salam
C'est la journée mondiale de l'orgasme. Le sexe pour le plaisir n'étant pas le seul fait des humains, ce sont les pratiques animales parfois très surprenantes qu'on vous propose de découvrir.
Encore de nos jours, réside l’idée que seuls les humains et les dauphins pratiquent le sexe pour le plaisir. Pourtant, la reproduction chez les animaux n’est pas une nécessité pour atteindre le nirvana. Revue des pratiques sexuelles les plus folles à l'occasion de la journée mondiale de l'orgasme.
Les animaux, de grands frigides… ou pas
Ces erreurs de jugement s’expliquent car « il existe très peu de publications sur l’orgasme et le plaisir dans le monde animal », déclare Thierry Lodé, expert en sexualité animalière aux universités de Rennes et d’Angers. Selon l’éthologue, la reproduction se fait avec un consentement mutuel, établi par de nombreuses activités liées à la sexualité.
Les préliminaires ne sont d'ailleurs pas propres à l’homme et permettent aux deux êtres vivants de s’apprivoiser afin de se préparer au mieux à l’acte reproducteur. Si l’on s’en tient à l’héritage des pionniers de la sociologie, William Masters et Virginia E. Johnson, le plaisir sexuel s’associe à l’orgasme. Et des observations démontrent que l’orgasme est possible chez nos amis les singes, comme nous pouvons le voir sur le site NCBI (National Center Biotechnologic Information) : intenses contractions utérines et augmentation de la fréquence cardiaque.
De même, les nombreux cas d’homosexualité dans le règne animal attestent que les rapports sexuels n’y sont pas destinés uniquement à la reproduction. En effet, en 2005, on avait pu observer la formation de trois couples homosexuels parmi les manchots de Humboldt mâles du zoo de Bremerhaven en Allemagne. La bisexualité est également un fait courant chez les bonobos, qui considèrent le sexe comme un moyen d’apaisement dans des moments de tension. Une preuve que les raisons de copuler varie selon les espèces.
De la masturbation au suicide
• Le dauphin, ce grand fou : de nombreux exemples affluent sur l’audace de ces cétacés. Masturbation sur poisson mort, ou sur des bouées en isolement, harcèlement sexuel d'une plongeuse... Ils sont même de grands libertins, selon Caroline Lepage, auteur de L’amour bestial.
• Les chauves-souris, expertes en langue : les chauves-souris frugivore, et plus particulièrement les roussettes s’adonnent fréquemment à la *********, voire même au cunnilingus. Les éthologistes indiens de l’université de Madurai Kamarai, Jayabalan Maruthupandian et Ganathy Marimuthu ont observé une colonie de roussettes. La majorité des pénétrations commencent et se terminent par un cunnilingus. Suite à une étude produite par des chercheurs chinois et britanniques dans la province du Guanzhou sur des cynoptérus sphynx, on a constaté que 14 des 20 femelles prodiguaient une ********* à leur partenaire.
C'est la journée mondiale de l'orgasme. Le sexe pour le plaisir n'étant pas le seul fait des humains, ce sont les pratiques animales parfois très surprenantes qu'on vous propose de découvrir.
Encore de nos jours, réside l’idée que seuls les humains et les dauphins pratiquent le sexe pour le plaisir. Pourtant, la reproduction chez les animaux n’est pas une nécessité pour atteindre le nirvana. Revue des pratiques sexuelles les plus folles à l'occasion de la journée mondiale de l'orgasme.
Les animaux, de grands frigides… ou pas
Ces erreurs de jugement s’expliquent car « il existe très peu de publications sur l’orgasme et le plaisir dans le monde animal », déclare Thierry Lodé, expert en sexualité animalière aux universités de Rennes et d’Angers. Selon l’éthologue, la reproduction se fait avec un consentement mutuel, établi par de nombreuses activités liées à la sexualité.
Les préliminaires ne sont d'ailleurs pas propres à l’homme et permettent aux deux êtres vivants de s’apprivoiser afin de se préparer au mieux à l’acte reproducteur. Si l’on s’en tient à l’héritage des pionniers de la sociologie, William Masters et Virginia E. Johnson, le plaisir sexuel s’associe à l’orgasme. Et des observations démontrent que l’orgasme est possible chez nos amis les singes, comme nous pouvons le voir sur le site NCBI (National Center Biotechnologic Information) : intenses contractions utérines et augmentation de la fréquence cardiaque.
De même, les nombreux cas d’homosexualité dans le règne animal attestent que les rapports sexuels n’y sont pas destinés uniquement à la reproduction. En effet, en 2005, on avait pu observer la formation de trois couples homosexuels parmi les manchots de Humboldt mâles du zoo de Bremerhaven en Allemagne. La bisexualité est également un fait courant chez les bonobos, qui considèrent le sexe comme un moyen d’apaisement dans des moments de tension. Une preuve que les raisons de copuler varie selon les espèces.
De la masturbation au suicide
• Le dauphin, ce grand fou : de nombreux exemples affluent sur l’audace de ces cétacés. Masturbation sur poisson mort, ou sur des bouées en isolement, harcèlement sexuel d'une plongeuse... Ils sont même de grands libertins, selon Caroline Lepage, auteur de L’amour bestial.
• Les chauves-souris, expertes en langue : les chauves-souris frugivore, et plus particulièrement les roussettes s’adonnent fréquemment à la *********, voire même au cunnilingus. Les éthologistes indiens de l’université de Madurai Kamarai, Jayabalan Maruthupandian et Ganathy Marimuthu ont observé une colonie de roussettes. La majorité des pénétrations commencent et se terminent par un cunnilingus. Suite à une étude produite par des chercheurs chinois et britanniques dans la province du Guanzhou sur des cynoptérus sphynx, on a constaté que 14 des 20 femelles prodiguaient une ********* à leur partenaire.