Le p'tit clin d'œil d'Olaf

David39

La réponse D
VIB
Y'a pas, ils ont de l'humour :ange:


Donc après nous avoir fait miroiter une amitié franco-allemande qui n'a jamais existé on prépare un 4e round? Petit coquin va :sournois:

Faut dire que la France c'est devenu "Y'a-t-il un pilote dans l'avion?" Mais Arnault il sait faire plaisir, hey, faut pas l'oublier!

Sinon tu sais ça allait à pas mal de monde de rivaliser sur le Nurb Mégane vs Civic etc. Il y a eu du progrès, pourquoi tout tombe subitement à l'eau depuis 5/10 ans?

Après c'est vous qui décidez 🤷‍♂️

A prendre au 10e degré bien sur :p
 
Toujours dans le même genre d'humour,
Le ministre des affaires étranges ukrainien, Dmytro Ivanovytch Kouleba, à invité la Secrétaire d’État des États-Unis, Antony Blinken, chez le Maxim’s de Kiev !
Non, je plaisante ! Il a été invité chez MacDonald’s🤢.
MacDonald’s, c’est une insulte à la gastronomie !


 

David39

La réponse D
VIB
Toujours dans le même genre d'humour,
Le ministre des affaires étranges ukrainien, Dmytro Ivanovytch Kouleba, à invité la Secrétaire d’État des États-Unis, Antony Blinken, chez le Maxim’s de Kiev !
Non, je plaisante ! Il a été invité chez MacDonald’s🤢.
MacDonald’s, c’est une insulte à la gastronomie !



Ça, ça presse.

Chacun ces priorités 🤷‍♂️
 

David39

La réponse D
VIB

Armement : L'Allemagne choisit de nouveaux partenaires pour le successeur au char Leopard 2, le projet avec la France menacé​


Le projet de char prévu avec la France semble avoir été écarté.

L'Allemagne a signé des accords avec l'Italie, l'Espagne et la Suède pour développer un successeur au char Leopard 2, rapporte mercredi le Handelsblatt. Le projet sera supervisé par les fabricants d'armes allemands Krauss-Maffei Wegmann (KMW) et Rheinmetall, qui produisent le Leopard 2, indique le Handelsblatt en citant des sources industrielles et politiques.

Plusieurs pays européens ont livré des chars Leopard 2 à l'Ukraine pour combattre la Russie.

Les partenaires de cette initiative comptent faire une demande auprès du Fonds européen de la Défense pour trouver des financements de l'ordre de plusieurs centaines de millions d'euros, écrit le Handelsblatt, ajoutant que le projet devrait aussi impliquer le suédois Saab et l'italien Leonardo. Le partenaire espagnol n'a pas été identifié. Un porte-parole de Rheinmetall n'a pas donné suite à une demande de commentaire. KMW n'a pu être joint dans l'immédiat.

Quid du "char du futur" avec la France ?​

Si elle se confirme, cette initiative pourrait provoquer la colère de la France, qui a lancé il y a six ans avec Berlin le projet de "char du futur" (MGCS, Main Ground Combat System), qui vise à remplacer le Leopard 2 et le char français Leclerc à l'horizon 2040, un projet freiné depuis des mois par des désaccords entre Paris et Berlin. Le projet MGCS a toutefois été relancé à plusieurs reprises, notamment en juillet dernier lorsque les ministres français des Armées et allemand de la Défense ont chargé leurs chefs d'état-major des armées de préparer d'ici la fin de l'année un document préparatoire sur les capacités du futur char.

Selon le Handelsblatt cependant, Paris et Berlin n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur les caractéristiques du char, la France préconisant la construction d'un véhicule plutôt léger alors que l'Allemagne souhaiterait opter pour un blindé plus lourd. Ni l'Elysée ni le ministère des Armées n'ont répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire. Le ministère allemand de la Défense n'a pas non plus répondu à une demande de commentaires.

 

David39

La réponse D
VIB
Et bien c'est réjouissant tout cela. Alors comme à l'accoutumé l'Allemagne nous baise la gueule dès que possible.

