"Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve".
--- Un des mythes, si ce nest le mythe le plus puissant du Judaïsme est bien celui de peuplé élu de dieu, cest principalement cette élection qui fait le juif, cest envers elle quil se définit face aux autres peuples, cette différence est principalement revendiquée par les fondamentalistes qui revendiquent haut et fort le retour au Judaïsme originel à tous les juifs. Le phénomène dappartenance est très puissant au sein des minorités ethniques et religieuses de part le monde, cela fait partie des aptitudes primitives de grégarisation, en effet, lunion fait la force dit le proverbe. Linstinct grégaire est propre à une certaine forme de pensée primitive, dès que lespèce se sent menacée par un danger extérieur les membres sont attirés lun vers lautre pour se rassurer et se rendre plus fort contre ladversité. Un exemple frappant est à remarquer lors des matchs de football par exemple ou les supporters se collent les uns aux autres lorsque léquipe est menacée, cest une manière de conjurer la peur générer par l'angoisse de la défaite. Les animaux aussi forme des coalitions entre sous-groupes lors dune attaque qui menace le groupe entier, on remarque cela de manière très net chez les primates, normal me direz-vous puisque ce sont nos cousins.
--- Concernant le Judaïsme, linstinct grégaire a été très puissant, il a contribué à lédification dun royaume fortifier, sans ce mythe fédérateur de « peuple élu » les hébreux nauraient certainement pas fondé un royaume aussi puissant, car leurs stratégies militaires et leurs technicités nétaient pas les plus performantes de l'époque. Cest leur désir galvaniser par lélection dune force surnaturelle qui les poussa à vivre, cétait leurs seules raisons dêtre, sans cela le royaume se serait effondré bien plus rapidement quil ne la été. Mais les hébreux nétaient pas les seuls a avoir développé ce concept de « peuple élu » parmi toutes les peuplades de la région. Il faut voir tout dabord que toutes les nations possédaient un concept fédérateur, concept qui naffirmait pas haut et fort une élection divine, mais qui le sous tendait par dautres conceptualisations ethnocentriques. Les Egyptiens avaient leur concept de descendance du dieu Râ, les Egyptiens se considéraient donc aussi comme un peuple élu mais dun autre dieu, les hébreux ont tiré leur propre concept de « peuple élu » des égyptiens qui étaient leurs ancêtres. Les Grecs se disaient descendant de Gaia la déesse mère et fils de Zeus, les Romains cétait Jupiter et Odin pour les Vikings, ce concept délection divine étaient donc couramment utilisé à lépoque, cétait une mode propre à cette période primitive de lhumanité. Les hébreux étant une faction rebelle de légypte ancienne, vu leur faible nombre ils étaient donc obligé de créer un sentiment dappartenance encore plus puissant et surtout plus guerrier que les autres : « Sache aujourd'hui que l'Éternel, ton Dieu, marchera lui-même devant toi comme un feu dévorant, c'est lui qui les détruira, qui les humiliera devant toi; et tu les chasseras, tu les feras périr promptement, comme l'Éternel te l'a dit. » (DEUTERONOME IX ; 3). De telles paroles si violentes étaient nécessaires pour donner le courage nécessaire à un peuple effrayé par les attaques de toutes parts. Et bien entendu lhomme sen servit ensuite pour asseoir son pouvoir et sa domination sur des peuplades plus faibles que la sienne. Un certain racisme se dégageait de cette élection divine : « Race d'Israël, son serviteur, Enfants de Jacob, ses élus ! » (1 CHRONIQUES XVI ; 13). Il ne faut donc pas être particulièrement choqué par lélection divine du peuple juif, mais là où se situe le problème cest dans la perpétuation de ce concept dans un 21ème siècle mutlti-éthniques. Quel est la place pour un tel concept dans un monde de brassage ethnique et de métissage culturel ?
