La Qatar National Bank, a produit une note analytique consacrée aux économies marocaines et tunisiennes, pour lesquelles elle a prévu des avenirs peu radieux, si par malheur, venait à se reproduire des chocs socio-économiques.
Dans sa note rapportée par la Qatar News Agency, la QNB a expliqué que si le Maroc et la Tunisie ont pu, jusque là tenir le coup économiquement, à leurs différents degrés, c’est bien grâce au fonds monétaire international (FMI).
Pour la QNB, le Maroc et la Tunisie, n’ont eu leur éphémère salut que grâce aux crédits et lignes de garanties, dont le FMI, a fait bénéficier les deux économies nord-africaines, ce qui leur a permis de rétablir leurs équilibres macroéconomiques et dans le cas du Maroc, de regagner provisoirement la confiance des investisseurs étrangers.
En explication de cette situation de crise dont laquelle gisent les deux pays, la QNB évoque les dépenses dispendieuses, opérées depuis 2011, par le royaume et sa voisine maghrébine, pour dit-elle, acheter la paix sociale, face aux révoltes populaires du printemps arabe.
Ces dépenses destinées en gros, aux subventions des produits de grandes consommations, ont atteint 6 % du PIB marocain et 4% du PIB tunisien, indique la banque Qatarie, dont la moitié du capital est possédée par le pouvoir de Doha, l’autre moitié étant détenue par des investisseurs privés.
Dans sa note, la QNB prévoit pour les deux pays nord-africains, une fragilité dangereuse face à un autre choc socio-économique si il venait à éclater
Source
http://www.lemag.ma/Qatar-National-...ne-doivent-leurs-saluts-qu-au-FMI_a82612.html
Dans sa note rapportée par la Qatar News Agency, la QNB a expliqué que si le Maroc et la Tunisie ont pu, jusque là tenir le coup économiquement, à leurs différents degrés, c’est bien grâce au fonds monétaire international (FMI).
Pour la QNB, le Maroc et la Tunisie, n’ont eu leur éphémère salut que grâce aux crédits et lignes de garanties, dont le FMI, a fait bénéficier les deux économies nord-africaines, ce qui leur a permis de rétablir leurs équilibres macroéconomiques et dans le cas du Maroc, de regagner provisoirement la confiance des investisseurs étrangers.
En explication de cette situation de crise dont laquelle gisent les deux pays, la QNB évoque les dépenses dispendieuses, opérées depuis 2011, par le royaume et sa voisine maghrébine, pour dit-elle, acheter la paix sociale, face aux révoltes populaires du printemps arabe.
Ces dépenses destinées en gros, aux subventions des produits de grandes consommations, ont atteint 6 % du PIB marocain et 4% du PIB tunisien, indique la banque Qatarie, dont la moitié du capital est possédée par le pouvoir de Doha, l’autre moitié étant détenue par des investisseurs privés.
Dans sa note, la QNB prévoit pour les deux pays nord-africains, une fragilité dangereuse face à un autre choc socio-économique si il venait à éclater
Source
http://www.lemag.ma/Qatar-National-...ne-doivent-leurs-saluts-qu-au-FMI_a82612.html