Déjà qu'avec le SCAF du côté Allemand on a jamais supporté que les Français soit prépondérant sur le projet, ce qui était plutôt une évidence au vu des compétences techniques qu'elles a pu développer et étant un des rares pays à produire des avions de combat de pointe elle même et là les allemands font encore la gueule préférant s'allier avec l'Italie l'Espagne et la Suède.

Une alliance qui nous rappelle sans nulle doute les heures les plus sombres de notre histoire. Vous me direz avec une Italie avec à la tête les héritiers du facisme de Mussolini et une Espagne où les franquistes reprennent du poil de la bête à vitesse grand V quoi de plus naturel?

Alors on peut comprendre que l'on soit détester partout dans le monde quand on fait le bilan de la gouvernance française tant sur le plan interne qu'à l'international ces 15 dernières années.

La France qui se fait tej de partout 😂 Bon ça va on est habitué. A regarder de plus près chacun est fidèle à son rôle après tout 😂

Néanmoins cette fois on a beau dire mais pour la guerre en Ukraine la France n'a quasiment rien envoyé: une poignée de canon et quelques véhicules en état discutable et c'est tant mieux.

Pendant ce temps là au sein du territoire c'est le grand défilé de pintade alors que a drogue prolifère comme on ne l'a jamais vu, tout comme la criminalité, les incivilités et la précarité de la majeur partie de la population.

Y a-t-il quelqu'un pour redresser la barre de l'arche? Rien n'est moins sûr, le capitaine a plutôt vraisemblablement saboter les commandes et nous sommes en roue libre :sournois:

Vive la république, vive la France 🇨🇵

Cocorico 😂
 

David39

La réponse D
VIB
Déjà qu'on a du acheter leurs hk416 un peu daubé au même prix que les fabricants français pouvait les sortir, personne n'a compris.

Et on va surement pas parler du nucléaire et de leurs centrales à charbons qui tournent plein pot. Je ne vais pas m'amuser à dresser la liste des entourloupes.
 

David39

La réponse D
VIB
Ceci dit:

L’Allemagne, de “locomotive économique” à “lanterne rouge” de l’Europe​

Le temps du miracle économique allemand est bel et bien révolu, déplore “Der Spiegel”. Pour rester compétitive, la première économie du Vieux Continent va devoir se remettre en question et entreprendre d’importantes réformes.

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“Nous, les perdants.” Ces dernières semaines, la peur d’un déclassement économique de l’Allemagne obsède la presse d’outre-Rhin. “Alors qu’hier encore l’Allemagne faisait figure de locomotive économique, elle est aujourd’hui la lanterne rouge des pays industrialisés, se désole Der Spiegel dans un long dossier sur le sujet. Notre prospérité est menacée et le gouvernement semble désemparé.”

L’hebdomadaire de gauche affiche sur sa une de rentrée un graphique emblématique de l’inquiétude qui s’est emparée de la première économie européenne. On y voit les prévisions de croissance positive de plusieurs pays du Nord, comme l’Espagne, les États-Unis ou même la France.

À l’inverse, le PIB de l’Allemagne, représenté par une flèche rouge descendante, pourrait tomber à – 0,3 % en 2023. “Tous parviennent à faire croître leur économie, commente le journal de Hambourg. Sauf nous.”

Réformes structurelles​


Face à ce phénomène, le Spiegel se propose d’étudier “pourquoi l’économie allemande dérape”. Les difficultés de son industrie, affaiblie par l’augmentation des coûts de l’énergie, sont pointées du doigt. Tout comme la dépendance de l’économie allemande aux exportations, le manque de main-d’œuvre qualifiée et les retards dans le domaine du numérique.

Le journal estime que des réformes structurelles sont nécessaires, pour réduire le poids de la bureaucratie, attirer les talents et réussir la transition énergétique. Car la situation est grave : elle serait même “comparable à celle de l’Italie, de l’Espagne ou de la Grèce il y a quinze ans”, selon l’ancien directeur l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale Gabriel Felbermayr.

Mais la coalition d’Olaf Scholz – qui réunit les sociaux-démocrates, les Verts et les libéraux – semble peu décidée à révolutionner le modèle économique actuel. Au début des années 2000, les réformes du marché du travail avaient coûté au chancelier de l’époque, le social-démocrate Gerhard Schröder, sa réélection.

