Salam Prophéte (sas) aimait plaisenter mais en disant tout le temps la vérité il (sas) ne menter jamais dans ses plaisenteries .
Aicha (qu’Allah soit satisfait d’elle) rapporte : « Je n’ai jamais vu le Messager de Dieu plonger dans le rire au point de faire voir sa luette. Il ne faisait que sourire. »(Hadith unanimement reconnu authentique)
A travers ce hadith, nous apprenons un des comportement du prophète Mohammed , ce qui est véritablement une règle de bienséance : il s’agit en fait d’avoir une attitude digne et posée.
Ce récit nous indique ainsi qu’il ne riait jamais à gorge déployée,
ce qui ne doit pas nous faire croire qu’il était un homme terne et sans humour, loin de là ! Il manifestait beaucoup d’humour avec ses compagnons et jamais l’obsénité ou les mensonges ne se sont trouvés mêlés à son humour, ni à son discours. Deux hadiths nous démontrent ainsi sa bonne humeur :
Selon Ibn Mas’ùd (qu’Allah soit satisfait de lui), le Messager de Dieu a dit :
« Je sais certainement quel est le dernier des gens de l’Enfer qui en sortira (ou le dernier des gens destinés au Paradis à entrer au Paradis) : c’est un homme qui sortira du Feu en traînant à quatre pattes. Dieu Glorifié et Honoré lui dit : « Va et entre au Paradis ! ».
Il va jusqu’au Paradis mais se l’imagine déjà plein. Il revient alors sur ses pas et dit : « Seigneur ! Je l’ai déjà trouvé plein. »
Dieu Glorifié et Honoré lui dit : « Va et entre au Paradis ! Tu y as pour toi un domaine égal à tout le bas-monde et dix fois plus encore. »
Il dit : « Te moques-Tu de moi alors que Tu es Le Roi ? » »
Le narrateur dit : « J’ai vu à ce moment le Messager de Dieu rire jusqu’à découvrir ses molaires et il disait : « II s’agissait là de l’habitant du Paradis qui en occupera la plus basse place. »
(Hadith unanimement reconnu authentique)
’Ali Ibn Rabi’a a dit : « J’ai vu ’Ali Ibn Abi Taleb (qu’Allah soit satisfait de lui), alors qu’on lui présentait sa monture et au moment de mettre le pied dans l’étrier, dire : « Au nom de Dieu ». Quand il s’installa sur son dos, il dit : « La louange est à Dieu qui a mis ceci à notre service et nous n’étions pas capable de l’y soumettre. Nous devons certainement retourner à notre Seigneur. » Puis il disait trois fois de suite :
« Alhamdoulillah » (la louange est à Dieu). Puis trois fois de suite : « Allâhou akbar » (Dieu est plus grand). Puis : « Gloire et pureté à Toi ! J’ai été injuste avec moi-même, absous-moi ! Nul autre que Toi n’absout les péchés. »
Puis il rit. Nous lui dîmes : « Ô Prince des Croyants ! Qu’est-ce qui te fait rire ? » Il dit : « J’ai vu le Prophète faire ce que j’ai fait, puis, rire. Je lui demandai : « Ô Messager de Dieu ! Qu’est-ce qui te fait rire ? » Il dit : « Ton Seigneur, Gloire et Pureté à Lui, est satisfait de Son esclave quand il Lui dit : « Absous-moi de mes péchés », sachant bien que nul autre que Moi n’absout les péchés. » » »(Rapporté par Abou Dawoud et Attirmidhi)
Voici un autre récit, parmi d’autres, démontrant qu’il avait le sens de la plaisanterie, tout en ne disant que la vérité :
Pendant une tournée, une femme, un peu épaisse, est venue vers le Prophète et lui dit :
« Ô Envoyé de Dieu, fais-moi monter sur un chameau. » Le prophète lui répondit :
« Mais nous allons te faire monter sur le fils du chameau. »
Et la dame lui répondit :
« Je ne peux pas monter sur le fils d’un chameau, il ne pourra pas supporter mon poids ! »
Le prophète lui répondit alors :
« Tout chameau est le fils d’un chameau. »
Le Prophète ne plaisantait pas seulement avec les compagnons ; on retrouve également cette plaisanterie, cet humour et cette gentillesse dans sa vie intime.
Aicha (qu’Allah soit satisfait d’elle) rapporte : « Une fois, je partis en voyage avec le Prophète . A cette époque, j’étais encore très jeune et très fine. Le Prophète demanda aux gens d’aller devant (et de nous laisser seuls).
Les gens s’éloignèrent donc. Ensuite, il me dit : « Viens, allons faire une course. » Nous fîmes donc la course et je la remportai. Il laissa l’affaire jusqu’à ce que je prenne du poids et que j’oubliai l’incident de la course. Il m’emmena en voyage une autre fois et me fit la même proposition de la course.
Nous fîmes donc la course et c’est lui qui la remporta. Il commença à rire et (pour me taquiner) me dit : « Celle-ci est pour l’autre. » (C’est-à-dire que cette course est la revanche pour la première course). »(Cité dans le Mousnad de Ahmad)
Ces plaisanteries restent toujours dans un cadre agréable, sans débordement ni excès.
