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Li 3ziz 3la mimtou
Le drame de Gaza sert de révélateur au malaise que vit la population algérienne. Et témoigne de la paralysie qui règne au sommet de lEtat.
Pour une fois, les services de sécurité algériens ont mal évalué la détermination dune population civile qui ne supporte plus dêtre réprimée lorsquelle essaye de sexprimer. Les horreurs qui se déroulent à Gaza et le devoir de solidarité envers les « frères » palestiniens a apparemment poussé les Algériens à envoyer un message bien senti à leur pouvoir politique destabilisé et qui tergiverse depuis le début de lattaque israélienne sur Gaza.
Interdite de manifester par les services dordre en dépit de trois tentatives avortées, la jeunesse algérienne, qui représente environ 70% des « révoltés », a fini, après la prière du vendredi 9 janvier, par faire face, à Alger, au millier dhommes du général Ali Tounsi, le directeur de la Sûreté nationale. Ces derniers ont été contraints de faire marche arrière, voire de fuir la marée humaine qui a fini par atteindre le million de manifestants, menaçant ainsi la stabilité de la capitale si les autorités étaient intervenues.
Suite et Source
Pour une fois, les services de sécurité algériens ont mal évalué la détermination dune population civile qui ne supporte plus dêtre réprimée lorsquelle essaye de sexprimer. Les horreurs qui se déroulent à Gaza et le devoir de solidarité envers les « frères » palestiniens a apparemment poussé les Algériens à envoyer un message bien senti à leur pouvoir politique destabilisé et qui tergiverse depuis le début de lattaque israélienne sur Gaza.
Interdite de manifester par les services dordre en dépit de trois tentatives avortées, la jeunesse algérienne, qui représente environ 70% des « révoltés », a fini, après la prière du vendredi 9 janvier, par faire face, à Alger, au millier dhommes du général Ali Tounsi, le directeur de la Sûreté nationale. Ces derniers ont été contraints de faire marche arrière, voire de fuir la marée humaine qui a fini par atteindre le million de manifestants, menaçant ainsi la stabilité de la capitale si les autorités étaient intervenues.
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