el jadida
el jadida/mazagan beach
Au départ, les lavandes poussent en Provence et dans quelques pays du bassin méditerranéen, puis la culture s’est répandue en Europe de l’Est (Bulgarie, Russie, Ukraine… et même en Tasmanie ou encore au Canada où des plants mutés peuvent maintenant résister au gel.
Les lavandes "vraies" poussent à une altitude de 500 à 1 700 m sur les versants ensoleillés des montagnes. La qualité des lavandes est réputée augmenter avec l’altitude. Elle est produite notamment à Sault, dont elle est la principale activité agricole de cette zone du Vaucluse, mais on la retrouve également en Drôme provençale où elle est très bien représentée.
Des expériences ont été également menées en Quercy dès 1936, où la culture de la lavande de population s'est implantée et développée dans le Lot et le Tarn-et-Garonne. L'ouvrage "les petites industries d'un département agricole" rédigé par André Pueyo (éditions Forestié à Montauban) reprend en 1946 l'historique de son développement pour relancer l'économie départementale d'après guerre. Ainsi des agriculteurs et des distillateurs produiront la lavande du Quercy jusque dans les années 1970.
En revanche, la lavande aspic est récoltée dans le bassin méditerranéen entre 0 et 600 m d’altitude.
Les lavandes du groupe stoechas se développent sur tout le pourtour notamment en Andalousie et dans la partie sud du Portugal.
Les lavandins sont les lavandes les plus cultivés (de 800 à 1 000 tonnes d’essence par an) et les plus répandus car ce sont les plus résistants. Ils se développent spontanément dans le sud de la France. Cependant, on observe un dépérissement des lavandins abrial et sumian qui sont en voie de disparition. source wikipédia
Les lavandes "vraies" poussent à une altitude de 500 à 1 700 m sur les versants ensoleillés des montagnes. La qualité des lavandes est réputée augmenter avec l’altitude. Elle est produite notamment à Sault, dont elle est la principale activité agricole de cette zone du Vaucluse, mais on la retrouve également en Drôme provençale où elle est très bien représentée.
Des expériences ont été également menées en Quercy dès 1936, où la culture de la lavande de population s'est implantée et développée dans le Lot et le Tarn-et-Garonne. L'ouvrage "les petites industries d'un département agricole" rédigé par André Pueyo (éditions Forestié à Montauban) reprend en 1946 l'historique de son développement pour relancer l'économie départementale d'après guerre. Ainsi des agriculteurs et des distillateurs produiront la lavande du Quercy jusque dans les années 1970.
En revanche, la lavande aspic est récoltée dans le bassin méditerranéen entre 0 et 600 m d’altitude.
Les lavandes du groupe stoechas se développent sur tout le pourtour notamment en Andalousie et dans la partie sud du Portugal.
Les lavandins sont les lavandes les plus cultivés (de 800 à 1 000 tonnes d’essence par an) et les plus répandus car ce sont les plus résistants. Ils se développent spontanément dans le sud de la France. Cependant, on observe un dépérissement des lavandins abrial et sumian qui sont en voie de disparition. source wikipédia