amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Le gouvernement marocain a exprimé sa préoccupation par l'intention prêtée aux autorités des Pays-Bas d'annuler unilatéralement l'accord bilatéral de sécurité sociale signée avec le Maroc depuis 1972. Celui-ci est également soumis à l'accord Maroc-Union européenne dans le même domaine.
Vendredi, Salaheddine Mezouar, ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération a eu des entretiens téléphoniques respectivement avec M. Frans Timmermans, ministre des Affaire étrangères et Lodewijk Frans Asscher, vice-Premier ministre et ministre néerlandais des Affaires sociales et de l'Emploi auxquels il a fait part de "la déception profonde du gouvernement du Maroc et de son rejet total de cette décision aussi bien dans la forme que dans le fond".
M. Mezouar a regretté, lors de ces entretiens, que cette décision soit prise de façon unilatérale, sans concertation aucune avec les autorités marocaines concernées et sans qu'elle leur soit dument notifiée par les voies appropriées. Il a déploré qu'une telle décision soit intervenue à un moment où les relations bilatérales connaissent une évolution positive et sont marquées par une volonté de les développer aux niveaux politique, économique, culturel et humain, précise la même source.
Le bras de fer entre les deux pays dans ce domaine remonte à fin juin lorsque le parlement néerlandais avait voté en faveur de la réduction de 40% le montant des allocations dues aux enfants et conjoints résidents au Maroc. D'après les responsables marocains, il s'agit une décision qui ne devait pas être prise sans concertation préalable entre les deux pays.
La suite : http://french.cri.cn/621/2014/10/12/241s405196.htm
Vendredi, Salaheddine Mezouar, ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération a eu des entretiens téléphoniques respectivement avec M. Frans Timmermans, ministre des Affaire étrangères et Lodewijk Frans Asscher, vice-Premier ministre et ministre néerlandais des Affaires sociales et de l'Emploi auxquels il a fait part de "la déception profonde du gouvernement du Maroc et de son rejet total de cette décision aussi bien dans la forme que dans le fond".
M. Mezouar a regretté, lors de ces entretiens, que cette décision soit prise de façon unilatérale, sans concertation aucune avec les autorités marocaines concernées et sans qu'elle leur soit dument notifiée par les voies appropriées. Il a déploré qu'une telle décision soit intervenue à un moment où les relations bilatérales connaissent une évolution positive et sont marquées par une volonté de les développer aux niveaux politique, économique, culturel et humain, précise la même source.
Le bras de fer entre les deux pays dans ce domaine remonte à fin juin lorsque le parlement néerlandais avait voté en faveur de la réduction de 40% le montant des allocations dues aux enfants et conjoints résidents au Maroc. D'après les responsables marocains, il s'agit une décision qui ne devait pas être prise sans concertation préalable entre les deux pays.
La suite : http://french.cri.cn/621/2014/10/12/241s405196.htm