Le port du pantalon pour l’homme

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Zakaria91
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Zakaria91

Bladinaute averti
Porter des vêtements serrés et étroits est déconseillé religieusement et médicalement, à cause de ses méfaits sur le corps.

Au point où, pour certains [de ces vêtements], on est dans l’incapacité de se prosterner en les portant. (...)

Beaucoup de ceux qui prient, aujourd’hui, le font dans des vêtements qui montrent la forme du derrière (...).

Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Et d’après certains h’anafites, c’est makroûh [1].

Ceci concernait leurs pantalons qui étaient très larges.

Question :

Que peut-on penser du pantalon très serré ?

Réponse :

Le pantalon [tel que porté aujourd’hui] présente deux fléaux :

-Le premier fléau

C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.

Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.

Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.

Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

-Le second fléau

C’est que ce "pantalon" montre la forme de la ’awrah.

La ’awrah de l’homme étant ce qui est entre les genoux et le nombril.

Celui qui prie doit-être le plus éloigné de la désobéissance à Allah, quand il est prosterné.

Or on voit ses formes arrières, comment un être humain peut-il prier ainsi ?

Et comment peut-il se présenter ainsi devant Le Seigneur des mondes ?

Ce qu’il y a d’étonnant, c’est que beaucoup parmi les jeunes hommes musulmans désapprouvent les femmes lorsqu’elles portent des vêtements serrés, car ils montrent les formes de leurs corps ; alors que ces jeunes oublient leur propre personne.

En effet, ils sont tombés dans ce qu’ils désapprouvent.

Il n’y a pas de différence entre la femme qui porte des vêtements serrés qui montrent les formes de son corps et l’homme qui porte le "pantalon" qui montre aussi la forme de son derrière.

Le derrière de l’homme et de la femme, du point de vue de leur caractère de ’awrah, sont dans le même cas.

Les jeunes doivent donc faire attention à ce fléau qui les a tous touchés, exceptés ceux d’entre eux qu’Allah a voulu [préserver].

Et combien peu ils sont ! [2]

[1] Fath’ ul-Bârî (1/476)
[2] D’après des enregistrements de lui où ils répondaient aux questions de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, l’égyptien (Avertissements des savants contre les égarements de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, voir : Ici - Ici et Ici).
Cela a été enregistré en Jordanie, au mois de Muh’arram de l’an 1407H. (...)
Cette faute, qu’on a mentionnée, est commune aux hommes et aux femmes, mais elle est, à notre époque, plus apparente chez les hommes.
En effet, la plupart des musulmans, de nos jours, ne prient que dans des pantalons, et pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de pantalons serrés.
 
Porter des vêtements serrés et étroits est déconseillé religieusement et médicalement, à cause de ses méfaits sur le corps.

Au point où, pour certains [de ces vêtements], on est dans l’incapacité de se prosterner en les portant. (...)

Beaucoup de ceux qui prient, aujourd’hui, le font dans des vêtements qui montrent la forme du derrière (...).

Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Et d’après certains h’anafites, c’est makroûh [1].

Ceci concernait leurs pantalons qui étaient très larges.

Question :

Que peut-on penser du pantalon très serré ?

Réponse :

Le pantalon [tel que porté aujourd’hui] présente deux fléaux :

-Le premier fléau

C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.

Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.

Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.

Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

-Le second fléau

C’est que ce "pantalon" montre la forme de la ’awrah.

La ’awrah de l’homme étant ce qui est entre les genoux et le nombril.

Celui qui prie doit-être le plus éloigné de la désobéissance à Allah, quand il est prosterné.

Or on voit ses formes arrières, comment un être humain peut-il prier ainsi ?

Et comment peut-il se présenter ainsi devant Le Seigneur des mondes ?

Ce qu’il y a d’étonnant, c’est que beaucoup parmi les jeunes hommes musulmans désapprouvent les femmes lorsqu’elles portent des vêtements serrés, car ils montrent les formes de leurs corps ; alors que ces jeunes oublient leur propre personne.

En effet, ils sont tombés dans ce qu’ils désapprouvent.

Il n’y a pas de différence entre la femme qui porte des vêtements serrés qui montrent les formes de son corps et l’homme qui porte le "pantalon" qui montre aussi la forme de son derrière.

