Dès son accession au Trône en 1999, le Roi Mohammed VI a porté une attention toute particulière à la question des droits de l’homme. souligne le magazine américain, Commentary, dans sa dernière livraison, tout en notant que le Maroc, qui ouvre grandes ses portes aux organisations internationales des droits de l’homme, se trouve toutefois pénalisé par la partialité et l’activisme de ces ONG, telles Human Right Watch (HRW) et Amnesty international.
Selon le magazine, l’Algérie, connue pour refuser catégoriquement son accès aux ONG et pour son non respect des droits de l’homme, a fait l’objet de quatre rapports critiques de la part de HRW, alors que cette dernière en a consacré le triple au Maroc.
Et pourtant, la situation des droits de l’homme en Algérie est bien désastreuse, relève le magazine, précisant que le Maroc a quant à lui reconnu les violations commises dans le passé et qu’il s’était engagé, avec succès, à les surmonter en se dotant au plus haut niveau d’instruments de protection des droits fondamentaux.
La revue Commentary n’épargne pas non plus le Département d'Etat américain et ses rapports annuels sur les droits de l'homme, épinglant la différente dans le traitement suivi par le Département d’Etat américain lorsqu’il s’agit du Maroc, un allié fidèle des États-Unis et un pays progressif, et le Font Polisario, qualifié d’autocrate et présenté comme un héritage de la guerre froide, qui séquestre les populations sahraouies dans les camps de Tindouf en Algérie et qui n’hésite pas à y entasser aussi des Algériens et des Mauritaniens pour gonfler le nombre de réfugiés .
Soulignant qu’Alger et le Polisario s’opposent au retour des Sahraouis au Maroc, lequel accueille à bras ouverts tous ceux qui souhaitent réintégrer la mère patrie, le magazine note que le Polisario limite non seulement les visites familiales mais détient en otage les membres de leur famille (conjoints et enfants) afin de s'assurer de leur retour dans les camps de Tindouf.
Selon le magazine, si l’ambassade américaine à Rabat s’est intéressée aux camps du Polisario, celle à Alger n’a pas assumé ses responsabilités. Et c'est là où réside le problème, relève Commentary, soulignant que l’ambassade américaine à Alger est incapable de visiter les camps de Tindouf pour s’informer sur les violations des droits de l’homme, de crainte de se mettre à dos les autorités algériennes.
Le résultat final est que le rapport annuel du Département d'Etat américain sur les droits de l’homme est sévère avec le Maroc, puni ainsi pour son ouverture et son libre accès aux ONG, et omet en même temps de traiter des violations des droits de l’homme par le Polisario, .
Pour le magazine Commentary, c’est le prix fort à payer pour des pays comme le Maroc qui ouvrent grandes leurs portes aux ONG, lesquelles préfèrent parader à Rabat ou Casablanca que de se faire harceler à Alger ou Tindouf.
D’après le magazine américain, le comportement de telles organisations corrompt le résultat final de leurs rapports et donne raison aux pays concernés de rejeter ces rapports arbitraires et ne reposant pas sur des normes établies, telle l’impartialité.
.
Reconnue comme une revue de référence par les analystes politiques, les universitaires et les intellectuels américains, Commentary est le premier magazine mensuel aux Etats-Unis et une voix majeure dans le domaine des grands débats d'idées.
http://sahara-question.com/fr/opini...ationales-des-droits-l’homme#overlay-context=
Selon le magazine, l’Algérie, connue pour refuser catégoriquement son accès aux ONG et pour son non respect des droits de l’homme, a fait l’objet de quatre rapports critiques de la part de HRW, alors que cette dernière en a consacré le triple au Maroc.
Et pourtant, la situation des droits de l’homme en Algérie est bien désastreuse, relève le magazine, précisant que le Maroc a quant à lui reconnu les violations commises dans le passé et qu’il s’était engagé, avec succès, à les surmonter en se dotant au plus haut niveau d’instruments de protection des droits fondamentaux.
La revue Commentary n’épargne pas non plus le Département d'Etat américain et ses rapports annuels sur les droits de l'homme, épinglant la différente dans le traitement suivi par le Département d’Etat américain lorsqu’il s’agit du Maroc, un allié fidèle des États-Unis et un pays progressif, et le Font Polisario, qualifié d’autocrate et présenté comme un héritage de la guerre froide, qui séquestre les populations sahraouies dans les camps de Tindouf en Algérie et qui n’hésite pas à y entasser aussi des Algériens et des Mauritaniens pour gonfler le nombre de réfugiés .
Soulignant qu’Alger et le Polisario s’opposent au retour des Sahraouis au Maroc, lequel accueille à bras ouverts tous ceux qui souhaitent réintégrer la mère patrie, le magazine note que le Polisario limite non seulement les visites familiales mais détient en otage les membres de leur famille (conjoints et enfants) afin de s'assurer de leur retour dans les camps de Tindouf.
Selon le magazine, si l’ambassade américaine à Rabat s’est intéressée aux camps du Polisario, celle à Alger n’a pas assumé ses responsabilités. Et c'est là où réside le problème, relève Commentary, soulignant que l’ambassade américaine à Alger est incapable de visiter les camps de Tindouf pour s’informer sur les violations des droits de l’homme, de crainte de se mettre à dos les autorités algériennes.
Le résultat final est que le rapport annuel du Département d'Etat américain sur les droits de l’homme est sévère avec le Maroc, puni ainsi pour son ouverture et son libre accès aux ONG, et omet en même temps de traiter des violations des droits de l’homme par le Polisario, .
Pour le magazine Commentary, c’est le prix fort à payer pour des pays comme le Maroc qui ouvrent grandes leurs portes aux ONG, lesquelles préfèrent parader à Rabat ou Casablanca que de se faire harceler à Alger ou Tindouf.
D’après le magazine américain, le comportement de telles organisations corrompt le résultat final de leurs rapports et donne raison aux pays concernés de rejeter ces rapports arbitraires et ne reposant pas sur des normes établies, telle l’impartialité.
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Reconnue comme une revue de référence par les analystes politiques, les universitaires et les intellectuels américains, Commentary est le premier magazine mensuel aux Etats-Unis et une voix majeure dans le domaine des grands débats d'idées.
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