C'est le journal électronique algérien "El Watan" qui l'écrit :
Le Maroc , 1er exportateur de voitures de la zone Mena
Le Maroc est devenu en 2013 le premier exportateur de voitures de la zone Mena (Moyen-Orient - Afrique du Nord) : C’est le bon exemple d’un investissement étranger maîtrisé.
Celui où les délais de transaction ne sont pas prohibitifs.
Si l’investissement de Renault à Mekioussa, près de Tanger, a quelque peu vacillé avant son lancement, ce n’est que pour des raisons strictement d’opportunités de marché. Nissan, l’autre constructeur de l’Alliance, a décidé d’y renoncer en février 2009, au plus fort de la crise financière, avant de finalement revenir.
Pas la faute à un blocage de l’administration.
La première ligne de production de l’usine a donc pu démarrer en février 2012, dans le bon timing du ressac de l’offre européenne étranglée par l’arrêt continental de la consommation.
Le reste est un enchaînement prévu.
Avec la logistique du performant terminal de Tanger Med, à moins de 50 km de Mekioussa, le coût de l’exportation des véhicules made in Maroc s’est ajouté comme un avantage concurrentiel à tous les autres avantages consentis au début de l’investissement par l’Etat stratège.
Le 100 000e véhicule exporté le 5 septembre 2013 et un solde de 2,2 milliards d’euros à l’export pour l’automobile en 2013.
Le Maroc devient donc le premier exportateur de voitures sur la rive sud Méditerranée devant la Tunisie, l’Egypte, mais aussi l’Iran, pays de la zone Mena.
La deuxième ligne de l’usine de Tanger est entrée en production en octobre 2013.
Il ne faudra pas tomber à la renverse, à Alger, à la publication des chiffres marocains d’exportation de voitures à la fin de l’année 2014.
Juste faire le bilan en opportunités manquées ou décalées par le ralentisseur du CNI ces dernières années.
L'Algérie premier exportateur de carburant ...de contrebande de la zone Mena
-25% des carburants consommés en Tunisie» sont des importations informelles à partir de l’Algérie : On peut trouver ce chiffre exagéré.
Il émane cependant d’une étude de la Banque mondiale intitulée «Estimation du commerce informel à travers les frontières terrestres de la Tunisie».
Il a été dévoilé à Tunis, capitale du pays qui bénéficie objectivement de ces transferts.
Car, ajoute l’étude, «les raisons principales derrière ce commerce informel à grande échelle sont les différences des niveaux de subventions de chaque côté de la frontière».
La Banque mondiale confirme ce que les Maghrébins savent intuitivement.
Les marchandises circulent dans le sens inverse de la subvention publique la plus forte.
Il reste deux grandes options à l’Algérie, qui est la grande pourvoyeuse de produits aidés par le Trésor public : Fermer la dernière frontière avec un pays voisin - toutes les autres le sont déjà plus ou moins formellement ....ou alors revoir son sytéme de prix interne , notamment pour les produits subventionnés...
(...)
Source :
http://www.elwatan.com/chroniques/a...-carburant-informel-17-02-2014-246067_174.php
Le Maroc , 1er exportateur de voitures de la zone Mena
Le Maroc est devenu en 2013 le premier exportateur de voitures de la zone Mena (Moyen-Orient - Afrique du Nord) : C’est le bon exemple d’un investissement étranger maîtrisé.
Celui où les délais de transaction ne sont pas prohibitifs.
Si l’investissement de Renault à Mekioussa, près de Tanger, a quelque peu vacillé avant son lancement, ce n’est que pour des raisons strictement d’opportunités de marché. Nissan, l’autre constructeur de l’Alliance, a décidé d’y renoncer en février 2009, au plus fort de la crise financière, avant de finalement revenir.
Pas la faute à un blocage de l’administration.
La première ligne de production de l’usine a donc pu démarrer en février 2012, dans le bon timing du ressac de l’offre européenne étranglée par l’arrêt continental de la consommation.
Le reste est un enchaînement prévu.
Avec la logistique du performant terminal de Tanger Med, à moins de 50 km de Mekioussa, le coût de l’exportation des véhicules made in Maroc s’est ajouté comme un avantage concurrentiel à tous les autres avantages consentis au début de l’investissement par l’Etat stratège.
Le 100 000e véhicule exporté le 5 septembre 2013 et un solde de 2,2 milliards d’euros à l’export pour l’automobile en 2013.
Le Maroc devient donc le premier exportateur de voitures sur la rive sud Méditerranée devant la Tunisie, l’Egypte, mais aussi l’Iran, pays de la zone Mena.
La deuxième ligne de l’usine de Tanger est entrée en production en octobre 2013.
Il ne faudra pas tomber à la renverse, à Alger, à la publication des chiffres marocains d’exportation de voitures à la fin de l’année 2014.
Juste faire le bilan en opportunités manquées ou décalées par le ralentisseur du CNI ces dernières années.
L'Algérie premier exportateur de carburant ...de contrebande de la zone Mena
-25% des carburants consommés en Tunisie» sont des importations informelles à partir de l’Algérie : On peut trouver ce chiffre exagéré.
Il émane cependant d’une étude de la Banque mondiale intitulée «Estimation du commerce informel à travers les frontières terrestres de la Tunisie».
Il a été dévoilé à Tunis, capitale du pays qui bénéficie objectivement de ces transferts.
Car, ajoute l’étude, «les raisons principales derrière ce commerce informel à grande échelle sont les différences des niveaux de subventions de chaque côté de la frontière».
La Banque mondiale confirme ce que les Maghrébins savent intuitivement.
Les marchandises circulent dans le sens inverse de la subvention publique la plus forte.
Il reste deux grandes options à l’Algérie, qui est la grande pourvoyeuse de produits aidés par le Trésor public : Fermer la dernière frontière avec un pays voisin - toutes les autres le sont déjà plus ou moins formellement ....ou alors revoir son sytéme de prix interne , notamment pour les produits subventionnés...
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Source :
http://www.elwatan.com/chroniques/a...-carburant-informel-17-02-2014-246067_174.php