Un message privé publié par inadvertance amuse la presse de Belgique...
Oui, Twitter est un réseau social. Non, ce n'est pas un site de rencontres, s'amusent les médias belges. Leur Premier ministre Yves Leterme a dû s'expliquer sur un de ses tweets, en marge de sa participation aux cérémonies du cinquantenaire de l'indépendance de la République démocratique du Congo. Sourire en coin, la presse belge de ce jeudi 1er juillet raconte, l'histoire. Mercredi, sur son compte Twitter, Leterme a laissé s'échapper le message suivant: "Not at all. Want to learn to know you. You too?" ("Pas du tout. Envie d'apprendre à vous connaître. Vous aussi ?").
La missive a été rapidement effacée, suivie d'un nouveau texte expliquant qu'il s'agissait d'un "malentendu". Le message s'adresserait à un "correspondant" croisé lors d'une réception. Et Yves Leterme de conclure sur Twitter: "Ce doit être la chaleur. "
Interrogé à Kinshasa par des journalistes belges sur l'affaire, Leterme a tenu à préciser jeudi que "ce message ne s'adressait pas à une femme mais à un homme", selon le site internet du quotidien Le Soir.
Oui, Twitter est un réseau social. Non, ce n'est pas un site de rencontres, s'amusent les médias belges. Leur Premier ministre Yves Leterme a dû s'expliquer sur un de ses tweets, en marge de sa participation aux cérémonies du cinquantenaire de l'indépendance de la République démocratique du Congo. Sourire en coin, la presse belge de ce jeudi 1er juillet raconte, l'histoire. Mercredi, sur son compte Twitter, Leterme a laissé s'échapper le message suivant: "Not at all. Want to learn to know you. You too?" ("Pas du tout. Envie d'apprendre à vous connaître. Vous aussi ?").
La missive a été rapidement effacée, suivie d'un nouveau texte expliquant qu'il s'agissait d'un "malentendu". Le message s'adresserait à un "correspondant" croisé lors d'une réception. Et Yves Leterme de conclure sur Twitter: "Ce doit être la chaleur. "
Interrogé à Kinshasa par des journalistes belges sur l'affaire, Leterme a tenu à préciser jeudi que "ce message ne s'adressait pas à une femme mais à un homme", selon le site internet du quotidien Le Soir.