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Tayri nem tuder g-ul inu
Le quotidien espagnol El Mundo a publié un entretien avec le père de Mounir Haddadi, l'étoile montante du FC Barcelone. Souvenirs d'un homme qui a quitté le Maroc à bord d'une patera pour garantir un avenir meilleur à sa famille.
Mohamed Haddadi, le père de la nouvelle star du FC Barcelone Mounir Haddadi, se remémore, sur les colonnes du quotidien espagnol El Mundo, son arrivée et ses premières années difficiles en Espagne.
Se laissant aller à la confidence, le père du talentueux attaquant du Barça a révélé qu'il avait risqué sa vie en se rendant en Espagne, en tant qu’immigré clandestin, à bord d'une patera, avec 20 autres migrants.
Le fils de Fnideq, à peine âgé de 18 ans, rêvait d'un avenir meilleur pour sa famille en débarquant fauché dans un pays étranger, un 1er juin 1966.
Haddadi père a confié à El Mundo qu'à cette période, il jouait à cache-cache avec la police. Arrivé à Bilbao, il s'y est installé et a gagné sa vie en vendant des biscuits pendant 4 ans. Mais ce n'était pas la vie qu'il voulait.
Il a décidé donc de suivre des cours d'art culinaire. Initié aux secrets des fourneaux, Haddadi fait carrière en confectionnant de bons petits plats pour le plus grand bonheur des gourmets. Il s'est fait une bonne réputation avant la venue au monde, un 1er septembre à Madrid, de son fils Mounir.
Zaïda, la mère du prodige, native de Melillia, faisait la plonge dans un restaurant avant de laisser tomber pour s'occuper de ses enfants. Le couple en avait trois autres en plus de Mounir.
Source : lareleve.ma
Mohamed Haddadi, le père de la nouvelle star du FC Barcelone Mounir Haddadi, se remémore, sur les colonnes du quotidien espagnol El Mundo, son arrivée et ses premières années difficiles en Espagne.
Se laissant aller à la confidence, le père du talentueux attaquant du Barça a révélé qu'il avait risqué sa vie en se rendant en Espagne, en tant qu’immigré clandestin, à bord d'une patera, avec 20 autres migrants.
Le fils de Fnideq, à peine âgé de 18 ans, rêvait d'un avenir meilleur pour sa famille en débarquant fauché dans un pays étranger, un 1er juin 1966.
Haddadi père a confié à El Mundo qu'à cette période, il jouait à cache-cache avec la police. Arrivé à Bilbao, il s'y est installé et a gagné sa vie en vendant des biscuits pendant 4 ans. Mais ce n'était pas la vie qu'il voulait.
Il a décidé donc de suivre des cours d'art culinaire. Initié aux secrets des fourneaux, Haddadi fait carrière en confectionnant de bons petits plats pour le plus grand bonheur des gourmets. Il s'est fait une bonne réputation avant la venue au monde, un 1er septembre à Madrid, de son fils Mounir.
Zaïda, la mère du prodige, native de Melillia, faisait la plonge dans un restaurant avant de laisser tomber pour s'occuper de ses enfants. Le couple en avait trois autres en plus de Mounir.
Source : lareleve.ma