Bonjour,
Merci la crise mondiale,
c'est la faillite totale de toutes les organisations terroristes qui financent Israel!!!!!
Affaire Madoff : la communauté juive américaine sattend à des effets catastrophiques
Le mot hébreu pour la charité est "tzedakah".
Mais il a signification de plus : faire ce qui est juste.
Haaretz - Associated Press
Madoff, lescroc du siècle ?...
Plusieurs des investisseurs escroqués par le gestionnaire financier de Wall Street Bernard Madoff sont, comme lui, juifs, et pour bon nombre dentre eux, la contribution aux causes juives est un élément cruciale de leur culture.
Leffet de leurs pertes sur le monde philanthropique juif est vu comme rien moins que catastrophique.
« Cest le plus grand scandale dans lhistoire philanthropique tel que nimporte qui peut se le rappeler, » a dit fort justement Gary Tobin, un des principaux experts en philanthropie juive. « Nous ne savons pas encore son ampleur.
Il y a des fondations qui ont perdu des capitaux importants, des donateurs qui ont perdu leur capacité de donner, et des organismes dont les investissements ont disparu. »
« Vous ajoutez à cela les retombées psychologiques, et elles sont simplement dévastatrices, » a déclaré Tobin, président de linstitut pour la recherche et la communauté juive [Institute for Jewish and Community Research].
Londe de choc a traversé la communauté philanthropique depuis que les nouvelles ont révélé que le si apprécié et respecté Madoff, auparavant président du marché boursier du Nasdaq, était au centre dune escroquerie portant sur 50 milliards de dollars au détriment dinvestisseurs.
La liste des noms des organismes et des individus ayant été touchés sont comme un Whos Who de qui est riche et célèbre : - la fondation du cinéaste Steven Spielberg - le magnat et propriétaire du quotidien New York Daily News, Mortimer Zuckerman - lassocié de Dreamworks Spielberg, Jeffrey Katzenberg - et la fondation du prix Nobel Elie Wiesel.
Dinnombrables fondations familiales à travers la Côte Est, éléments vitaux de tant de causes juives, ont été dévastées parmi elles la fondation de la famille Shapiro à Boston, a dit avoir perdu 145 millions de dollars.
Beaucoup ne savent même encore si elles seront touchées. « Je ne pense pas que nous connaîtrons la portée de tout ceci avant un an, » a dit Mark Charendoff, le président du réseau juif de donateurs, une organisation écran pour des fondations familiales.
« Il y a des gens qui se sont réveillés et ont dit, je remercie Dieu, je nétais pas impliqué, » a noté Charendoff. « Et alors ils découvrent que dune façon ou dune autre ils létaient à travers des fonds secondaires. »
La perte pour la philanthropie juive dans son ensemble a été estimée à entre 600 millions et 1 milliard de dollars. « Je considère que cest, si lon peut dire, une évaluation conservatrice, » a dit Jonathan Sarna de luniversité de Brandeis, une des principales autorités sur lhistoire juive américaine. « Elle est catastrophique il ny a aucun autre mot. La communauté juive sera alors différente quand tout ceci sera passé. »
Pour toutes ses implications, le scandale a orienté les projecteurs sur un club de Palm Beach en Floride. Madoff était un membre du si exclusif Club National de Palm Beach, et il y a recruté beaucoup dinvestisseurs. Un des éléments intéressants au sujet de ce club est que ses membres doivent non seulement avoir de largent, mais faire aussi des donations annuelles importantes, peut-être même des centaines des milliers de dollars.
« Il y a réellement une telle condition, » a confirmé à lAssociated Press dans une entrevue de téléphone, un des membres ayant perdu de largent avec Madoff. Cet adhérent parlait sous couvert de lanonymat parce quil nétait pas prêt à sexprimer publiquement au sujet de ses pertes. « Cest une règle peu commune. »
Pour Sarna, le professeur de Brandeis, cette règle en dit long sur limportance de la charité dans les cercles juifs. « Cest ce que cela coûte pour faire partie de ce club, » a dit Sarna. « Cest une preuve que vous êtes un membre responsable de la communauté juive. Tzedakah faire ce qui est juste, cest infiniment dans ce système de valeur. »
Se retrouver trahi par un des leurs dans lacte même de donner a été le plus dévastateur pour ces investisseurs, a noté Sarna . « Ce quils faisaient était intrinsèquement bon, et ils voient toute cette bonté récompensée par la méchanceté ».
.../...
Les experts estiment quenviron 5 % de tout largent donné par les juifs américains et 20 % de ce qui est donné en particulier aux causes juives va en Israël, où les hôpitaux, les universités, les synagogues et dautres organisations à but non lucratif sont fortement dépendantes de la philanthropie américaine.
Tandis que ces établissements avaient déjà souffert du ralentissement de lactivité économique avant que le scandale de Madoff néclate, larrestation de celui-ci et leffondrement de sa société de placement en valeurs mobiliéres a accéléré la fin pour certains.
Une fondation qui contribue à beaucoup de causes en Israël, la fondation Chais, a dû déposer son bilan en raison de ses pertes avec Madoff.