Le derrière de l’homme et de la femme, du point de vue de leur caractère de ’awrah, sont dans le même cas.

Les jeunes doivent donc faire attention à ce fléau qui les a tous touchés, exceptés ceux d’entre eux qu’Allah a voulu [préserver].

Et combien peu ils sont ! [2]

[1] Fath’ ul-Bârî (1/476)
[2] D’après des enregistrements de lui où ils répondaient aux questions de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, l’égyptien (Avertissements des savants contre les égarements de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, voir : Ici - Ici et Ici).
Cela a été enregistré en Jordanie, au mois de Muh’arram de l’an 1407H. (...)
Cette faute, qu’on a mentionnée, est commune aux hommes et aux femmes, mais elle est, à notre époque, plus apparente chez les hommes.
En effet, la plupart des musulmans, de nos jours, ne prient que dans des pantalons, et pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de pantalons serrés.
Un fléau c'est un bien grand mot, mais si on voit leurs derrière c'est pas décent du tout
 
Quand j’avais lu le debut du titre : Le port du pantalon...
Et le pisteur Zakaria,j’ai cru au port du pantalon par les femmes,mais bon...
No comment alors.
 
Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Le musulman peut prier et sa prière sera valide tant qu'il a les ablutions et que sa nudité sera couverte, c'est-à-dire des jenoux au nombril.
 
Porter des vêtements serrés et étroits est déconseillé religieusement et médicalement, à cause de ses méfaits sur le corps.

Au point où, pour certains [de ces vêtements], on est dans l’incapacité de se prosterner en les portant. (...)

Beaucoup de ceux qui prient, aujourd’hui, le font dans des vêtements qui montrent la forme du derrière (...).

Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Et d’après certains h’anafites, c’est makroûh [1].

Ceci concernait leurs pantalons qui étaient très larges.

Question :

Que peut-on penser du pantalon très serré ?

Réponse :

Le pantalon [tel que porté aujourd’hui] présente deux fléaux :

-Le premier fléau

C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.

Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.

Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.

Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

-Le second fléau

C’est que ce "pantalon" montre la forme de la ’awrah.

La ’awrah de l’homme étant ce qui est entre les genoux et le nombril.

Celui qui prie doit-être le plus éloigné de la désobéissance à Allah, quand il est prosterné.

Or on voit ses formes arrières, comment un être humain peut-il prier ainsi ?

Et comment peut-il se présenter ainsi devant Le Seigneur des mondes ?

Ce qu’il y a d’étonnant, c’est que beaucoup parmi les jeunes hommes musulmans désapprouvent les femmes lorsqu’elles portent des vêtements serrés, car ils montrent les formes de leurs corps ; alors que ces jeunes oublient leur propre personne.

En effet, ils sont tombés dans ce qu’ils désapprouvent.

Il n’y a pas de différence entre la femme qui porte des vêtements serrés qui montrent les formes de son corps et l’homme qui porte le "pantalon" qui montre aussi la forme de son derrière.

Le derrière de l’homme et de la femme, du point de vue de leur caractère de ’awrah, sont dans le même cas.

Les jeunes doivent donc faire attention à ce fléau qui les a tous touchés, exceptés ceux d’entre eux qu’Allah a voulu [préserver].

Et combien peu ils sont ! [2]

[1] Fath’ ul-Bârî (1/476)
[2] D’après des enregistrements de lui où ils répondaient aux questions de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, l’égyptien (Avertissements des savants contre les égarements de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, voir : Ici - Ici et Ici).
Cela a été enregistré en Jordanie, au mois de Muh’arram de l’an 1407H. (...)
Cette faute, qu’on a mentionnée, est commune aux hommes et aux femmes, mais elle est, à notre époque, plus apparente chez les hommes.
En effet, la plupart des musulmans, de nos jours, ne prient que dans des pantalons, et pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de pantalons serrés.
Les gens sont aller dans la lune et nous ne somme toujours la a parler des habits.

Pour info nous somme tous destiner a être nue au jugement derniers alors un conseil essaie plutôt de te préparer pour ce jour si non Allah vas te casser le figure ce jour la pour ne pas voir de la nudité même si tout le monde est nue.
 
