Le roi nomme omar azziman président du conseil supérieur de l'enseignement

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
SM le Roi Mohammed VI a reçu mardi au Palais Royal à Rabat, le Professeur Omar Azziman, et l’a nommé président délégué du Conseil supérieur de l'Enseignement, indique un communiqué du Cabinet Royal.



Cette nomination, précise le communiqué, intervient en concrétisation de la décision royale contenue dans le discours adressé par le Souverain à la Nation à l'occasion du 60ème anniversaire de la glorieuse Révolution du Roi et du Peuple et qui consiste à opérationnaliser le Conseil supérieur de l'Enseignement dans sa version actuelle, en attendant l'adoption des textes juridiques relatifs au Conseil supérieur de l'Education, de la Formation et de la Recherche scientifique et ce, en application des dispositions transitoires prévues dans la Constitution.

Lors de cette audience, SM le Roi, que Dieu Le préserve, a donné Ses Hautes orientations au professeur Azziman, l'appelant à se pencher sur le chantier déterminant du secteur de l'enseignement dans notre pays, en procédant notamment à l'évaluation de la décennie de la Charte nationale de l'Education et de la Formation et en formulant des avis au sujet des différentes questions relatives à ce domaine et ce, dans le cadre d'une large concertation avec les différents acteurs concernés.


http://www.lavieeco.com/news/actual...onseil-superieur-de-l-enseignement-26327.html
 
Azziman/Baraka: Deux grands commis de l’Etat, deux styles différents

Omar Azziman pour parachever l’oeuvre de Belfkih
Nizar Baraka sur les pas de Benmoussa

IL est temps de tirer des leçons pour envisager le nouveau temps du gouvernement Benkirane. «Le Maroc ne peut pas continuer avec un gouvernement tatillon, un gouvernement qui donne l’impression d’être incompétent», alertait déjà l’opposition. Une réalité ou une perception qui n’augure rien de rassurant, qui plus est, s’inscrit dans une conjoncture difficile. On a parlé d’absence de vision, de manque de courage et de problème de compétence. Car, en «annulant le programme d’urgence de rattrapage, en supprimant les classes d’excellence, en réduisant l’enseignement des langues… le gouvernement Benkirane est en train de détruire l’enseignement au Maroc» (voir l’Editorial de L’Economiste du 22 août 2013). Ça ne peut plus continuer. Et cela vaut pour tous les secteurs socio-économiques dont le gouvernement a en charge le pilotage. En tout cas, pour l’un d’entre eux, l’éducation et la formation, le Souverain a sifflé «la fin de la récréation», ce 20 août. Il faut «marquer une halte pour un examen de conscience objectif du secteur, permettant d’évaluer les réalisations et d’identifier les dysfonctionnements» (cf. L’Economiste du 22 août 2013). En cela, la nomination d’Omar Azziman, président délégué du Conseil supérieur de l’enseignement (CSE) tombe sous le sens. Elle concrétise la décision du Souverain de sortir cette institution de sa léthargie, depuis le décès d’Abdelaziz Meziane Belfkih en mai 2010. Il s’agit désormais de donner du contenu opérationnel sur le terrain du travail en profondeur réalisé par cette institution. Il s’agit désormais d’opérationnaliser le CSE dans sa version actuelle. Ce qui devrait être une formalité pour ce grand commis de l’Etat dont le sens du consensus masque la détermination d’un coureur de fond. Ses bons rapports de toujours avec tous les acteurs de la vie politique, mais surtout son éloignement de la vie politique publique n’ont en rien entamé ses convictions et aura. Son travail au sein de la Commission consultative de révision de la Constitution est marqué d’une pierre blanche. A l’entame déjà, il prédisait que «dans l’histoire moderne du Maroc, il y aura un avant et un après 2011». En effet, il fallait une grosse capacité de synthèse et un geste de neutralité pour aboutir à une solution équilibrée entre les partisans d’une révolution immédiate, massive (mouvement du 20 février né dans le sillage des Printemps arabes) et d’une évolution maîtrisée.

http://www.leconomiste.com/article/...rands-commis-de-l-etat-deux-styles-diff-rents
 
SM le Roi Mohammed VI a reçu mardi au Palais Royal à Rabat, le Professeur Omar Azziman, et l’a nommé président délégué du Conseil supérieur de l'Enseignement, indique un communiqué du Cabinet Royal.



Cette nomination, précise le communiqué, intervient en concrétisation de la décision royale contenue dans le discours adressé par le Souverain à la Nation à l'occasion du 60ème anniversaire de la glorieuse Révolution du Roi et du Peuple et qui consiste à opérationnaliser le Conseil supérieur de l'Enseignement dans sa version actuelle, en attendant l'adoption des textes juridiques relatifs au Conseil supérieur de l'Education, de la Formation et de la Recherche scientifique et ce, en application des dispositions transitoires prévues dans la Constitution.

Lors de cette audience, SM le Roi, que Dieu Le préserve, a donné Ses Hautes orientations au professeur Azziman, l'appelant à se pencher sur le chantier déterminant du secteur de l'enseignement dans notre pays, en procédant notamment à l'évaluation de la décennie de la Charte nationale de l'Education et de la Formation et en formulant des avis au sujet des différentes questions relatives à ce domaine et ce, dans le cadre d'une large concertation avec les différents acteurs concernés.


http://www.lavieeco.com/news/actual...onseil-superieur-de-l-enseignement-26327.html

Le roi n'a pas encore compris que c'est au gouvernement de décider des politiques publiques, et non pas à ses conseillers.

Là il nous a mis Omar Azziman, et lorsque l'enseignement va foirer encore plus, le roi va encore "mettre la responsabilité au gouvernement", ou bien il va encore nous sortir la cassette de "ma frassich"
 
Après tous les bâtons dans les roues mis par le roi et son entourage à ce gouvernement qui veut sauver le Maroc de la faillite après les politiques désastreuses menées par cette "monarchie exécutive", et après tous les mouvements du peuple, depuis le 20 février en passant par les dernières protestations contre la grâce du pédophile espagnol dont le roi et l'entourage semblent ne pas avoir compris la portée, il n'y a qu'une seule solution de rattrapage au Maroc pour éviter le pire:
- Une nouvelle constitution donnant tous les pouvoirs au parlement et au gouvernement pour permettre au peuple de les évaluer réellement, le roi doit conserver un rôle honorifique tout au plus car il n'est pas élu et souhaite conserver son "inviolabilité".
- Un nouveau découpage et un nouveau mode électoral permettant de sortir un gouvernement fort formé d'un seul parti ou deux partis tout au plus

Si cette monarchie autocratique continue, la prochaine boutade du roi sera la signature de l'arrêt de mort de ce régime corrompu
 
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