--- Le problème du Judaisme est quil se base sur un passé permanent, il est nostalgique, et il fait encore espèrer à ses fidèles le désir de revoir un passé définitivement perdu. Le Judaisme véhicule avec lui tout un fardeau idéologique très passéiste, sans cela il nest plus, et cest la peur de nêtre plus rien qui le paralyse et lendurcie dans ses croyances. Sil na plus de « mission » divine à accomplir pour dieu sur terre il na plus de raison dêtre, son ego ne peut plus être gonfler par la valorisation dune entité parfaite et immortelle. Le Judaisme apparait comme une religion un peu perdu dans ce monde où tout les échanges interculturels se multiplient, où les vieilles identités religieuses se fondent dans la masse grâce à l'assimilation. Tous se mélangent, et vivent en paix malgré tout, le Judaisme souhaiterait aussi faire partie de cette grande famille, mais pour cela il doit sacrifier ces rêves égocentriques et revenir à une simplicité daction, et admettre humblement qu'il n'a plus de mission à accomplir que ses semblables. Malheureusement ce choix est impossible pour lorthodoxie, cela signifierait la perte de tous leurs privilèges. Se fondre dans la masse est difficile pour les juifs libéraux cela impliquerait la perte de leurs traditions. Mais l'assimilation est faisable pour les juifs de Kippour dès lors quils arrivent à se détacher de la possessivité et de la culpabilisation familiale.
--- De toute manière, sils ne viennent pas à la modernité, la modernité viendra à eux, la vie nattend pas après eux, elle avance tout droit, et gars à ceux qui ne sadapteront pas rapidement, ils ne subsisteront pas. Depuis lapparition des religions, de nombreuses ont disparues, comme la plupart des cultes païens polythéistes et autres religions animistes. Après les polythéismes la vie passa à une autre phase qui fut le monothéisme, afin débaucher un besoin dunité, désormais la phase est à lunification globale dune même espèce, et cette unification progresse très rapidement dans un monde ou linformation se propage comme une traîné de poudre. Espérons toute fois que bon nombre de juifs prendront conscience de ces choses là,
--- Un des mythes, si ce nest le mythe le plus puissant du Judaïsme est bien celui de peuplé élu de dieu, cest principalement cette élection qui fait le juif, cest envers elle quil se définit face aux autres peuples, cette différence est principalement revendiquée par les fondamentalistes qui revendiquent haut et fort le retour au Judaïsme originel à tous les juifs. Le phénomène dappartenance est très puissant au sein des minorités ethniques et religieuses de part le monde, cela fait partie des aptitudes primitives de grégarisation, en effet, lunion fait la force dit le proverbe. Linstinct grégaire est propre à une certaine forme de pensée primitive, dès que lespèce se sent menacée par un danger extérieur les membres sont attirés lun vers lautre pour se rassurer et se rendre plus fort contre ladversité. Un exemple frappant est à remarquer lors des matchs de football par exemple ou les supporters se collent les uns aux autres lorsque léquipe est menacée, cest une manière de conjurer la peur générer par l'angoisse de la défaite. Les animaux aussi forme des coalitions entre sous-groupes lors dune attaque qui menace le groupe entier, on remarque cela de manière très net chez les primates, normal me direz-vous puisque ce sont nos cousins.