C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.
Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.
Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.
Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

Le pantalon fait partie de la Dounya, il est donc un moyen pour couvrir sa nudité. Pourquoi fait-on une différence entre des vêtements et d'autres moyens tel que les chaussures, les voitures, le train etc ? Le tout fait bien partie de cette Dounya de même les traces laissées par les colonisateurs;

Mais voilà, le musulman ne veut pas imiter les kouffars dans leur manière de s'habiller, mais ils utilisent allégrèment les moyens inventés par ces mêmes kouffars. Drôle d'hypocrisie. Mais comment s'habille un salafi ? :

242419242420

Wouah !! Des baskets kouffars !!!!!!!
 
Dernière édition:
Quand j’avais lu le debut du titre : Le port du pantalon...
Et le pisteur Zakaria,j’ai cru au port du pantalon par les femmes,mais bon...
No comment alors.
on a fini avec les femmes et le port du voile ,la on attaque les hommes et le port du pantalon !
tu es en retard là !
 
Porter des vêtements serrés et étroits est déconseillé religieusement et médicalement, à cause de ses méfaits sur le corps.

Au point où, pour certains [de ces vêtements], on est dans l’incapacité de se prosterner en les portant. (...)

Beaucoup de ceux qui prient, aujourd’hui, le font dans des vêtements qui montrent la forme du derrière (...).

Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Et d’après certains h’anafites, c’est makroûh [1].

Ceci concernait leurs pantalons qui étaient très larges.

Question :

Que peut-on penser du pantalon très serré ?

Réponse :

Le pantalon [tel que porté aujourd’hui] présente deux fléaux :

-Le premier fléau

C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.

Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.

Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.

Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

-Le second fléau

C’est que ce "pantalon" montre la forme de la ’awrah.

La ’awrah de l’homme étant ce qui est entre les genoux et le nombril.

Celui qui prie doit-être le plus éloigné de la désobéissance à Allah, quand il est prosterné.

Or on voit ses formes arrières, comment un être humain peut-il prier ainsi ?

Et comment peut-il se présenter ainsi devant Le Seigneur des mondes ?

Ce qu’il y a d’étonnant, c’est que beaucoup parmi les jeunes hommes musulmans désapprouvent les femmes lorsqu’elles portent des vêtements serrés, car ils montrent les formes de leurs corps ; alors que ces jeunes oublient leur propre personne.

En effet, ils sont tombés dans ce qu’ils désapprouvent.

Il n’y a pas de différence entre la femme qui porte des vêtements serrés qui montrent les formes de son corps et l’homme qui porte le "pantalon" qui montre aussi la forme de son derrière.

Le derrière de l’homme et de la femme, du point de vue de leur caractère de ’awrah, sont dans le même cas.

Les jeunes doivent donc faire attention à ce fléau qui les a tous touchés, exceptés ceux d’entre eux qu’Allah a voulu [préserver].

Et combien peu ils sont ! [2]

[1] Fath’ ul-Bârî (1/476)
[2] D’après des enregistrements de lui où ils répondaient aux questions de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, l’égyptien (Avertissements des savants contre les égarements de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, voir : Ici - Ici et Ici).
Cela a été enregistré en Jordanie, au mois de Muh’arram de l’an 1407H. (...)
Cette faute, qu’on a mentionnée, est commune aux hommes et aux femmes, mais elle est, à notre époque, plus apparente chez les hommes.
En effet, la plupart des musulmans, de nos jours, ne prient que dans des pantalons, et pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de pantalons serrés.
Moi, je mets des pantalons serrés. Si des filles ou des hommes se lavent les yeux en regardant mon postérieur, grand bien leur fasse. En effet, si je peux faire plaisir à certain(e)s sans que ça me coûte quoique ce soit, pourquoi m'en priver? :D
 
Un pantalon est un vêtement. Un simple outil pour se couvrir, pour ne pas avoir froid, pour ne pas se blesser quand on bricole ou travaille. Je veux bien le voir moi le gars qui fait son jogging en robe. Ou qui fait de la menuiserie en jupe. Enfin bref... yen a qui semblent inventer des nouvelles règles chaque jour, ça devient lourd. Il a qu a fermer les yeux ou détourner son regard qi la vue de fesses dans un pantalon l insupporte.
 
