Le Maroc piste les nanotechnologies !

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el jadida

el jadida/mazagan beach
* Le Maroc piste les nanotechnologies !

*

A l’instar d’autres pays, telle que l’Inde, le Maroc aurait l’intention de se positionner à la pointe de la recherche et du développement en matière de nanotechnologies. C’est le site Africaintelligence.fr qui l’affirme.

Pour ce faire, les expatriés seraient mis à contribution. C’est en tout cas la proposition qui aurait été faite par la Direction des études et des prévisions financières relevant du ministère de l’Economie et des Finances.

Le vivier semble très garni, puisqu’on estime que deux tiers des chercheurs marocains résident à l’étranger. Mais comme dans tous les pays, la fibre patriotique sans une compensation financière ne suffit plus, alors les autorités chérifiennes veulent mettre en place ‘’un statut de chercheur-contractuel avec des incitations fiscales (notamment le crédit d’impôt recherche) dans l’objectif d’attirer une masse critique de matière grise dans le royaume.

Notre source rappelle que le Maroc a lancé, depuis 2006, un programme de développement des nanotechnologies baptisé ‘’I3NN’’ (Initiative nationale pour les nanotechnologies) lequel a été relayé depuis peu par le plan ‘’Envol’’ ayant abouti à la création, entre autres de Rabat Technopolis qui abrite la société Nemotek, filiale de la Caisse de Dépôts et Gestion Développement (Groupe CDG).

La CDG et Medz seraient également les principaux chefs de file de la mise en place des infrastructures physiques du programme I3N.
* T.B
http://www.webmanagercenter.com.tn/management/article.php?id=78574
 
* Le Maroc piste les nanotechnologies !

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A l’instar d’autres pays, telle que l’Inde, le Maroc aurait l’intention de se positionner à la pointe de la recherche et du développement en matière de nanotechnologies. C’est le site Africaintelligence.fr qui l’affirme.

Pour ce faire, les expatriés seraient mis à contribution. C’est en tout cas la proposition qui aurait été faite par la Direction des études et des prévisions financières relevant du ministère de l’Economie et des Finances.

Le vivier semble très garni, puisqu’on estime que deux tiers des chercheurs marocains résident à l’étranger. Mais comme dans tous les pays, la fibre patriotique sans une compensation financière ne suffit plus, alors les autorités chérifiennes veulent mettre en place ‘’un statut de chercheur-contractuel avec des incitations fiscales (notamment le crédit d’impôt recherche) dans l’objectif d’attirer une masse critique de matière grise dans le royaume.

Notre source rappelle que le Maroc a lancé, depuis 2006, un programme de développement des nanotechnologies baptisé ‘’I3NN’’ (Initiative nationale pour les nanotechnologies) lequel a été relayé depuis peu par le plan ‘’Envol’’ ayant abouti à la création, entre autres de Rabat Technopolis qui abrite la société Nemotek, filiale de la Caisse de Dépôts et Gestion Développement (Groupe CDG).

La CDG et Medz seraient également les principaux chefs de file de la mise en place des infrastructures physiques du programme I3N.
* T.B
http://www.webmanagercenter.com.tn/management/article.php?id=78574

b9at lihoum 3ir la nanotechnologie bazzzzzz
 
* Le Maroc piste les nanotechnologies !

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A l’instar d’autres pays, telle que l’Inde, le Maroc aurait l’intention de se positionner à la pointe de la recherche et du développement en matière de nanotechnologies. C’est le site Africaintelligence.fr qui l’affirme.

