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Le « Printemps érable » des étudiants québécois
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[QUOTE="Drianke, post: 10323366, member: 174325"] Grèves, manifestations : depuis février, les jeunes sont en colère contre le gouvernement, qui veut leur imposer une augmentation des droits de scolarité. Le conflit s'enlise et se transforme. Montréal. De notre correspondante Tout a démarré en 2011. Le gouvernement libéral de la province de Québec augmente les droits de scolarité dans les universités. Argument du Premier ministre Jean Charest : il s'agit de donner « un financement qui permette aux universités de dispenser un enseignement de la meilleure qualité qui soit ». Il faut donc investir massivement. Et les étudiants doivent faire « leur juste part ». Après discussions, fin avril, il propose une hausse de 82 % sur sept ans, pour arriver à près de 4 000 dollars canadiens par an (3 090 ). « Une dimension politique » Mais les étudiants ne sont pas d'accord. Ils estiment que des coupes peuvent être faites dans le budget de fonctionnement des universités. Quelques petites grèves éclatent. Mi-février, le mouvement s'étend. Plus de la moitié des universités de la province, ainsi qu'une trentaine de lycées sont concernés. Le 22 mars, près de 300 000 personnes déferlent dans les rues de Montréal. Depuis, plus de 250 manifestations ont eu lieu, rien qu'à Montréal. Depuis bientôt un mois, elles se succèdent la nuit et dérapent. Avec des scènes de violence. La police a arrêté plus de 300 personnes dans la nuit de dimanche à lundi. Le 5 mai, le gouvernement et les associations étudiantes ont trouvé un accord. Les étudiants l'ont aussitôt rejeté. La ministre de l'Éducation a démissionné mais la tension n'a pas baissé. Le Premier ministre, qui considère qu'« il est temps que le calme revienne », dépose une loi spéciale destinée à restreindre le droit de manifester et à faire reprendre les cours. La loi a été adoptée vendredi. Parmi ses dispositions : la session d'hiver dans les lycées et universités en grève est suspendue ; de très lourdes amendes sont prévues pour les organisateurs de piquets de grève ; pour toute manifestation de 50 personnes et plus, il faut donner l'itinéraire, la durée et l'horaire à la police, huit heures à l'avance. ................................ [url]http://www.ouest-france.fr/actu/international_detail_-Le-Printemps-erable-des-etudiants-quebecois-_3637-2079289_actu.Htm[/url] [/QUOTE]
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