Salam

Les musulmans et les musulmanes veulent se différencier dans leur vestimentaire et leurs manière d'être et paraître par rapport aux kouffars et les Gens du Livre. On a beau à rappeler (selon des hadiths) que le musulman doit :

1) Se laisser pousser la barbe
2) Raccourcir la moustache
3) Colorer sa barbe quand apparaissent des poils blancs
4) Que c'est haram ou détestable de se raser la barbe
5) Ne point ressembler aux autres cités ci-haut.

Tout cela c'est la Sunna, car dans le Coran on ne trouve aucune trace de l'apparence, mais au contraire on trouve ce qui est plus important, à savoir le bon comportement et ses vertus. Un musulman n'entrera pas au Paradis pour le mérite de ses actes mais uniquement par la Grâce et la Miséricorde divine.

Si par exemple je me coupe la barbe ou je la rase, en quoi je serai un mauvais musulman ? Si je ne la colore pas et que mon âge soit apparent par la présence de poils blancs pourquoi devrai-je le cacher, uniquement pour ne pas ressembler aux Gens du Livre ? Malheureusement le musulman est prisonnier de la Tradition, et des écoles de jurisprudence qui façonnent ce que doit être le comportement et le paraître dans la société, pretextant qu'il faut imiter le Prophète saws.

A ce sujet j'ai trouvé des hadiths qui montreraient l'idôlatrie vis-à-vis du Prophète de la part des Compagnons :

Le Prophète s’étant fait faire une saignée, il charge 'Abdallâh b. al-Zubayr tout jeune d’aller verser le sang « là où personne ne te verra ». Ce dernier prend le récipient, s’éloigne et en avale le contenu. A son retour, le Prophète lui demande :

« — Ô Abdallâh, qu’as-tu fait du sang ? — Je l’ai mis dans l’endroit le plus caché, là où personne ne peut le voir. — Peut-être l’as-tu bu ? — Oui. — Et pourquoi as-tu bu le sang ? Malheur aux hommes de ta part et malheur à toi de la part des hommes. »
  • 41 Kândihlawî, 1968, II : 581-2, d’après Bayhaqî et Abû Nucaym (Ḥilyat al-awliyâ’, I: 330). Voir aussi (...)
  • 42 Kândihlawî,1968, II : 581-2, d’après Ibn Ḥajar al-Haytamî, Majmacal-zawâ’id, VIII : 270.
28Abû ʿÂsim, un des rapporteurs de cette tradition, ajoute : « On considérait que la force de ʿAbdallâh lui venait de ce sang ». Dans une autre version, quand le prophète lui demande pourquoi il a agi ainsi, le garçon lui répond : « J’ai voulu que le sang de l’envoyé de Dieu soit dans mes viscères ». Le Prophète lui adresse la même parole, en ajoutant : « le Feu ne t’atteindra que pour autant que Dieu en a fait le serment »

A Uḥud, le Prophète dit de Mâlik b. Sinân qui a sucé le sang de ses blessures : « Mon sang s’est mêlé au sien ; le Feu ne le touchera pas ». Il ne dit pas autre chose de Surra, la servante abyssine de son épouse Umm Salama ; quand il apprend qu’au lieu de vider son pot de chambre, elle en a bu le contenu : « Elle s’est entourée d’un enclos contre le feu » (Kândihlawî,1968, II : 581-2).

À Ḥudaybiyya, un émissaire des Qurayshites venu en pourparlers, est frappé de voir les Compagnons se précipiter pour boire l’eau restant dans le récipient où le Prophète a fait ses ablutions40. Il ne s’agit là que de contact avec la main, mais il s’aperçoit aussi qu’ils recueillent ses crachats ou ses mouchures pour se les passer sur le visage et le corps, ainsi que ses cheveux (Ibn Hishâm, 1955, II : 314.).

Quand le Prophète, à son retour de Ṭâ’if, rencontre ʿAddâs, chrétien originaire de Ninive et esclave chez les Banû Ṭaqîf, et que ce dernier réalise qu’il a en face de lui un prophète, il s’empresse de lui embrasser la tête, les mains et les pieds. Il répond à son maître qui lui demande pourquoi il a agi ainsi : « Il n’y a pas sur la terre d’homme meilleur que celui-ci ; il m’a informé de ce que seul sait un prophète » (Ibn Hishâm, 1955, I : 421).