Azul,

D'abords l'Inde n'est pas un pays qui se positionne dans nanotechnologies et la nst,

ensuite le Maroc est loin même dans le rêve de la nanotechnologies,tous ce que je sais ce sont des références des projets que j'ai vu inscrit dans l'ordre théoriques chimie ,physiques des thèses de Master et PhD en chimie, physique que certains veulent inscrire avec force et d'une façon injustes ces thèses comme de projets nanotechnologies or c'est malheureusement impossible vue que les nanotechnologie ce n'est pas un secteur théoriques mais un secteur industrielle et surtout d'ingénierie ,,,

le tuteur de cette initiative c'est la foundation hassan II de sciences et technologies,

je peut on parler plus si ça intéresse qq1,



Bref :Au Maroc il n'existe pas de nanotechnologie, c'est une illusions médiatique
 
hadi hia: achnou khassek al 3eryane galou khatem dial dheb a moulaye...
au maroc ils veulent développer la nano alors que la micro n'est même pas développé.
Mais c'est vraiment dingue...!

mdrrrrrrrrrrrrrrr :D galek micro hihih

welah ta trooooooooooo bien parlé !

le Maroc piste les festivales alléééé on va dansserrrr

jeunesse de spectacle honte à vous!
 
" il s'agirait de créer des nanoconstruteurs, capable de contruire se dont on a besoin, et les possibilités sont infinies".

"Il faudrait lui incorporer sa propre cénaissance à l'origine, sinon plus rien ne pourrait l'arréter".

"Nous veillons à mettre en place le protocole de sécurité à la mesure du projet. Nous mesurons les conséquences irréversible que sa pourrait impliquer si par mésaventure les choses échappait à notre controle".


Ils vont construire le T1000 ou quoi ? :D Jespère que terminator viendra dans ce cas la :D
 
hadi hia: achnou khassek al 3eryane galou khatem dial dheb a moulaye...
franchement t'es ***, c'est le titre de l'article qui te fait réagir pareil? avant de commencer tes commentaires débile jette un coup d'oeil sur la source c'est un magazine tunisien il ne s'agit en rien d'un discours officiel, avec ce genre de titre le site essaye d'attirer des visiteurs sur les résultats des moteurs de recherche.
edit: voici le document officiel ils parlent d'insuffisances... http://www.finances.gov.ma/esp_doc/util/file.jsp?iddoc=3039

hhh hada galihom sektou ntouma mat3erfo walou :D

Bref :Au Maroc il n'existe pas de nanotechnologie, c'est une illusions médiatique
http://www.youtube.com/user/nemotektechnologies ils fabriquent des patates peut etre dans cette salle blanche ?:D
 
L’Association Marocaine de la Nano-Technologie (AMANAT) est une association non lucrative qui a pour but la promotion de la Nano-Technologie et ses applications au Maroc (voir nos objectifs). Elle a été créée le Jeudi 7 Octobre 2004 au sein de l’Université Al Akhawayn, à Ifrane.



L'association comprend dans sa constitution toute personne s'intéressant aux domaines da la Nano-Technologie et ses applications : enseignants-chercheurs, chercheurs sur le plan académique et cadres d'entreprises publiques ou privées.



La qualité de membre- associé peut être attribué à des enseignants chercheurs étrangers si cela est rendu nécessaire pour dynamiser les échanges de coopérations scientifiques dans le domaine de la Nano-Technologie. Les chercheurs marocains en exercice dans des institutions étrangères peuvent aussi être membres.
 
Industrie. La nanotechnologie bientôt au Maroc

Le Maroc cherche à avoir une place de premier choix au sein du club des pays promoteurs de la nanotechnologie. Non, ce n’est pas un rêve. Une réunion s’est en effet tenue vendredi 21 avril à Rabat pour définir les contours de ce nouveau positionnement pour le pays. L’idée, est d’attirer vers le Maroc des entreprises opérant dans ce segment et de les associer à des universités des sciences et des bailleurs de fonds pour développer la recherche & développement à des fins industrielles. A la suite d’une campagne de charme pilotée par le ministère de l’Industrie et visant l’Europe, le Canada et le Japon, des Marocains
résidents à l’étranger, dirigeant des entreprises spécialisées dans la nanotechnologie, se sont engagés à implanter une douzaine d’entreprises au Maroc. Technopolis, la nouvelle zone intelligente de Salé, a été choisie comme site d’accueil. Des espaces seront mis à la disposition des nouveaux entrants. Mais reste la très importante question de la mutualisation des investissements. Concrètement, pour encourager les PME de la nanotechnologie à venir au Maroc, il faut mettre à leur disposition, par exemple, des salles blanches mutualisées. Les investissements dans la recherche étant lourds, tous les intervenants de Technopolis doivent y participer. De cela, tout le monde est convaincu. Il reste à trouver la bonne formule.
 