--- Concernant le Judaïsme, linstinct grégaire a été très puissant, il a contribué à lédification dun royaume fortifier, sans ce mythe fédérateur de « peuple élu » les hébreux nauraient certainement pas fondé un royaume aussi puissant, car leurs stratégies militaires et leurs technicités nétaient pas les plus performantes de l'époque. Cest leur désir galvaniser par lélection dune force surnaturelle qui les poussa à vivre, cétait leurs seules raisons dêtre, sans cela le royaume se serait effondré bien plus rapidement quil ne la été. Mais les hébreux nétaient pas les seuls a avoir développé ce concept de « peuple élu » parmi toutes les peuplades de la région. Il faut voir tout dabord que toutes les nations possédaient un concept fédérateur, concept qui naffirmait pas haut et fort une élection divine, mais qui le sous tendait par dautres conceptualisations ethnocentriques. Les Egyptiens avaient leur concept de descendance du dieu Râ, les Egyptiens se considéraient donc aussi comme un peuple élu mais dun autre dieu, les hébreux ont tiré leur propre concept de « peuple élu » des égyptiens qui étaient leurs ancêtres. Les Grecs se disaient descendant de Gaia la déesse mère et fils de Zeus, les Romains cétait Jupiter et Odin pour les Vikings, ce concept délection divine étaient donc couramment utilisé à lépoque, cétait une mode propre à cette période primitive de lhumanité. Les hébreux étant une faction rebelle de légypte ancienne, vu leur faible nombre ils étaient donc obligé de créer un sentiment dappartenance encore plus puissant et surtout plus guerrier que les autres : « Sache aujourd'hui que l'Éternel, ton Dieu, marchera lui-même devant toi comme un feu dévorant, c'est lui qui les détruira, qui les humiliera devant toi; et tu les chasseras, tu les feras périr promptement, comme l'Éternel te l'a dit. » (DEUTERONOME IX ; 3). De telles paroles si violentes étaient nécessaires pour donner le courage nécessaire à un peuple effrayé par les attaques de toutes parts. Et bien entendu lhomme sen servit ensuite pour asseoir son pouvoir et sa domination sur des peuplades plus faibles que la sienne. Un certain racisme se dégageait de cette élection divine : « Race d'Israël, son serviteur, Enfants de Jacob, ses élus ! » (1 CHRONIQUES XVI ; 13). Il ne faut donc pas être particulièrement choqué par lélection divine du peuple juif, mais là où se situe le problème cest dans la perpétuation de ce concept dans un 21ème siècle mutlti-éthniques. Quel est la place pour un tel concept dans un monde de brassage ethnique et de métissage culturel ?
--- Le problème du Judaisme est quil se base sur un passé permanent, il est nostalgique, et il fait encore espèrer à ses fidèles le désir de revoir un passé définitivement perdu. Le Judaisme véhicule avec lui tout un fardeau idéologique très passéiste, sans cela il nest plus, et cest la peur de nêtre plus rien qui le paralyse et lendurcie dans ses croyances. Sil na plus de « mission » divine à accomplir pour dieu sur terre il na plus de raison dêtre, son ego ne peut plus être gonfler par la valorisation dune entité parfaite et immortelle. Le Judaisme apparait comme une religion un peu perdu dans ce monde où tout les échanges interculturels se multiplient, où les vieilles identités religieuses se fondent dans la masse grâce à l'assimilation. Tous se mélangent, et vivent en paix malgré tout, le Judaisme souhaiterait aussi faire partie de cette grande famille, mais pour cela il doit sacrifier ces rêves égocentriques et revenir à une simplicité daction, et admettre humblement qu'il n'a plus de mission à accomplir que ses semblables. Malheureusement ce choix est impossible pour lorthodoxie, cela signifierait la perte de tous leurs privilèges. Se fondre dans la masse est difficile pour les juifs libéraux cela impliquerait la perte de leurs traditions. Mais l'assimilation est faisable pour les juifs de Kippour dès lors quils arrivent à se détacher de la possessivité et de la culpabilisation familiale.
--- De toute manière, sils ne viennent pas à la modernité, la modernité viendra à eux, la vie nattend pas après eux, elle avance tout droit, et gars à ceux qui ne sadapteront pas rapidement, ils ne subsisteront pas. Depuis lapparition des religions, de nombreuses ont disparues, comme la plupart des cultes païens polythéistes et autres religions animistes. Après les polythéismes la vie passa à une autre phase qui fut le monothéisme, afin débaucher un besoin dunité, désormais la phase est à lunification globale dune même espèce, et cette unification progresse très rapidement dans un monde ou linformation se propage comme une traîné de poudre. Espérons toute fois que bon nombre de juifs prendront conscience de ces choses là,