Merci la crise mondiale,
c'est la faillite totale de toutes les organisations terroristes qui financent Israel!!!!!
Affaire Madoff : la communauté juive américaine sattend à des effets catastrophiques
Le mot hébreu pour la charité est "tzedakah".
Mais il a signification de plus : faire ce qui est juste.
Haaretz - Associated Press
Madoff, lescroc du siècle ?...
Plusieurs des investisseurs escroqués par le gestionnaire financier de Wall Street Bernard Madoff sont, comme lui, juifs, et pour bon nombre dentre eux, la contribution aux causes juives est un élément cruciale de leur culture.
Leffet de leurs pertes sur le monde philanthropique juif est vu comme rien moins que catastrophique.
« Cest le plus grand scandale dans lhistoire philanthropique tel que nimporte qui peut se le rappeler, » a dit fort justement Gary Tobin, un des principaux experts en philanthropie juive. « Nous ne savons pas encore son ampleur.
Il y a des fondations qui ont perdu des capitaux importants, des donateurs qui ont perdu leur capacité de donner, et des organismes dont les investissements ont disparu. »
« Vous ajoutez à cela les retombées psychologiques, et elles sont simplement dévastatrices, » a déclaré Tobin, président de linstitut pour la recherche et la communauté juive [Institute for Jewish and Community Research].
Londe de choc a traversé la communauté philanthropique depuis que les nouvelles ont révélé que le si apprécié et respecté Madoff, auparavant président du marché boursier du Nasdaq, était au centre dune escroquerie portant sur 50 milliards de dollars au détriment dinvestisseurs.
La liste des noms des organismes et des individus ayant été touchés sont comme un Whos Who de qui est riche et célèbre : - la fondation du cinéaste Steven Spielberg - le magnat et propriétaire du quotidien New York Daily News, Mortimer Zuckerman - lassocié de Dreamworks Spielberg, Jeffrey Katzenberg - et la fondation du prix Nobel Elie Wiesel.
Dinnombrables fondations familiales à travers la Côte Est, éléments vitaux de tant de causes juives, ont été dévastées parmi elles la fondation de la famille Shapiro à Boston, a dit avoir perdu 145 millions de dollars.
Beaucoup ne savent même encore si elles seront touchées. « Je ne pense pas que nous connaîtrons la portée de tout ceci avant un an, » a dit Mark Charendoff, le président du réseau juif de donateurs, une organisation écran pour des fondations familiales.
« Il y a des gens qui se sont réveillés et ont dit, je remercie Dieu, je nétais pas impliqué, » a noté Charendoff. « Et alors ils découvrent que dune façon ou dune autre ils létaient à travers des fonds secondaires. »
La perte pour la philanthropie juive dans son ensemble a été estimée à entre 600 millions et 1 milliard de dollars. « Je considère que cest, si lon peut dire, une évaluation conservatrice, » a dit Jonathan Sarna de luniversité de Brandeis, une des principales autorités sur lhistoire juive américaine. « Elle est catastrophique il ny a aucun autre mot. La communauté juive sera alors différente quand tout ceci sera passé. »
Pour toutes ses implications, le scandale a orienté les projecteurs sur un club de Palm Beach en Floride. Madoff était un membre du si exclusif Club National de Palm Beach, et il y a recruté beaucoup dinvestisseurs. Un des éléments intéressants au sujet de ce club est que ses membres doivent non seulement avoir de largent, mais faire aussi des donations annuelles importantes, peut-être même des centaines des milliers de dollars.
« Il y a réellement une telle condition, » a confirmé à lAssociated Press dans une entrevue de téléphone, un des membres ayant perdu de largent avec Madoff. Cet adhérent parlait sous couvert de lanonymat parce quil nétait pas prêt à sexprimer publiquement au sujet de ses pertes. « Cest une règle peu commune. »
Pour Sarna, le professeur de Brandeis, cette règle en dit long sur limportance de la charité dans les cercles juifs. « Cest ce que cela coûte pour faire partie de ce club, » a dit Sarna. « Cest une preuve que vous êtes un membre responsable de la communauté juive. Tzedakah faire ce qui est juste, cest infiniment dans ce système de valeur. »
Se retrouver trahi par un des leurs dans lacte même de donner a été le plus dévastateur pour ces investisseurs, a noté Sarna . « Ce quils faisaient était intrinsèquement bon, et ils voient toute cette bonté récompensée par la méchanceté ».
.../...
Les experts estiment quenviron 5 % de tout largent donné par les juifs américains et 20 % de ce qui est donné en particulier aux causes juives va en Israël, où les hôpitaux, les universités, les synagogues et dautres organisations à but non lucratif sont fortement dépendantes de la philanthropie américaine.
Tandis que ces établissements avaient déjà souffert du ralentissement de lactivité économique avant que le scandale de Madoff néclate, larrestation de celui-ci et leffondrement de sa société de placement en valeurs mobiliéres a accéléré la fin pour certains.
Une fondation qui contribue à beaucoup de causes en Israël, la fondation Chais, a dû déposer son bilan en raison de ses pertes avec Madoff.