Le Maroc a appelé le Vatican à sabstenir de conclure avec Israël tout accord de nature à conférer la légitimité à loccupation israélienne dAl Qods-Est, affirmant quune telle éventualité «constituerait une concession en faveur de loccupation, une violation du droit international et un précédent grave».
Le Royaume du Maroc, dont le Souverain préside le Comité Al-Qods, issu de lOrganisation de la coopération islamique (OCI), «a pris connaissance avec grande inquiétude de rapports faisant état de léventualité de conclusion dun accord entre le Vatican et Israël relatif aux questions fiscales et financières des biens de léglise en Israël», indique le ministère des Affaires étrangères et de la coopération dans un communiqué.
Une telle éventualité «mènerait en définitive à la reconnaissance de la souveraineté israélienne sur Al Qods-Est occupée et constituerait une concession en faveur de loccupation, une violation du droit international et un précédent grave eu égard à la place spirituelle quoccupe la ville sainte aussi bien pour les musulmans que pour les chrétiens», ajoute la même source.
Le Maroc exhorte également «toutes les parties à respecter les résolutions internationales qui soulignent la nécessité de préserver le cachet spécifique de la ville dAl Qods, de ne pas altérer son statut juridique et de considérer nulles et non avenues les mesures susceptibles de modifier son identité et son statut actuel».
Le Matin
Le Royaume du Maroc, dont le Souverain préside le Comité Al-Qods, issu de lOrganisation de la coopération islamique (OCI), «a pris connaissance avec grande inquiétude de rapports faisant état de léventualité de conclusion dun accord entre le Vatican et Israël relatif aux questions fiscales et financières des biens de léglise en Israël», indique le ministère des Affaires étrangères et de la coopération dans un communiqué.
Une telle éventualité «mènerait en définitive à la reconnaissance de la souveraineté israélienne sur Al Qods-Est occupée et constituerait une concession en faveur de loccupation, une violation du droit international et un précédent grave eu égard à la place spirituelle quoccupe la ville sainte aussi bien pour les musulmans que pour les chrétiens», ajoute la même source.
Le Maroc exhorte également «toutes les parties à respecter les résolutions internationales qui soulignent la nécessité de préserver le cachet spécifique de la ville dAl Qods, de ne pas altérer son statut juridique et de considérer nulles et non avenues les mesures susceptibles de modifier son identité et son statut actuel».
Le Matin