À la tête du gouvernement israélien, le chef du Likoud a patiemment bâti en Europe des alliances avec des forces d’extrême droite aux ancrages historiquement antisémites.
Objectif : s’assurer de leur soutien inconditionnel, dans les enceintes de l’UE, aux politiques de colonisation et d’occupation des territoires palestiniens.
Un détail n’est pas passé inaperçu, dans la mise en scène de son explosion de joie, à l’annonce de la victoire de l’extrême droite néerlandaise aux élections législatives du 22 novembre 2023.
Derrière Geert Wilders, deux drapeaux : celui des Pays-Bas et celui d’Israël. Tout au long de sa campagne, le chef du PVV (Parti de la liberté), qui veut
« désislamiser » l’Europe et promet de mettre fin au « tsunami des demandeurs d’asile », a affiché son soutien inconditionnel à Israël, « la première ligne de défense de l’Occident ».
Geert Wilders est un familier de la droite israélienne. Un séjour de jeunesse dans une colonie de Cisjordanie l’a forgé, jure-t-il.
Plus près de nous, le 5 décembre 2010, il atterrissait à Tel-Aviv avec une délégation de l’Alliance des partis européens pour la liberté et les droits civils,
une formation incluant des néofascistes, des négationnistes et même des nostalgiques du IIIe Reich.
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Objectif : s’assurer de leur soutien inconditionnel, dans les enceintes de l’UE, aux politiques de colonisation et d’occupation des territoires palestiniens.
Un détail n’est pas passé inaperçu, dans la mise en scène de son explosion de joie, à l’annonce de la victoire de l’extrême droite néerlandaise aux élections législatives du 22 novembre 2023.
Derrière Geert Wilders, deux drapeaux : celui des Pays-Bas et celui d’Israël. Tout au long de sa campagne, le chef du PVV (Parti de la liberté), qui veut
« désislamiser » l’Europe et promet de mettre fin au « tsunami des demandeurs d’asile », a affiché son soutien inconditionnel à Israël, « la première ligne de défense de l’Occident ».
Geert Wilders est un familier de la droite israélienne. Un séjour de jeunesse dans une colonie de Cisjordanie l’a forgé, jure-t-il.
Plus près de nous, le 5 décembre 2010, il atterrissait à Tel-Aviv avec une délégation de l’Alliance des partis européens pour la liberté et les droits civils,
une formation incluant des néofascistes, des négationnistes et même des nostalgiques du IIIe Reich.
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