« En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment. »
Sourate 33, Al-’Ahzâb (Les coalisés), verset 21__________________
Aicha (qu’Allah soit satisfait d’elle) rapporte : « Je n’ai jamais vu le Messager de Dieu plonger dans le rire au point de faire voir sa luette. Il ne faisait que sourire. »(Hadith unanimement reconnu authentique)
A travers ce hadith, nous apprenons un des comportement du prophète Mohammed , ce qui est véritablement une règle de bienséance : il s’agit en fait d’avoir une attitude digne et posée.
Ce récit nous indique ainsi qu’il ne riait jamais à gorge déployée,
ce qui ne doit pas nous faire croire qu’il était un homme terne et sans humour, loin de là ! Il manifestait beaucoup d’humour avec ses compagnons et jamais l’obsénité ou les mensonges ne se sont trouvés mêlés à son humour, ni à son discours. Deux hadiths nous démontrent ainsi sa bonne humeur :
Selon Ibn Mas’ùd (qu’Allah soit satisfait de lui), le Messager de Dieu a dit :
« Je sais certainement quel est le dernier des gens de l’Enfer qui en sortira (ou le dernier des gens destinés au Paradis à entrer au Paradis) : c’est un homme qui sortira du Feu en traînant à quatre pattes. Dieu Glorifié et Honoré lui dit : « Va et entre au Paradis ! ».
Il va jusqu’au Paradis mais se l’imagine déjà plein. Il revient alors sur ses pas et dit : « Seigneur ! Je l’ai déjà trouvé plein. »
Dieu Glorifié et Honoré lui dit : « Va et entre au Paradis ! Tu y as pour toi un domaine égal à tout le bas-monde et dix fois plus encore. »
Il dit : « Te moques-Tu de moi alors que Tu es Le Roi ? » »
Le narrateur dit : « J’ai vu à ce moment le Messager de Dieu rire jusqu’à découvrir ses molaires et il disait : « II s’agissait là de l’habitant du Paradis qui en occupera la plus basse place. »
(Hadith unanimement reconnu authentique)
’Ali Ibn Rabi’a a dit : « J’ai vu ’Ali Ibn Abi Taleb (qu’Allah soit satisfait de lui), alors qu’on lui présentait sa monture et au moment de mettre le pied dans l’étrier, dire : « Au nom de Dieu ». Quand il s’installa sur son dos, il dit : « La louange est à Dieu qui a mis ceci à notre service et nous n’étions pas capable de l’y soumettre. Nous devons certainement retourner à notre Seigneur. » Puis il disait trois fois de suite :
« Alhamdoulillah » (la louange est à Dieu). Puis trois fois de suite : « Allâhou akbar » (Dieu est plus grand). Puis : « Gloire et pureté à Toi ! J’ai été injuste avec moi-même, absous-moi ! Nul autre que Toi n’absout les péchés. »
Puis il rit. Nous lui dîmes : « Ô Prince des Croyants ! Qu’est-ce qui te fait rire ? » Il dit : « J’ai vu le Prophète faire ce que j’ai fait, puis, rire. Je lui demandai : « Ô Messager de Dieu ! Qu’est-ce qui te fait rire ? » Il dit : « Ton Seigneur, Gloire et Pureté à Lui, est satisfait de Son esclave quand il Lui dit : « Absous-moi de mes péchés », sachant bien que nul autre que Moi n’absout les péchés. » » »(Rapporté par Abou Dawoud et Attirmidhi)
Voici un autre récit, parmi d’autres, démontrant qu’il avait le sens de la plaisanterie, tout en ne disant que la vérité :
Pendant une tournée, une femme, un peu épaisse, est venue vers le Prophète et lui dit :
« Ô Envoyé de Dieu, fais-moi monter sur un chameau. » Le prophète lui répondit :
« Mais nous allons te faire monter sur le fils du chameau. »
Et la dame lui répondit :
« Je ne peux pas monter sur le fils d’un chameau, il ne pourra pas supporter mon poids ! »
Le prophète lui répondit alors :
« Tout chameau est le fils d’un chameau. »
Le Prophète ne plaisantait pas seulement avec les compagnons ; on retrouve également cette plaisanterie, cet humour et cette gentillesse dans sa vie intime.
Aicha (qu’Allah soit satisfait d’elle) rapporte : « Une fois, je partis en voyage avec le Prophète . A cette époque, j’étais encore très jeune et très fine. Le Prophète demanda aux gens d’aller devant (et de nous laisser seuls).
Les gens s’éloignèrent donc. Ensuite, il me dit : « Viens, allons faire une course. » Nous fîmes donc la course et je la remportai. Il laissa l’affaire jusqu’à ce que je prenne du poids et que j’oubliai l’incident de la course. Il m’emmena en voyage une autre fois et me fit la même proposition de la course.
Nous fîmes donc la course et c’est lui qui la remporta. Il commença à rire et (pour me taquiner) me dit : « Celle-ci est pour l’autre. » (C’est-à-dire que cette course est la revanche pour la première course). »(Cité dans le Mousnad de Ahmad)
Ces plaisanteries restent toujours dans un cadre agréable, sans débordement ni excès.
« En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment. »
Sourate 33, Al-’Ahzâb (Les coalisés), verset 21__________________