Cluster industriel DES Micro-Nano-Biotechnolgies : Une technopole « embarquée » au Maroc par le génie de nos MRE

B.M
24 Avril 2006


La première séquence du projet s’est jouée à Rabat, le vendredi 21 avril. Des MRE talentueux, inventeurs, innovants et mondialement connus, conduisent cette mission unique dans le genre sous le pilotage du Dr Hoummady Moussa. Rendez-vous a été pris en juillet pour étudier le lancement du projet de cluster dédié aux nanotechnologies.
Dr Hoummady Moussa, PDG de Nanobiogène et chercheur permanent au CNRS
Roland Bernard, Directeur Advanced Systems & New Business Development d’Alcatel.

"Mon ambition est de tout mettre en œuvre pour que ce projet réussisse afin de hisser le Maroc à l’échelle des formations technologiques émergentes au plan international à l’instar de la Chine et de l’Inde», a insisté le chercheur marocain permanent du CNRS français qui a étonné le monde de la science, de la recherche, des entreprises et des universités, notamment parmi les nations leaders en la matière, USA, Japon et Europe. Ses travaux ont été très remarqués à l’Université de Tokyo où le PDG de Nanobiogène a implanté un laboratoire de nanotechnologie et y a installé un autre pour le compte du CNRS de la France, avant d’entreprendre au Canada où il fonda une société de génomique financée par des investisseurs du pays après que ses projets industriels dans l’Hexagone, à ce moment-là, n’eurent pas abouti à cause de la réticence des Français. Ce n’était que partie remise puisqu’en 2002, à son retour en France, il put créer, à Besançon considérée comme la «Mecque de l’horlogerie» sa propre société Nanobiogène, référence exclusive en la matière dans l’Hexagone, dans le continent européen et probablement ailleurs aussi. La découverte révolutionnaire du scientifique marocain a laissé pantois tous les centres R&D du monde et les start-up qui ne s’étaient pas encore aventurés dans ce sillage des technologies de la miniaturisation à outrance, de l’infiniment petit, des mondes invisibles de la matière où, paradoxalement, on y a découvert des espaces insoupçonnés jusque-là. Pour mieux comprendre, sachez que la nanotechnologie (la mesure nanométrique fonctionne au milliardième de mètre) a chamboulé l’univers des instrumentations toutes catégories dont les coûts ont été considérablement baissés pour plus d’efficience et de valeur ajoutée. Cette branche de la technologie nanométrique, pour se faire une idée de l’impact délirant des progrès attendus, devrait générer dans le monde, au bas, un chiffre d’affaires de plus de 1000 milliards de dollars à l’horizon 2015.
C’est que la présentation des sociétés en démonstration à la journée d’études de Rabat a laissé l’assistance bouche bée devant le très haut niveau des talents marocains et autres conduisant la mission d’implantation d’un cluster industriel dédié aux nanotechnologies dans le Royaume. Cette initiative est pleine de volonté de la part de nos promoteurs du cluster qui sont déterminés à hisser le Maroc au niveau des grandes puissances technologiques dans le secteur des nanotechnologies. Et ce n’est guère un slogan de circonstance puisque le ministre Mezzouar et la Secrétaire général du Département de la Recherche Scientifique ont été saisis d’étonnement, agréablement surpris qu’ils furent de découvrir un domaine inédit dans le Royaume où nos MRE excellent. Et ce n’est pas autant un voeu pieux puisque parmi les marchés demandeurs des sociétés du genre pilotées par nos génies du terroir figurent les plus grands de ce monde, que ce soient les Américains, les Japonais ou encore les Européens. Le mérite de nos champions de l’innovation technologique est d’autant plus grand que, dans le cas d’espèce, ce sont les PME qui attirent vers elles les grands groupes et multinationales de la planète alors qu’habituellement c’est le contraire qui se produit. Et que dire de cette réaction étrangement dissonante d’un professeur marocain universitaire exerçant dans un laboratoire de recherche qui s’est offusqué de n’avoir pas encore entendu décliner le projet de cluster au Maroc alors que tout a été dit auparavant. Une crainte cependant : ce projet de création d’un pôle industriel des nanotechnologies au Maroc aboutira-t-il ?