La mère de son jeune serviteur Anas b. Mâlik, que le Prophète a visitée et chez qui il a fait la sieste, recueille durant son sommeil, dans un flacon, les gouttes de sueur qui tombent de son corps. Quand il se réveille, il lui demande ce qu’elle fait et elle lui répond : « C’est ta sueur, nous la mettons dans notre parfum car c’est le meilleur des parfums » (Muslim, 1329 H, faḍâïl 83, VII : 81).

Umm Salama, l’épouse du Prophète, conservait des cheveux dans une sorte de cloche (juljul) d’argent. Quand quelqu’un était atteint de fièvre ou de mauvais œil, on sortait les cheveux et on les trempait dans de l’eau dont on aspergeait le visage du patient (Bukhârî, 2001, libâs 66, VII : 374-375 ; Bayhaqî, 1985, I : 236).
 
Porter des vêtements serrés et étroits est déconseillé religieusement et médicalement, à cause de ses méfaits sur le corps.

Au point où, pour certains [de ces vêtements], on est dans l’incapacité de se prosterner en les portant. (...)

Beaucoup de ceux qui prient, aujourd’hui, le font dans des vêtements qui montrent la forme du derrière (...).

Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Et d’après certains h’anafites, c’est makroûh [1].

Ceci concernait leurs pantalons qui étaient très larges.

Question :

Que peut-on penser du pantalon très serré ?

Réponse :

Le pantalon [tel que porté aujourd’hui] présente deux fléaux :

-Le premier fléau

C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.

Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.

Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.

Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

-Le second fléau

C’est que ce "pantalon" montre la forme de la ’awrah.

La ’awrah de l’homme étant ce qui est entre les genoux et le nombril.

Celui qui prie doit-être le plus éloigné de la désobéissance à Allah, quand il est prosterné.

Or on voit ses formes arrières, comment un être humain peut-il prier ainsi ?

Et comment peut-il se présenter ainsi devant Le Seigneur des mondes ?

Ce qu’il y a d’étonnant, c’est que beaucoup parmi les jeunes hommes musulmans désapprouvent les femmes lorsqu’elles portent des vêtements serrés, car ils montrent les formes de leurs corps ; alors que ces jeunes oublient leur propre personne.

En effet, ils sont tombés dans ce qu’ils désapprouvent.

Il n’y a pas de différence entre la femme qui porte des vêtements serrés qui montrent les formes de son corps et l’homme qui porte le "pantalon" qui montre aussi la forme de son derrière.

Le derrière de l’homme et de la femme, du point de vue de leur caractère de ’awrah, sont dans le même cas.

Les jeunes doivent donc faire attention à ce fléau qui les a tous touchés, exceptés ceux d’entre eux qu’Allah a voulu [préserver].

Et combien peu ils sont ! [2]

[1] Fath’ ul-Bârî (1/476)
[2] D’après des enregistrements de lui où ils répondaient aux questions de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, l’égyptien (Avertissements des savants contre les égarements de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, voir : Ici - Ici et Ici).
Cela a été enregistré en Jordanie, au mois de Muh’arram de l’an 1407H. (...)
Cette faute, qu’on a mentionnée, est commune aux hommes et aux femmes, mais elle est, à notre époque, plus apparente chez les hommes.
En effet, la plupart des musulmans, de nos jours, ne prient que dans des pantalons, et pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de pantalons serrés.


78.33. et des (belle) aux seins arrondis, d'une égale jeunesse,
78.34. et coupes débordantes.
78.35. Ils n'y entendront ni futilités ni mensonges.

Je ne comprends plus rien !
 
Le musulman peut prier et sa prière sera valide tant qu'il a les ablutions et que sa nudité sera couverte, c'est-à-dire des jenoux au nombril.
Zut, moi qui croyais bêtement que la prière est valide d'abord parce qu'elle est sincère. Ce n'est pas le cas ?

Le prosaïque égare la spiritualité...
 
Dernière édition:
Allah a dit dans la sourate Az Zoukhrouf n°43 verset 71 : « Et il y aura ce que les âmes désirent et ce qui réjouit les yeux et vous y demeurerez éternellement ».
une âme veut juste dire quelqu'un. et "et ce qui réjouit les yeux " tu confirmes un voyeurisme, l'indécence, nous sommes très loin du voile pour couvrir les formes.

