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Le réchauffement climatique existe t-il vraiment ? Réponse aux septiques, ici.
Un reportage de 1 h 30, mais seulement la première heure est nécessaire dans ce contexte, la dernière demie-heure parlant d’un autre sujet environnemental.
Schéma du reportage, par ordre chronologique :
Confrontation de quelques arguments pros & **** sur la question du réchauffement. Cinq personnes donnent leurs avis : deux pros & trois **** (non, pas le méchant adjectif).
Rappel des évolutions du climat dans le passé.
Résumé de quelques causes possibles, naturelles et artificielles, pouvant provoquer un réchauffement du climat.
Étude du fonctionnement et du financement des mouvements **** (les sceptiques du réchauffement).
Rapide résumé pour les gens qui n’auraient « pas le temps » de le voir ou pour donner envie de le voir à ceux qui doutent de l’utilité d’en prendre le temps :
Sur les milliers de scientifiques étudiant la question du réchauffement, seuls environ quatre ou cinq sont sceptiques ; les autres sont en situation de consensus.
Sur ces quelques septiques, l’un principalement, brillant physicien (ça aide pour donner du crédit), n’est pas inconnu des associations de protection de l’environnement, puisqu’elles retrouvent ce même individu sur tous les fronts quand il s’agit de nier les problèmes environnementaux. Les associations ont eu affaire à lui quand il a nié le problème de la couche d’ozone, le problème des pesticides dans l’agriculture et maintenant le réchauffement (parmi d’autres de ses campagnes).
Concernant le manque de crédibilité du GIEC, les sceptiques n’ont pu trouver que quatre conclusions erronées sur au moins plus d’une centaine et un rapport de plus d’un millier de page. Le taux d’erreur est faible est bien dans les normes. Le GIEC s’est d’ailleurs excusé pour ces quatre fautes.
L’affaire des mails ne tiens pas, car sur plusieurs milliers de mails qu’ils ont volé, ils n’ont pu trouver que quelque phrase auxquelles ils ont donné des interprétations sans qu’un contexte valable ne viennent soutenir leurs interprétations. Trois enquêtes ont été menées et aucune ne leur a donné raison.
Les traces du vol des mails ont été soigneusement maquillées et personne na pu remonter jusquà lauteur du vol (suspect à mon avis).
Les associations militants pour le scepticisme du réchauffement, sont financées par des industries, dont des industries pétrolières. Lun des principaux responsables lavoue lui-même devant caméra. Les sommes perçues par ces associations battent des records, comparé à ce que reçoivent typiquement des associations.
Il y a suspicion que plusieurs scientifiques ont reçu des propositions de débauchage, pour quils parlent en faveur du scepticisme, avec promesse de bon chèque, pouvant aller jusquà plusieurs milliers d/jours. Lun deux témoigne.
Au moins deux cas de fraudes scientifique flagrantes évidentes mêmes pour les non-spécialistes ont été dénoncées par le journal Le Monde. Ces deux fraudes portaient sur des rapports en faveur du scepticisme du réchauffement climatique.
Première fraude : un « scientifique » (une honte de la profession), a fait passer pour des relevés couvrant lannée, des relevés allant de mars à septembre, pour démontrer que le climat du passé était déjà aussi chaud que celui daujourdhui.
Seconde fraude : Claude Allègre, cumule plusieurs centaines de fraudes dans un petit livre reniant le réchauffement climatique. Il cite par exemple un climatologue sceptique du réchauffement, mais ce climatologue est en fait... dermatologue. Il a truqué le graphique dun autre scientifique en rallongeant une courbe de sorte à faire croire à un refroidissement au lieu dun réchauffement. Le scientifique auteur du graphe dorigine sen est plain lui-même à un journal.
Note : ce résumé ne prétend pas être exhaustif, je le fais rapidement de mémoire.
Ce qui est dramatique, cest que la campagne de désinformation effectuée à grand coup de financement (largent achète tout, même la parole, dans notre monde capitaliste), on eut un effet sur au moins la moitié de la population occidentale (USA et Europe) qui doute maintenant de la réalité du réchauffement, malgré ce quelle a pourtant sous les yeux (la nature, tout le monde peut lobserver), et ont réussi à faire capoter une tentative daccords internationaux pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.