la gazette
 
franchement t'es ***, c'est le titre de l'article qui te fait réagir pareil? avant de commencer tes commentaires débile jette un coup d'oeil sur la source c'est un magazine tunisien il ne s'agit en rien d'un discours officiel, avec ce genre de titre le site essaye d'attirer des visiteurs sur les résultats des moteurs de recherche.
edit: voici le document officiel ils parlent d'insuffisances... http://www.finances.gov.ma/esp_doc/util/file.jsp?iddoc=3039

Premièrement ne t'adresse pas à moi de cette façon, car je t'ai en aucun cas adressé la parole !! respect si tu veux être respecter, même si je descendrai pas à ce niveau.

Ce sujet dont vous parlez, à savoir la nanotechnologie, je me suis documenté sur ça entre 2007 et 2008. Sache que je voulais faire ça comme spécialité, si j'ai continué mon master physique à l'école normale supérieur de lyon. Donc quand je parle d'un sujet ou je critique c'est après connaissance du domaine, à l'instar de quelques uns !! et l'ironie avec laquelle j'exprime mes propos, n'est que contre la stupidité nos gouverneurs.
Faut faire la différence entre la délocalisation,que font les sociétés étrangères, et une initiative nationale !! la première ce sont des capitaux qui veulent juste réduire un prix de production, quelque uns diront qu'ils un transfert de technologies durant cette opération !! c'est vrai mais ça reste partiel, car le corps de leur industrie reste chez eux, et puis ce que notre pays gagne c'est juste des salaires des employers, car grâce à M. l'ancien ministre des finances oualalou, ces entreprises peuvent transférer leur argent du maroc ailleurs facilement. Alors qu'une initiative nationale a besoin d'actes plus palpables que des paroles, tu sais pour quoi !! car tout simplement le prix des équipements pour faire de la nanotechnologie c'est de l'ordre des milliards d'euros, et sachant que c'est une industrie dont l'amortissement de l'investissement est sur de longues année !! est ce qu'un pays qui reçoit l'aide pour couvrir sa facture pétrolière, peut réellement supporter ces investissements ?!!! et puis réfléchie juste chouia et regarde ce qui s'est passé pour le projet du bouregreg, tout le monde sait que les emirates se sont retirés du projet, et sachant que c'est juste du génie civil derrière, alors est ce que réellement on a des personnes capables de mener à terme un projet aussi ambitieux que les nanotechnologies et risqué des milliards ?!!!
je ne sais pas pour quoi on commence pas par les industries de bases comme l'électronique et la mécanique.

Bref tant que nous n'avons pas un système éducatif performant, je ne croirai jamais qu'il y a une volonté politique pour avancer le pays. lisez juste comment la malaisie ont fait pour se développer et vous comprendrez que l'important c'est le facteur humain. j'attends toujours une initiative nationale pour améliorer la qualité de l'enseignement des écoles publiques, c'est plus profitable que le TGV.
 
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