le dirigeant Saad Hariri, fils du défunt premier ministre Rafic Hariri, avait décidé du démantèlement du réseau de communication privée de laile militaire. Cette décision avait abouti à de violents heurts entre miliciens sunnites et chiites et abouti à la prise de Beyrouth Ouest par ces derniers puis à la conclusion des accords de Doha, à lélection du commandant de lArmée Libanaise Michel Sleiman à la présidence de la république vacante et à la formation dun gouvernement dunion nationale suite à la médiation du Qatar.
Ce rapport intervient alors que la majorité actuelle soutenue par lOccident et lArabie Saoudite risque de perdre les élections prévues le 7 juin prochain au profit de lopposition comprenant le Hezbollah, provoquant linquiétude notamment des USA dont le vice-président Joe Biden sétait rendu hier au Liban et aggravant les tensions inter-communautaires au Liban.
Cette information intervient également alors que la semaine dernière le quotidien français France Soir avait accusé le mouvement chiite dêtre impliqué dans lassassinat dune jeune adolescente française au Caire le 22 février dernier. Linformation a été démentie par les autorités françaises faisant état de larrestation dislamistes sunnites possédant des nationalités occidentales britanniques et albano-françaises -.
Libnanews
Selon le quotidien Der Spiegel, citant des sources anonymes proches du Tribunal International, les autorités syriennes ne seraient pas impliquées dans cet attentat, perpétré par une unité spéciale du Hezbollah et rendues publiques par le procureur de la cour de justice Daniel Bellemare.
Larticle indique également que le capitaine Wissam Eid assassiné en 2007 aura mis à jour des numéros de 8 téléphones mobiles activés depuis la ville de Tripoli au Nord Liban étant impliqués dans cette attaque par un dénommé Abd al Majid Ghamlush originaire de Roumin et ayant été formé en Iran. Ce dernier aurait depuis disparu. Toujours selon le rapport, le commandant actuel de laile militaire du Hezbollah Hajj Salim, originaire de Nabatieh au Sud Liban et directement sous les ordres du secrétaire général du mouvement chiite serait impliqué dans cette attaque.
Der Spiegel cite également le procureur allemand Detlev Mehlis actuellement accusé par un ancien responsable de la sureté générale Jamil Sayyed davoir forgé de fausses preuves de son implication dans ce meurtre.
Les tensions entre communautés chiites et sunnites se sont aggravées notamment suite au conflit de juillet 2006. En 2007, le gouvernement Saniora, soutenu par le Courant du Futur, dont le dirigeant Saad Hariri, fils du défunt premier ministre Rafic Hariri, avait décidé du démantèlement du réseau de communication privée de laile militaire. Cette décision avait abouti à de violents heurts entre miliciens sunnites et chiites et abouti à la prise de Beyrouth Ouest par ces derniers puis à la conclusion des accords de Doha, à lélection du commandant de lArmée Libanaise Michel Sleiman à la présidence de la république vacante et à la formation dun gouvernement dunion nationale suite à la médiation du Qatar.
Ce rapport intervient alors que la majorité actuelle soutenue par lOccident et lArabie Saoudite risque de perdre les élections prévues le 7 juin prochain au profit de lopposition comprenant le Hezbollah, provoquant linquiétude notamment des USA dont le vice-président Joe Biden sétait rendu hier au Liban et aggravant les tensions inter-communautaires au Liban.
Cette information intervient également alors que la semaine dernière le quotidien français France Soir avait accusé le mouvement chiite dêtre impliqué dans lassassinat dune jeune adolescente française au Caire le 22 février dernier. Linformation a été démentie par les autorités françaises faisant état de larrestation dislamistes sunnites possédant des nationalités occidentales britanniques et albano-françaises -.
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