"On connaissait le testing à l'entrée des discothèques, le testing sur les curriculum vitae, voici le testing dans les cabinets de médecins", relève Le Figaro.fr qui revient sur l'adoption par les députés d'une disposition prévue dans l'article 18 du projet de loi HPST qui reconnait l'usage de cette méthode auprès des médecins et professionnels de santé. Le but de cette mesure : confondre ceux qui refuseraient de soigner un patient titulaire de la Couverture médicale universelle (CMU), de l'aide médicale de l'Etat (AME) ou en raison de ses moeurs ou de son origine, explique le site internet du quotidien. "Concrètement, le patient s'estimant victime d'un refus de soin illégitime devra saisir l'organisme local d'assurance-maladie ou le conseil départemental de l'Ordre concerné", précise Libération.fr. "Une commission de conciliation sera alors instaurée. Les résultats du testing pourront être des éléments de preuves recevables devant cette commission". En cas d'échec de la conciliation, une sanction financière pourra être prononcée à l'encontre du professionnel de santé.
Libération.fr, Le Figaro.fr, Egora.fr ; Le Parisien, La Croix, Le Figaro Economie -
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