par Caitlin Johnstone
Les États-Unis ont lancé 65 frappes aériennes en 24 heures sur le Yémen, puis Tulsi Gabbard, chef du renseignement de Trump, a tweeté :
«Le président Trump EST le président de la paix. Il met fin aux bains de sang dans le monde, et instaurera une paix durable au Moyen-Orient».
Ces tarés sont hors sol.

J’ai vu l’autre jour une vidéo d’un père berçant la tête décapitée de son fils lors d’une frappe aérienne à Gaza, et on me dit que je soutiens les terroristes si je critique ceux qui l’ont décapité.
Vous voulez bombarder des gens ? Qualifiez-les de terroristes.
Vous voulez faire taire les manifestants et les dissidents ? Dites qu’ils soutiennent des terroristes.
Vous rêvez de pouvoirs de surveillance généralisés ? Dites que c’est pour lutter contre le terrorisme.
Les républicains ont passé des années entières à se plaindre que le gouvernement américain est trop puissant, que la liberté d’expression se meurt et que plus personne n’a de force morale, pour ensuite applaudir le gouvernement lorsqu’il réprime la liberté d’expression afin de protéger leurs petites oreilles sensibles des critiques envers Israël.
La presse occidentale n’est autorisée à rendre compte des crimes israéliens que lorsque les Israéliens les admettent eux-mêmes.
La moitié des preuves des atrocités israéliennes à Gaza proviennent de Palestiniens filmant leur propre génocide. L’autre moitié provient d’Israéliens qui racontent à la presse ce qu’ils ont fait.
Les démocrates ont commis un génocide. Maintenant, ce sont les républicains qui s’y mettent. On peut donc en conclure qu’aucun des deux partis n’est tolérable. Affaire classée. Fin du débat.
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lesmoutonsrebelles.com
Les États-Unis ont lancé 65 frappes aériennes en 24 heures sur le Yémen, puis Tulsi Gabbard, chef du renseignement de Trump, a tweeté :
«Le président Trump EST le président de la paix. Il met fin aux bains de sang dans le monde, et instaurera une paix durable au Moyen-Orient».
Ces tarés sont hors sol.

J’ai vu l’autre jour une vidéo d’un père berçant la tête décapitée de son fils lors d’une frappe aérienne à Gaza, et on me dit que je soutiens les terroristes si je critique ceux qui l’ont décapité.
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Le mot «terroriste» est un outil vide de sens utilisé par l’impérialisme pour contrôler le récit.Vous voulez bombarder des gens ? Qualifiez-les de terroristes.
Vous voulez faire taire les manifestants et les dissidents ? Dites qu’ils soutiennent des terroristes.
Vous rêvez de pouvoirs de surveillance généralisés ? Dites que c’est pour lutter contre le terrorisme.
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La liste de ceux que l’administration Trump s’efforce d’expulser pour avoir critiqué Israël s’allonge de plus en plus, et comprend un étudiant en doctorat dont le seul crime a été d’écrire un article d’opinion critiquant l’holocauste de Gaza.Les républicains ont passé des années entières à se plaindre que le gouvernement américain est trop puissant, que la liberté d’expression se meurt et que plus personne n’a de force morale, pour ensuite applaudir le gouvernement lorsqu’il réprime la liberté d’expression afin de protéger leurs petites oreilles sensibles des critiques envers Israël.
La presse occidentale n’est autorisée à rendre compte des crimes israéliens que lorsque les Israéliens les admettent eux-mêmes.
La moitié des preuves des atrocités israéliennes à Gaza proviennent de Palestiniens filmant leur propre génocide. L’autre moitié provient d’Israéliens qui racontent à la presse ce qu’ils ont fait.
Les démocrates ont commis un génocide. Maintenant, ce sont les républicains qui s’y mettent. On peut donc en conclure qu’aucun des deux partis n’est tolérable. Affaire classée. Fin du débat.
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Le “président de la paix” vient de bombarder le Yémen 65 fois en 24 heures
Les États-Unis ont lancé 65 frappes aériennes en 24 heures sur le Yémen, puis Tulsi Gabbard, chef du renseignement de Trump, a tweeté :