Le gouvernement actuel devrait pourtant passer outre à ce “traumatisme de la réforme, estime l’hebdomadaire : Il est nécessaire de réformer à nouveau pour créer plus d’emplois et inciter les entreprises à réinvestir en Allemagne.”






Allé j'avoue que c'est mignon comme tentative d'attendrissement. Flatterie habituelle de façade qui ne saurait cacher l'envers du décor qui tient plus du fond vert pas cher d'un streamer en train de flancher.
 

David39

La réponse D
VIB
Je l'aime bien ce fil...



Tiens, poursuivons sur un peu de propagande, en effet déjà à l'époque ils savaient faire chez les national-socialistes, démonstration:


BANDEROLE ALLEMANDE SUR ÉTOFFE APPELANT À LA DÉSERTION​


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CONTEXTE HISTORIQUE​

Les musulmans dans la guerre​

Les militaires allemands qui ont déployé cette banderole devant leur tranchée ont imité un modèle sans doute élaboré à l’État-major : ce type d’adresse rédigé en français a connu plusieurs variantes, dont seules quelques traces sont restées grâce aux preuves collectées sur le terrain.
Alors que la guerre s’installe dans la durée et que l’Entente cherche à établir un nouveau front dans les Dardanelles, certains propagandistes ont l’idée d’exploiter une faiblesse de l’adversaire : la présence de milliers de musulmans d’Afrique du Nord (France) et des Indes (Grande-Bretagne), amenés à combattre rien moins que l’Empire ottoman, protecteur de la plupart des lieux saints de l’islam. Des publications en arabe sont diffusées par tous les moyens ; on place à part les prisonniers de cette confession dans des camps plus confortables ; on cherche (sans succès) à créer des légions musulmanes en dessinant l’horizon d’une décolonisation possible.

ANALYSE DES IMAGES​

Le début de la guerre psychologique​

La banderole conservée au musée de l’Armée aurait été découverte au printemps 1915 par des soldats français. Avec d’autres artefacts dus à l’inventivité ennemie, elle a fait l’objet d’un grand reportage illustré dans Le Miroir du 25 avril 1915.
Il s’agit d’un simple tissu blanc, troué aux quatre coins pour être cloué, sur lequel a été inscrit un message de six lignes en français.
Plusieurs détails trahissent son origine : la typographie qui ne parvient pas à dissimuler l’habitude de la calligraphie gothique, trois germanismes (usage inapproprié des virgules ; emploi de « religieux » au lieu de « croyant » ou de « fidèle » ; « Mohamédanisme » au lieu de « mahométanisme ») et une erreur de traduction (« camerades » au lieu de « camarades »). Ces fautes auraient pu être commises volontairement par des propagandistes français cherchant à incriminer leurs homologues allemands, mais il faut accorder à ce document le bénéfice du doute.

INTERPRÉTATION​

Soudés contre l’ennemi​

Pour les soldats qui en avaient assez d’une guerre qui semblait de moins en moins « juste », « déserter vers l’avant », c’est-à-dire se rendre, pouvait paraître un moindre mal. Cependant, en dépit des efforts répétés de la part des bureaux militaires de propagande, rares ont été ceux qui ont rompu aussi ouvertement leurs attaches avec leur patrie, au risque de nuire à leurs familles. Les Slaves de l’empire des Habsbourg avaient beau être mieux traités que les Hongrois dans les camps russes, ils avaient beau haïr leurs officiers, ils n’ont pas déserté en masse.

La propagande germano-turque en direction des soldats du Maghreb colonisé par la France – prenant ici l’exemple d’un Tunisien – n’a guère eu d’écho dans la troupe, pour qui la « guerre sainte » était de l’ordre de la légende. Elle a peut-être encouragé certains vétérans dans la voie de l’indépendantisme après-guerre. Elle a surtout imposé aux autorités françaises des concessions aux musulmans. L’État-major a fait la publicité de l’envoi de quelques privilégiés en pèlerinage à La Mecque, et a insisté pour que les soldats se voient offrir des rites funéraires conformes à l’islam.



Aujourd'hui encore, on peut trouver les mêmes ********, ils se reconnaîtront...
 
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