éternellement,
et il dit aussi que le mot éternel est éphémère en précisent les choses

11.106. Ceux qui sont damnés seront dans le Feu où ils ont des soupirs et des sanglots.
11.107. Pour y demeurer éternellement tant que dureront les cieux et la terre - à moins que ton Seigneur décide autrement - car ton Seigneur fait absolument tout ce qu'Il veut.
11.108. Et quant aux bienheureux, ils seront au Paradis, pour y demeurer éternellement tant que dureront les cieux et la terre - à moins que ton Seigneur n'en décide autrement - c'est là un don qui n'est jamais interrompu.

Il dit tout cela pour rien en somme.

il fait ce qu'il veut, mais on peut espérer qu'il fait ce qu'il dit.
 
Porter des vêtements serrés et étroits est déconseillé religieusement et médicalement, à cause de ses méfaits sur le corps.

Au point où, pour certains [de ces vêtements], on est dans l’incapacité de se prosterner en les portant. (...)

Beaucoup de ceux qui prient, aujourd’hui, le font dans des vêtements qui montrent la forme du derrière (...).

Al-H’âfizh Ibn H’adjar a rapporté de Ashhab [élève de l’Imâm Mâlik], que celui qui prie dans des pantalons [sans porter autre chose dessus), alors qu’il n’a pas d’excuse, doit refaire sa prière, tant que son temps n’est pas passé, sauf si le pantalon est épais.

Et d’après certains h’anafites, c’est makroûh [1].

Ceci concernait leurs pantalons qui étaient très larges.

Question :

Que peut-on penser du pantalon très serré ?

Réponse :

Le pantalon [tel que porté aujourd’hui] présente deux fléaux :

-Le premier fléau

C’est que celui qui le porte se fait ressembler aux mécréants.

Les musulmans, eux, portaient des pantalons larges et spacieux, que certains portent encore en Syrie et au Liban.

Les musulmans n’ont connu ce [nouveau type de] "pantalon" que lorsqu’ils ont été colonisés.

Et lorsque les colonisateurs se sont retirés, ils ont laissé leurs mauvaises traces que des musulmans ont adoptées par idiotie et ignorance.

-Le second fléau

C’est que ce "pantalon" montre la forme de la ’awrah.

La ’awrah de l’homme étant ce qui est entre les genoux et le nombril.

Celui qui prie doit-être le plus éloigné de la désobéissance à Allah, quand il est prosterné.

Or on voit ses formes arrières, comment un être humain peut-il prier ainsi ?

Et comment peut-il se présenter ainsi devant Le Seigneur des mondes ?

Ce qu’il y a d’étonnant, c’est que beaucoup parmi les jeunes hommes musulmans désapprouvent les femmes lorsqu’elles portent des vêtements serrés, car ils montrent les formes de leurs corps ; alors que ces jeunes oublient leur propre personne.

En effet, ils sont tombés dans ce qu’ils désapprouvent.

Il n’y a pas de différence entre la femme qui porte des vêtements serrés qui montrent les formes de son corps et l’homme qui porte le "pantalon" qui montre aussi la forme de son derrière.

Le derrière de l’homme et de la femme, du point de vue de leur caractère de ’awrah, sont dans le même cas.

Les jeunes doivent donc faire attention à ce fléau qui les a tous touchés, exceptés ceux d’entre eux qu’Allah a voulu [préserver].

Et combien peu ils sont ! [2]

[1] Fath’ ul-Bârî (1/476)
[2] D’après des enregistrements de lui où ils répondaient aux questions de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, l’égyptien (Avertissements des savants contre les égarements de Aboû Ish’âq al-H’uwaynî, voir : Ici - Ici et Ici).
Cela a été enregistré en Jordanie, au mois de Muh’arram de l’an 1407H. (...)
Cette faute, qu’on a mentionnée, est commune aux hommes et aux femmes, mais elle est, à notre époque, plus apparente chez les hommes.
En effet, la plupart des musulmans, de nos jours, ne prient que dans des pantalons, et pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de pantalons serrés.
je ne savais pas que Diesel fabriqué déjà des jeans slim fit et taille basse à l'époque...
 
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