Pour Abdelali Hamieddine, membre du secrétariat général du PJD, « il existe au sein de l’institution royale des courants réactionnaires et conservateurs qui ne souhaitent pas l’instauration de la démocratie ». Cependant, ajoute-t-il, « en face de ces courants, d’autres fonctionnent dans une logique réformatrice et qui aspirent à un succès de la démocratie dans notre pays ».
Hamieddine, qui s’exprimait devant les jeunes de son parti, poursuit en expliquant que le Roi s’est à plusieurs reprises prononcé en faveur du second courant, le courant attaché à la démocratie au palais, mais qu’il y a, au sein des partis, des syndicats et de la classe d’affaires des personnes aussi réactionnaires et soucieuses de la défense de la préservation de leurs intérêts et autres privilèges.
Le dirigeant du PJD explique encore que le Maroc a su traverser la zone de turbulences avec maturité, convaincu par les fondamentaux que sont l’islam et la monarchie. Son parti, dit-il, est absolument convaincu du bien-fondé de la monarchie, en tant que fondement de la nation et, précise-t-il, la relation du PJD au palais est basée non pas sur le profit ou l’opportunisme, mais sur le conseil, et le conseil ne signifie pas à ses yeux la confrontation comme le pensent certaines personnes.
Hamieddine a attaqué encore une fois ceux qu’il qualifie de partisans de la stagnation, ces forces conservatrices contre qui il est nécessaire de lutter, celles-là mêmes qui, selon lui, font œuvre de violence et de brutalité contre les manifestants dans les rues.
Plus grave encore, Abdelali Hamieddine accuse certaines parties au sein de l’appareil d’Etat qui instrumentalisent des médias afin d’inciter le Roi à engager le fer contre le PJD, et que c’était là des mouvements d’échauffement avant de passer à l’étape suivante, qui est l’importation du modèle égyptien sous nos cieux. « Je suis surpris par ceux qui prétendent que la démocratie ne se réduit pas aux urnes… mais la démocratie, ce n’est pas non plus le putsch militaire ».
article d' al massae.version arabe.http://www.panoramaroc.ma/fr/le-roi...formateur-dans-le-palais-abdelali-hamieddine/
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Hamieddine, qui s’exprimait devant les jeunes de son parti, poursuit en expliquant que le Roi s’est à plusieurs reprises prononcé en faveur du second courant, le courant attaché à la démocratie au palais, mais qu’il y a, au sein des partis, des syndicats et de la classe d’affaires des personnes aussi réactionnaires et soucieuses de la défense de la préservation de leurs intérêts et autres privilèges.
Le dirigeant du PJD explique encore que le Maroc a su traverser la zone de turbulences avec maturité, convaincu par les fondamentaux que sont l’islam et la monarchie. Son parti, dit-il, est absolument convaincu du bien-fondé de la monarchie, en tant que fondement de la nation et, précise-t-il, la relation du PJD au palais est basée non pas sur le profit ou l’opportunisme, mais sur le conseil, et le conseil ne signifie pas à ses yeux la confrontation comme le pensent certaines personnes.
Hamieddine a attaqué encore une fois ceux qu’il qualifie de partisans de la stagnation, ces forces conservatrices contre qui il est nécessaire de lutter, celles-là mêmes qui, selon lui, font œuvre de violence et de brutalité contre les manifestants dans les rues.
Plus grave encore, Abdelali Hamieddine accuse certaines parties au sein de l’appareil d’Etat qui instrumentalisent des médias afin d’inciter le Roi à engager le fer contre le PJD, et que c’était là des mouvements d’échauffement avant de passer à l’étape suivante, qui est l’importation du modèle égyptien sous nos cieux. « Je suis surpris par ceux qui prétendent que la démocratie ne se réduit pas aux urnes… mais la démocratie, ce n’est pas non plus le putsch militaire ».
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